Hugo Le Mendiant

materielles puis dans une derniere partie , Nous observerons comment l'auteur en fait une parodie du romantisme . I- Une poésie sociale et satirique De nombreux poètes ont chanté la souffrance des peuples, des pauvres, des ouvriers. Après Hugo dans "Le mendiant" défendant les pauvres, Verlaine par la caricature avec "Monsieur Prudhomme" s'attaque aux bourgeois du second Empire. Caricatural, tel est bien le portrait qu'en dresse Verlaine. Monsieur Prudhomme est le Maire de Paris et l'employeur de

leur amour est confirmé par de dures épreuves endurées. Dialogues amoureux tiennent une place importante. Personnages et situations stéréotypés. Exemple: / Roman picaresque Roman dont le héros est un aventurier issu du peuple et qui est voleur, mendiant ou vagabond. Il voyage d'auberge en auberge et les rencontres qu'il fait permettent de décrire la société de l'époque. Exemple: XIIIeme C'est au xviiie siècle que le roman prend sa forme et sa place moderne au sens où l’on peut l’entendre depuis

mots, qui montrent mieux que les effets visuels sur une scène de théâtre. Mais de tous les bagnards présents dans la littérature, Jean Valjean est sans doutes le plus connu. Jean Valjean est le personnage principal des misérables de Victor Hugo. Nous ne pouvions pas parler du bagne sans évoquer ce personnage qui est l'allégorie même du forçat. Ce texte nous donne une vision d'un ancien forçat et nous indique également dans quel état celui-ci sort du bagne. I Un portrait annonciateur d'épreuves

Notre-Dame de Paris. Notre-Dame de Paris Première page du manuscrit de Notre-Dame de Paris (BNF) Auteur Victor Hugo Genre roman Pays d'origine  France Lieu de parution Paris Date de parution 1831 Chronologie Le Dernier Jour d'un condamné Claude Gueux modifier  Notre-Dame de Paris (titre complet : Notre-Dame de Paris. 1482) est un roman de l'écrivain français Victor Hugo, publié en 1831. Le titre fait référence à la cathédrale de Paris, Notre-Dame, qui est un des lieux principaux

des œuvres multiples et encore proches de nous, particulièrement dans le domaine de la poésie (avec Lamartine, Vigny,Musset, Hugo, Baudelaire, Rimbaud, Verlaine, Mallarmé…) comme dans le domaine du roman (avec Stendhal, Balzac, Dumas, Hugo, Flaubert, Zola, Maupassant, Verne…) et dans une moindre mesure au théâtre avec le drame romantique et ses épigones (avec Musset, Hugo, Edmond Rostand…). Siècle très riche aux œuvres encore proches de nous, le xixe siècle reste pour la littérature française un

sous influence romantique dès sa naissance ou presque : scolarité effectuée au Lycée de Lyon où il se familiarise avec des grands auteurs romantiques tels Lamartine, Victor Hugo ou encore Théophile Gautier... Avec eux se forment sa future sensibilité d'écrivain. Baudelaire est en fait un « romantique   par admiration (pour Hugo, en particulier)... Ces influences romantiques se retrouvent naturellement dans son oeuvre principale Les Fleurs du mal parue en 1857. Les thèmes abordés sont ainsi

artistiques et littéraires notamment le roman de Victor Hugo, Notre Dame de Paris publié en 1831. Le lecteur y découvre un monument lugubre et froid en plein XVème siècle au Moyen-Age, servant tantôt de théâtre, tantôt de témoin à une action romanesque, tantôt d’asile à un peuple désespéré. Nous allons donc pouvoir nous demander en quoi la cathédrale Notre Dame de Paris est représentée comme un personnage ambigu dans le roman de Victor Hugo. Nous nous intéresserons dans un premier temps à son architecture

Les Misérables Victor Hugo Le roman Les Misérables paraît pour la première fois en 1862. Il esquisse en cinq tomes le portrait de la France du XIXe siècle et de ses injustices sociales. Victor Hugo nous fait suivre, pas à pas, la vie du bagnard Jean Valjean. Roman à multiples facettes (sociale, philosophique, historique et littéraire), Les Misérables est une œuvre à la postérité incroyable : cinéma, comédies musicales, références populaires… L’écrivain lui-même avait pressenti ce succès, puisqu’il

qu'il évoque et sa condamnation de la guerre. Le poème, laisse entendre la voix du poète lui-même[]. Il relate l'histoire d'un groupe de soldats, en décrivant les horreurs qu’ils subissent avec un grand réalisme. Pliés en deux, tels de vieux mendiants sous leur sac, Harpies cagneuses et crachotantes, à coups de jurons Nous pataugions dans la gadoue, hors des obsédants éclairs, Et pesamment clopinions vers notre lointain repos. On marche en dormant. Beaucoup ont perdu leurs bottes Et s'en

élidé dans la langue ordinaire doit être prononcé s’il est suivi d’une consonne. Cette pratique donne au vers limpidité, sonorité et équilibre avec la séquence consonne + voyelle + consonne. « C’était l’heure tranquill(e) où les lions vont boir(e). » Hugo, La Légende des siècles Le E muet ne compte jamais à la fin d’un vers. « Et les siècles obscurs devant moi se découvr(ent). » Racine, Athalie Le E muet ne compte pas à l’intérieur d’un mot s’il est précédé d’une voyelle. Gai(e)té, dévou(e)ment