Humphrey Bogart

sketches télévisés au style burlesque et satirique. Et pour cause, il s'agit exclusivement de pures comédies s'appuyant sur de grosses farces et autres gags visuels. Allen est alors fortement influencé par les œuvres de Bob Hope, Groucho Marx et Humphrey Bogart. Le grand public voit en lui un petit bonhomme à lunettes, tourmenté et d'une épouvantable maladresse. Il s'imposera toutefois grâce à des œuvres plus personnelles, teintées de mélancolie, mais toujours pleines d'autodérision, comme Annie Hall

copropriété, de voter pour Pierre plutôt que pour Paul) et épidictique, c’est-à-dire pour louer ou blâmer quelque chose et nous sommes tous d’accord pour dire qu’il n’existe pas de lois mathématiques pour établir si Gary Cooper est plus séduisant que Humphrey Bogart, si Omo lave plus blanc que Dash. Comme, dans la plupart des débats de ce monde, on débat de questions qui sont objet de discussion, la technique rhétorique apprend à trouver les opinions sur lesquelles sont d’accord la majorité des auditeurs

pour Homme et ses imperméables en gabardine progressivement déclinés dans différentes matières, comme la soie ou le cuir. En 1942, le "Trench Coat" fait une apparition remarquée, dans le film culte "Casablanca" où il est élégamment porté par Humphrey Bogart. Le cinéma contribue alors largement à créer une nouvelle mode : l'imperméable masculin est adopté par des célébrités féminines, telles Greta Garbo, Marlene Dietrich ou Lauren Bacall. Par la suite, il devient un accessoire cinématographique, omniprésent

RICK’S CAFE » qui se déroulera en plein air. Une scène et des gradins seront installés pour l’occasion. Nous vous proposons de revivre quelques-unes unes des scènes les plus légendaires du film « CASABLANCA » immortalisé par INGRID BERGMAN & HUMPHREY BOGART Dans le décors du bar mythique, avec sa fameuse porte, les accessoires authentiques, portes anciennes et arcades, bibelots et lampes année 40, meubles et tapis vous replongerons dans l’ambiance étrange de cette curieuse époque. Les gendarmes

sketches télévisés au style burlesque et satirique. Et pour cause, il s'agit exclusivement de pures comédies s'appuyant sur de grosses farces et autres gags visuels. Allen est alors fortement influencé par les œuvres de Bob Hope, Groucho Marx et Humphrey Bogart. Le grand public voit en lui un petit bonhomme à lunettes, tourmenté et d'une épouvantable maladresse. Il s'imposera toutefois grâce à des œuvres plus personnelles, teintées de mélancolie, mais toujours pleines d'autodérision, comme Annie Hall

Chaplin et Edna Purviance [The Bond - 1918]. Cette tendance se confirma par la suite avec des films originellement produits pour la propagande tels que Trente secondes sur Tokyo avec Spencer Tracy, Robert Mitchum, Van Johnson, Casablanca avec Humphrey Bogart et Ingrid Bergman, The Volunteer avec Ralph Richardson, Pat McGrath, Anna Neagle et Laurence Olivier. Dans un objectif de cautionnement moral ou artistique, des réalisateurs reconnus ont été également appelés à servir la cause nationale. Charlie

Stanley Donen-1952-, Tous en scène de Vincente Minnelli- 1953-...). De plus, tout le milieu du cinéma n'est pas passé dans le camp maccarthyste et beaucoup sont choqués par cette "chasse aux sorcières" : plusieurs acteurs et réalisateurs, comme Humphrey Bogart,Laureen Bacall, John Huston, Groucho Marx, Frank Sinatra, se mobilisent pour soutenir les "Dix d'Hollywood" .Le "libéral" Joseph Manciewiz conserve la présidence de la puissante "Association des réalisateurs américains", malgré les attaques

toutes les communications dites non verbales, la musique est la plus puissante. Il suffit d'une mélodie pour ramener des amours morts qui ne cessent de mourir et des angoisses inexpugnables. Le film "Casablanca", avec Ingrid Bergman lumineuse et Humphrey Bogart sombre viril, se fonde sur une seule mélodie pour représenter une large gamme d'émotions et un éventail aussi large d'événements, de la désillusion à la Résistance. L'image fixe ou mouvante est aussi puissante par le pouvoir évocateur et touche

comporte parfois de manière plus féminine que les femmes. L’homme dur est le mieux connu, celui dont le modèle continue à faire rêver certains et certaines : solitaire, courageux, viril, impassible, avec comme figures plus ou moins archétypales Humphrey Bogart, l’homme de Marlboro, Rambo ou Terminator, ce dernier étant le surmâle absolu au point qu’il n’est plus humain. On peut rire de ces modèles, il n’empêche qu’ils restent forts dans l’imaginaire collectif. Et que leur décalage avec la réalité des

Sommeil, tiré du livre de Raymond Chandler, ainsi que celui du film Le Port de l'angoisse, tiré du livre d'Ernest Hemingway En avoir ou pas. Le Port de l'angoisse, en anglais "To have and have not", est la première rencontre à l'écran du couple Humphrey Bogart-Lauren Bacall, et contient des répliques restées célèbres : "You know how to whistle don't ya? Just put your lips together and blow" (Lauren Bacall) et "Have you ever been bitten by a dead bee?" (Walter Brennan). Il collabore au film de Jean