Huis Clos Sartre Aveux

des parlements (juridictions)… -> Insécurité juridique, les juridictions statuaient différemment selon le lieu Droit extrêmement rigoureux, violent : Il est fondé essentiellement sur les châtiments corporels, les supplices ; on cherchait les aveux en tourmentant. Long processus de souffrances physiques se finissant souvent pas la mort. Droit générateur d’inégalités : Les sanctions étaient liées à la condition sociale des prévenus (certains avaient des avantages). Loisel dit: « le vilain

reconstitué après la Révolution, au moment de la Restauration, à Alençon. La comparaison inaugurale (« Ce salon était alors comme une cage de verre ») acquiert des significations fortes : – elle insiste sur l’idée de microcosme social dans un lieu clos et fermé, à l’image d’une caste qui exclut ; – elle met en valeur la notion de spectacle comme si cette vieille société d’avant la Révolution, archaïque et décalée, devenait un objet de curiosité à l’égal d’une attraction, d’une foire. Aussi

reconstitué après la Révolution, au moment de la Restauration, à Alençon. La comparaison inaugurale (« Ce salon était alors comme une cage de verre ») acquiert des significations fortes : – elle insiste sur l’idée de microcosme social dans un lieu clos et fermé, à l’image d’une caste qui exclut ; – elle met en valeur la notion de spectacle comme si cette vieille société d’avant la Révolution, archaïque et décalée, devenait un objet de curiosité à l’égal d’une attraction, d’une foire. Aussi

 C'est en ce sens que l'art déréalise son objet, comme le souligne Sartre43, à la  suite de Kant. La mer est pour le peintre impressionniste une surface colorée, une apparence, et non le  milieu de vie des organismes marins. Dans Qu'est‐ce que la littérature ?, le même Sartre peut, sans  contradiction, montrer que c'est la poésie qui constitue pour la première fois le mot en objet, en chose,  quand il n'était auparavant qu'un organe d'exploration du monde, comme les antennes des insectes.  C'est que « l'art de voir (a

donc l’originalité dramaturgique de Bérénice : l’action y est tout intérieure, et les évènements qui constituent d’ordinaire la trame de l’action sont rejetés dans le passé de la pièce : le temps lui-même n’est là qu’au passé. Tel est le sens de ces aveux, de ces confidences, de ces rappels qui courent dans les trois premiers actes. Plus qu’une longue exposition poétique, c’est le passé qui se déverse dans la pièce et qui constitue la matière de la crise. 2. Thèmes Au regard d’une telle simplicité

septembre 1942 par Daniel Decourdemanche (J. Decour) avec Aragon, Sartre, Éluard, les Editions de Minuit, qui publient des ouvrages de résistance. L'Humanité et le Populaire reparaissent clandestinement ; 4 d) une répression féroce: En effet, les Allemands et la police de Vichy s'adaptèrent très vite à la lutte clandestine, payèrent des traîtres, infiltrèrent des espions dans les réseaux, recoururent à la torture pour obtenir des aveux et des informations. le gouvernement de Vichy à organiser

ou encore Van Gogh »86. Le grand nombre des pronoms de la première personne « je » et de sa variante tonique « moi » marque d’emblée une présence manifeste du narrateur dans le récit. A ces signes textuels de l’expression du moi, s’ajoutent les aveux du narrateur. Pour lui, la description de ses traits de caractère, de ses qualités et de ses défauts est irrésistible : « Si ma mère savait lire et avait connaissance de cette confession, elle me conseillerait de m’arrêter, de brûler ces feuilles

vie contre toutes les injustices. Marthe Richard (1889-1982), ex-prostituée devenue conseillère municipale à Paris, restée célèbre pour avoir suscité la loi de 1946 obligeant les maisons closes à fermer. Simone de Beauvoir (1908-1986), philosophe et écrivaine française ayant partagé la vie de Jean-Paul Sartre (cf. Point Info p. 75 de ce guide), qui a lutté toute sa vie pour la condition des femmes et qui reste à ce jour la figure de proue du féminisme. Demander à l’oral en grand groupe de présenter

l'oeuvre de Baudelaire, Neuchâtel, La Baconnière, 1974. 70. M. Milner, Baudelaire, enfer ou ciel, qu'importe!, Plon, 1967,p. 100. 71. Mon coeur mis à nu, III, Pl. I, p. 677, Sur la problématique baudelairienne du naturel, voir les analyses de J.-P. Sartre, G. Blin et F. Leakey. 72. Voir notamment les chapitres X à XII du Peintre de la vie moderne, Pl. II, p. 713 à 722. 73. C'est ce drame que Baudelaire reconnaît dans Wagner (Pl. II, p. 794 et suiv.). 74. Voir G. Blin, Le Sadisme de Baudelaire.

pour moi de dire FIN»2 . Ainsi s’ouvre un nouvel espace d’imagination : en premier lieu, cette venue de la troisième femme au cimetière situe le film au-delà même du théâtre, afin de briser la fausse illusion du réalisme cinématographique des huis clos de studio ; en deuxième lieu, le plan détruit le statut supérieur du spectateur. On a manqué certaines choses et tout n’est pas montré dans le film ; en troisième lieu, cette fin ouverte nous met l’accent encore une fois sur l’infinité de la construction