Humanisme Pessimisme

surtout par ses nouvelles, (parfois intitulées contes), comme Boule de suif en 1880, les Contes de la bécasse en 1883 ou le Horla en 1887. Ces œuvres retiennent l’attention par leur force réaliste, la présence importante du fantastique et par le pessimisme qui s’en dégage le plus souvent mais aussi par la maîtrise stylistique. La carrière littéraire de Guy de Maupassant se limite à une décennie – de 1880 à 1890. La question que je me pose est : Pourquoi Maupassant a-t-il choisi le réalisme ? N’oublions

* ELARGISSEMENT/ CONCLUSION : Cette thématique de l’angoisse du néant évoquée par le texte reflète à la perfection l’atmosphère « fin de siècle » évoquée en introduction. La littérature des quinze-vingt dernières années du XIX s se colore d’un pessimisme exacerbé, qui se mue souvent en nihilisme ; une crise générale des valeurs fait voler en éclat l’espoir désespérément poursuivi par les romantiques – celui de retrouver l’équilibre et l’harmonie perdus- Déçus de leur société moderne rationnalisante

et surtout par ses nouvelles (parfois intitulées contes) comme Boule de suif en 1880, les Contes de la bécasse (1883) ou Le Horla (1887). Ces œuvres retiennent l’attention par leur force réaliste, la présence importante du fantastique et par le pessimisme qui s’en dégage le plus souvent, mais aussi par la maîtrise stylistique. La carrière littéraire de Maupassant se limite à une décennie — de 1880 à 1890 — avant qu’il ne sombre peu à peu dans la folie et ne meure peu avant ses quarante-trois ans

Tous les personnages ne s’accordent pas, ce qui montre le défaut de sens et l’absurde de l’œuvre. On retrouve d’ailleurs cela dans le discours indirect libre et c’est ce qui est reproché à Flaubert lors de son procès. L’ironie est l’expression du pessimisme flaubertien. Résumé : L’œuvre débute par l’enfance de Charles Bovary. Il devient médecin de campagne après de laborieuses études de médecine. Sa mère le fit se marier avec une veuve qui mourra après peu de temps. Charles tombe alors amoureux d’Emma

ou plutôt au retour à soi, car l’introspection a une connotation trop mentale, pour changer son état d’esprit. Nous croyons en une vision psychosomatique de l’être humain. Pour se sentir bien, il faut quitter les ruminations mentales propres au pessimisme et libérer son corps des crispations qui en découlent. Car à chaque fois que vous vous envoyez un message négatif («je ne vais pas y arriver», «je suis nul», etc.) cela se traduit par une raideur musculaire, une tension; à l’inverse, si vous êtes

ses désirs, ce qui supposerait tout de même que le seul désir de ne plus en avoir aurait beaucoup d’importance. « La vie donc oscille, comme un pendule, de droite à gauche, de la souffrance et l’ennui. » Cette citation montre réellement le pessimisme de Schopenhauer. Elle pose la question de la vie, de l’homme. Comment peut-on vouloir vivre alors que la vie n’a qu’à nous offrir de la souffrance ou de l’ennui qui est encore pire que la souffrance initiale que nous ressentons ? L’ennui serait

béat on peut facilement comprendre qu'il relève de notre volonté de modifier un travail qu'on juge éloigné de notre idéal, une fois entré dans la vie active. A notre époque, la question du travail est celle qui refuse le découragement, le pessimisme historique qui est aussi facile et illusoire que l’optimisme historique béat. Cette réponse est celle-ci : nous devons travailler pour réparer les dégâts causés par le travail humain. La situation de l’homme dans le monde naturel est complexe

Un nouveau style littéraire est apparu en France vers la fin du XIXe siècle. Puisque la science ne semble plus posséder la clé de tous les maux à cette époque, un vent de pessimisme souffle alors sur le monde des idées et atteint grandement la littérature. À cette fin, le symbolisme est un courant littéraire apportant un peu d’exploration et de rêve aux poèmes, en utilisant le sens et la sonorité des mots empruntés par divers écrivains dans leurs écrits. Deux d’entre eux, Verlaine et Baudelaire,

cette interjection et les guillemets qui l’entourent sont destinés à faire éprouver au lecteur la situation réelle d’un médecin face à un mourant.
Malgré l’absurde de la mort, Rieux lutte toujours « je ne suis toujours pas habitué à voir mourir » : pessimisme de la raison mais optimisme de la volonté ce qui correspond à la philosophie de l’existence de Camus.


II. Comment Rieux développe une pensée athéiste :

Le syllogisme « mais puisque l’ordre de monde est réglé par la mort, peut-être vaut-il mieux

Conclusion Bel- Ami est un antihéros que Maupassant considérait comme “une graine de gredin”. Il doit son succès au milieu (milieu de décadence des mœurs, de corruption) dans lequel il a évolué. Dans ce dénouement, on voit bien transparaître le pessimisme de Maupassant : les gens honnêtes n’ont aucune chance de faire carrière contrairement aux escrocs. Maupassant dépeint fidèlement la société de la IIIème République, ainsi que le climat malsain qui va provoquer sa chute (L’affaire Dreyfus, entre