Huguenot

intercède pour donner à Nîmes une université dirigée par des érudits protestants. Sous le règne du nouveau roi, Henri II, Nîmes s’affirme comme la « petite Genève ». Les guerres de Religion sont très violentes dans cette Nîmes devenue en majorité huguenote. Le protestantisme a en effet eu ici un succès1 et une influence considérables sur la ville (aujourd'hui dans une bien moindre mesure : les protestants ne représentent plus que 12 % de la population mais l'histoire et la culture protestante restent

pour sa bravoure, et une dispense lui permettant d’épouser celle qu’il aime. En chemin, il rencontre des Huguenots chassés du fait de l’édit de Fontainebleau et décide de prendre leur défense auprès du roi. Cependant, il n’arrive pas à faire entendre sa voix à Versailles, et se fait embastiller) à la suite de deux lettres le dénonçant, dont une affirmant son engagement en faveur des Huguenots. En prison, il fait la connaissance du janséniste Gordon, qui tente de le former aux préceptes de cette doctrine

récompense pour sa bravoure. En chemin, il rencontre un groupe de huguenots, qui lui exposent leurs malheurs, et lui expliquent la politique royale. Profondément ému, l’Ingénu promet de plaider leur cause auprès du roi. Cependant, il n'arrive pas à faire entendre sa voix à Versailles, et se fait emprisonner à la suite d’une lettre d’un espion du père de La Chaise, confesseur du roi, qui a écouté sa conversation avec les huguenots. A la bastille il rencontre Gordon, un janséniste, qui essaye de

également pour demander à Louis XIV une dispense lui permettant de s'unir à celle qu'il aime. En chemin il croise des Huguenots chassés du fait de l'édit de Fontainebleau. Il choisit alors de prendre leur défense auprès du roi. Cependant, à Versailles, il n'arrive pas à se faire entendre, et se fait par la suite emprisonner à la Bastille pour son engagement en faveur des Huguenots. En cellule il fait la connaissance du janséniste Gordon qui tente de le former aux préceptes de cette doctrine, mais

Médicis. La guerre entre les catholiques et les huguenots s’enflamme avec puissance ! Mais Colas n’est pas d’accord avec cette situation. La politique c’est le jeu pour les princes :  « Les jeux des princes plaisent à ceux qui les font ». Et les gens simples comme lui n’ont pas besoin de ça. Ce qui est necessaire pour eux c’est la terre pour labourer. Lui il s’en fou de ce scandale, il peut prendre un verre avec les catholiques et aussi avec les huguenots :« De ce qu’on a, il faut se contenter ».

bon huguenot que le parlement de Toulouse a fait rouer pour avoir étranglé son fils ; cependant ce saint réformé croyait avoir fait une bonne action, attendu que son fils voulait se faire catholique et que c'était prévenir une apostasie : il avait immolé son fils à Dieu et pensait être fort supérieur à Abraham car Abraham n'avait fait qu'obéir mais notre calviniste avait pendu son fils de son propre mouvement et pour l'acquit de sa conscience. Nous ne valons pas grand chose, mais les huguenots sont

mêmes traits de caractères -la même religion (chrétienté) -veulent baptiser l’Ingénu -curieux (demande la religion de l’Ingénu, d’où il vient , …… ) -ethnocentriques lorsqu’ils demandent à l’Ingénu s’ il est de religion « anglicane, gallicane, huguenote ». (ce n’est pas un vrai choix car les trois sont des religions chrétiennes) ¤¤¤De plus la généralisation avec, « on » , « tous » , « chacun » , montre bien que tous les personnages se ressemblent. ¤¤¤Melle de Kerkabon, St Yves , Le Bailli :

que vers les étrangers . Peut-être ne critique t-il cette déloyauté du prince Machiavel que dans le cas de rapports entre chrétiens ?. Peut-être également que cette critique explicite est destinée à faire écho à ceux qui attribuent la conduite des Huguenots en France au " machiavélisme", et en cela il dit :" garder la foy promise, et estre en cette estime devant le monde, c'est chose de Dieu, et qui vaut, sans comparaison, beaucoup mieux que la violer, et suivre une si damnable opinion que la machiaveliste"

péninsule du Cap. N’est pas un colonisateur, il n’a fait qu’une escale. Milieu 17ème siècle, les hollandais « Boers » et anglais qui arrivent tjs ds la zone du Cap = colons. Les hollandais st venus avec des français de confessions protestantes les « Huguenots » (pas colons) qui ont ramené des pieds de vignes. 1830 : Conflits entre anglais et hollandais = défaite des hollandais (st délogé) qui partent au nord. Ce qu’on appelle « Grand Trek ». 1948 : Création d’un partie « Le Partie National » uniquement

légende veut que la vieille courtisane, charmé par le jeune homme, l'ait couché…. sur son testament. 1713 Le jeune François Marie Arouet néglige ses études de droit. Il part comme secrétaire d'ambassade à la Haye. Il tombe amoureux d'une jolie huguenote, l'ambassadeur le renvoie à Paris. 1714 Son parrain, l’abbé de Châteauneuf, l'introduit dans les milieux mondains et libertins parisiens. Il vole de château en château et anime les dîners galants de ses vers hardis. 1716 Ses écrits satiriques