Hugo Le Mendiant

Saillot 1G2Cyprien Baudelaire se considère comme un alchimiste qui transforme la laideur du réel en beauté : « J’ai pétri de la boue et j’en ai fait de l’or » écrit il dans son poème « Orgueil ». Le poète, le peintre, comme le romancier se doit de décrire et faire la lumière sur ce qui se cache au fond de chaque personne mais ne peut pas se voir à première vue pour en dévoiler le mystère et la phosphorescence, c’est-à-dire la propriété que possèdent certains corps d’émettre de la lumière dans l’obscurité

* « Lettre à Chloé » de Juliette Boué * « J’attends que tu me reviennes » d’Eugénie Cottu * « Nuit et Brouillard » de Jean Ferrat * « Demain dès l’aube » de Victor Hugo * « Heureux qui comme Ulysse » de Joachim du Bellay * « Mort » d’Anonyme * « A quoi je songe ? –Hélas !... » de Victor Hugo * « Le Déserteur » de Boris Vian * « Le Chat» de Charles Baudelaire * « Adieu !» d’Alfred de Musset Lettre à Cholé Toi mon amie de toujours Je pense à toi chaque

www.comptoirlitteraire.com André Durand présente Victor HUGO (France) (1802-1885) [pic] Au fil de sa biographie s’inscrivent ses œuvres qui sont résumées et commentées (surtout ‘’Claude Gueux’’, ‘’La légendes des siècles’’, ‘’Les châtiments’’, ‘’Les contemplations’’, ‘’Les feuilles d’automne’’, ‘’Les misérables’’, ‘’Les rayons et les ombres’’, ‘’Lucrèce Borgia’’, ‘’Marie Tudor’’ et ‘’Ruy Blas’’ qui sont étudiés dans des dossiers à part). Bonne lecture ! Né à Besançon, le

Le Mendiant Un pauvre homme passait dans le givre et le vent. Je cognai sur ma vitre ; il s'arrêta devant Ma porte, que j'ouvris d'une façon civile. Les ânes revenaient du marché de la ville, Portant les paysans accroupis sur leurs bâts. C'était le vieux qui vit dans une niche au bas De la montée, et rêve, attendant, solitaire, Un rayon du ciel triste, un liard de la terre, Tendant les mains pour l'homme et les joignant pour Dieu. Je lui criai : « Venez vous réchauffer un peu. Comment

proposer des œuvres multiples et encore près de nous, en particulier dans le domaine de la poésie (avec Lamartine, Vigny, Musset, Hugo, Baudelaire, Rimbaud, Verlaine, Mallarmé …) tant dans le domaine du roman (avec Stendhal, Balzac, Dumas, Hugo, Flaubert, Zola, Maupassant, Verne …) et dans une moindre mesure dans le théâtre avec le drame romantique et ses partisans (avec Musset, Hugo, Edmond Rostand …). Siècle, Rich fonctionne toujours proche de nous, la littérature du dix-neuvième siècle, le français

------------------------------------------------- LA MORT ------------------------------------------------- TABLE DES MATIERES Préface…………………………………………………………………………...3 Le dormeur du val, Arthur Rimbaud……………………………………………5 Oceano Nox, Victor Hugo ………………………………………………...…….6 Consolation à Mr. Du Perier sur la mort de sa fille, François de Malherbe..….10 La ballade des pendus, François Villon………………………...……………….13 Après ma mort, Philistin Panger……………………………………………….15 La mort des pauvres, Charles

roman commence à faire partie de la littérature « sérieuse ». Au début du XIXe siècle, il existe trois grands types de roman : ◦le roman picaresque : il s'agit d'un roman dont le héros est un aventurier issu du peuple et qui est volontiers voleur, mendiant ou vagabond ; ◦le roman sentimental : il véhicule la sensibilité, la sentimentalité. Il s'agit des romans d'amour (avec des intrigues amoureuses et des analyses d'ordre psychologique). ◦les dialogues philosophiques : cf. Diderot (1713-1784), Le

Fontaine, dans laquelle il est montré que l'Homme préfère souffrir que mourir, même si la mort pourrait être une libération. Nous allons ensuite continuer cette anthologie par le côté froid et cruel qu'amène la mort, avec le poème Nos morts de Victor Hugo tiré de L'année terrible publié en 1872, dans lequel on peut voir une description de la mort, plutôt repoussante, avec un côté patriotique. Nous étudierons également Les corbeaux d’Arthur Rimbaud qui rend hommage aux morts des guerres passées sur

est fasciné par la ville, et s’inscrit donc à contre-courant dumouvement romantique qui puise son inspiration dans la nature.Dans la ville, il s’intéresse aux plus démunis : les vieillards et vieillesfemmes, les aveugles, les prostituées et les mendiants dont il révèle labeauté, cachée derrière la détresse.La ville est aussi le lieu de la solitude : celle des plus démunis, quisont laissés pour compte par la société, et celle du poète exilé dans laville, qui fait l’expérience de la solitude dans la

sol mineur). En peinture, c’est l’apparition du lavis, un procédé qui tient du dessin et de la peinture en même temps, et qui consiste dans l’emploi de l’encre de Chine ou d’une couleur quelconque unique, étendue d’eau et passée au pinceau. Victor Hugo en a été l’inventeur. La peinture à l’huile se modernise avec l’élargissement de la palette de couleur. Sur le plan littéraire, de nouveaux genres apparaissent. En effet, le roman au XIXe est devenu un genre où toutes les formes possibles de discours