Hugo Le Voile

Les Misérables sont un roman de Victor Hugo paru en 1862. Victor Hugo y décrit la vie de misérables dans Paris et la France provinciale du XIX° siècle et s'attache plus particulièrement aux pas du bagnard Jean Valjean. Dans une lettre à son éditeur Hetzel, du 4 juillet 1861, Victor Hugo compare les Misérables à un navire « à sept mâts (…) cinq cheminées (…) dont les roues ont cent pieds de diamètre », de sorte qu'il «ne pourra entrer dans aucun port et devra braver les tempêtes». Que penser de ce

Boire un verre, pour boire le contenu de ce verre  La synecdoque est une forme particulière de la métonymie, que sous-tend une relation d'inclusion ; on désigne alors le tout par la partie.  A l'horizon naviguait une voile (on désigne le navire par une de ses  parties, la voile).  3) Les figures d'opposition  L'antithèse est une figure qui consiste à rapprocher deux unités aux significations opposées. « Loin de vous la ravir, on va vous la livrer » (Racine).  L'oxymore est un cas particulier

cœur triste se vide,Car ton subtil amour, ô femme, est plus fluideQue l'eau vive, qu'on puise aux sources dans les boisEt qu'on sent, malgré tout, fuir au travers des doigts...Jean Albert Samain.(1858-1900)Recueil: Le chariot d'or (1900). Victor Hugo, est né le 26 février 1802 à Besançon et mort le 22 mai 1885 à Paris, est un poète dramaturge et prosateur romantique considéré comme l'un des plus importants écrivains de la langue française. Puisque j'ai mis ma lèvre à ta coupe encore pleine.(poème

La synecdoque  : c’est une forme particulière de métonymie qui désigne « la matière » à la place de « l’objet » Ex : Croiser le fer. (pour désigner l’épée)Ou bien qui désigne « le tout » par « une partie »Ex : Une voile sur la mer. (pour désigner un navire) 1.2 Les figures d’insistance ou d’amplification et d’atténuation qui amplifient la réalité (anaphore, répétition, hyperbole, gradation, accumulation) ou qui l’affaiblissent

L’antithèse: Figure qui met en parallèle des mots ou des pensées qui s’opposent. L’ antithèse amplifie la portée du discours en jouant sur des contrastes très forts. (…) un homme est là, Qui vous aime, perdu dans la nuit qui le voile Un ver de terre amoureux d’une étoile (Hugo, Ruy Blas) (…) L’antithèse ne porte pas seulement sur une simple opposition lexicale, elle porte aussi souvent sur la structure des phrases. Ma jeunesse ne fut qu’un ténébreux orage, Traversé çà et là par de brillants

 www.comptoirlitteraire.com André Durand présente ‘’Les feuilles d’automne’’ (1831) recueil de poèmes de Victor HUGO pour lequel on trouve ici une présentation générale puis l’analyse de ‘’Soleils couchants’’ Bonne lecture ! Victor Hugo manifestant son ambition d’atteindre à une poésie de la totalité, y obéissait à une triple inspiration : - confidences personnelles (le poète, étant devenu «mélancolique et résigné» à la suite de la trahison de sa femme et de

par le poète, épris de Juliette Drouet (“Puisque j’ai mis ma lèvre”). André Durand présente ‘’Les feuilles d’automne’’ (1831) recueil de poèmes de Victor HUGO pour lequel on trouve ici une présentation générale puis l’analyse de ‘’Soleils couchants’’ Bonne lecture ! Victor Hugo manifestant son ambition d’atteindre à une poésie de la totalité, y obéissait à une triple inspiration : - confidences personnelles (le poète, étant devenu «mélancolique

flambeaux. Ils sont si transparents, qu'ils laissent voir votre âme, Comme une fleur céleste au calice idéal Que l'on apercevrait à travers un cristal. Théophile GAUTIER   (1811-1872) J'ai dans mon cœur... J'ai dans mon cœur, dont tout voile s'écarte, Deux bancs d'ivoire, une table en cristal, Où sont assis, tenant chacun leur carte, Ton faux amour et mon amour loyal. J'ai dans mon cœur, dans mon cœur diaphane, Ton nom chéri qu'enferme un coffret d'or ; Prends-en la clef, car nulle

au classicisme. C’est le cœur qui gouverne la raison, on favorise l’expression de l’imagination, de la sensibilité et l’exaltation du moi et la communion avec la nature. « Tout ce qui est dans la nature est dans l’art » V. Hugo. Auteurs représentatifs de ce courant : Hugo, Lamartine, Chateaubriand. • Le réalisme : Courant qui nait en opposition aux excès du romantisme et son idéalisme qui déforme la réalité. Le réalisme demande le respect des faits et l’étude des hommes d’après leur comportement

Antithèse (féminin) : Une antithèse est un procédé qui consiste à rapprocher deux pensées, deux expressions, deux mots opposés pour mieux faire ressortir le contraste. Exemple dans Ruy Blas de Victor Hugo (acte II, scène 2) : « […] un homme est là / qui vous aime, perdu dans la nuit qui le voile ; / qui souffre, ver de terre amoureux d’une étoile […]. » Comparaison (féminin) : Une comparaison est une mise en relation de deux termes à l’aide d’un terme comparant (comme, tel, semblable à, etc.)