Hussard

nous avons dégagé une problématique qui est : "Par quels moyens Giono, Camus et Lapierre décrivent-ils les comportements des personnages face aux épidémies évoquées dans leurs romans et quels messages veulent-ils nous faire passer au travers du Hussard sur le toit, La Peste et Plus grands que l'amour ?" Tout d'abord, les premières séances, nous avons chercher des informations sur ce thème que nous avions choisis et les définitions des termes de notre sujet, car " épidémique " et " pandémiques

Duroy, un portrait ambivalent. Duroy est présenté comme un personnage séduisant. Sa condition d'ancien militaire, rappelée à cinq reprises par les expressions "pose d'ancien sous officier" et "geste militaire", par la référence à "l'uniforme de hussard", par sa démarche, "jambes un peu entr'ouvertes" d'ancien cavalier et son "chic de beau soldat", lui donne de la prestance. La caractérisation de "joli garçon" au début, est développée par un portrait physique qui énumère des traits positifs : "grand

« fragments » , « fumée » , « cri » , « ronflement » ). Le champ lexical des armes ( « boulets », « boulets », « canon » ), nous montre toute la violence des scènes de guerre. D'autre part le passage : « Il entendit un cri sec auprès de lui : c'étaient deux hussards qui tombaient atteints par des boulets ; […] . Ce qui lui sembla horrible, ce fut un cheval tout sanglant qui se débattait sur la terre labourée, en engageant ses pieds dans ses propres entrailles ; […] : le sang coulait dans la boue. » nous amplifie

rencontres, il incarne des valeurs, il représente l’écrivain lui-même, il prend l’apparence d’un homme exceptionnel, doté de qualités idéales, il évolue, il se transforme, il vit et meurt sous les yeux du lecteur ravi, étonné. Des romans de chevalerie au Hussard sur le toit de Giono, il semble en effet que le héros de roman est un être hors du commun qui accomplit un destin singulier. Mais nombreuses sont les oeuvres romanesques qui représentent des personnages plus proches du quotidien, plus familiers du

richesse : « 3petites ouvrières, une maitresse de musique, 2bourgeoises » il pense encore à l’argentLes indications sur son passé de militaire servent aussi à lui conférer un statut particulier. Le lexique insiste sur cet aspect : « sous-officier » « uniforme des hussards », « soldat ». Pourtant l’ironie qui semble percer sous la plume du narrateur  à travers la répétition de « grand » et « grande » dans « grande dépense » « grand plaisir » tout comme le chapeau « défraichi » constituent les indices d’une situation

normal pour l’époque de Guy De MaupassantContexte de la Guerre D’Indépendance d’AlgérieLe livre commence un 28 juin à Paris · ‌ Georges Duroy ( personnage principale ) : Georges Duroy est un ancien sous-officier, un ancien hussards habile avec les armes à feu ( il chassait des oiseaux plus jeunes ), retombé dans le civil après être resté vingt-huit mois en Algérie ( le

(1901) Une dernière loi, mise en place en 1905 avec la création de la SFIO, sépare l’Eglise et l’état. Laïcisation de l’état. 2) La diffusion des idées Républicaines l’école primaire gratuite et laïque = diffusion des valeurs françaises. « Hussard de la République » ( On peut parler de propagande républicaine. EVENEMENTS ET PERSOS =>amour fierté et fidélité envers sa patrie. Réussite : rallier les opposants ( Appelé « consensus Républicain »

" Comme il portait beau, par nature et par pose d'ancien sous-officier, il cambra sa taille, frisa sa moustache d'un geste militaire et familier " et également tout le cinquième paragraphe : " Il marchait ainsi qu'au temps où il portait l'uniforme des hussards, la poitrine bombée, les jambes un peu entrouvertes, comme s'il venait de descendre de cheval ; et il avançait brutalement dans la rue pleine de monde, heurtant les épaules, poussant les gens pour ne point se déranger de sa route. Il inclinait légèrement

Bertrand fonde un journal, Le provincial, en 1828. Il fréquente les milieux littéraires de Paris. De retour à Dijon, il fonde un nouveau journal, Le patriote de la Côte-d'Or en 1830. Il écrit aussi des pièces de théâtre, Le sous-lieutenant de hussards et Daniel, sans grand succès. Il décide de s'installer à Paris en 1833 où il mène une vie misérable. Il consacre sa vie à écrire Gaspard de la nuit. Il meurt d'une tuberculose pulmonaire à l'hôpital de Necker à Paris,le 29 avril 1841.

deux collations au pain et au saucisson, plus deux bocks sur le boulevard. C'était là sa grande dépense et son grand plaisir des nuits et il se mit à descendre la rue Notre-Dame-de-Lorette. Il marchait ainsi qu'au temps où il portait l'uniforme des hussards, la poitrine bombée, les jambes un peu entrouvertes comme s'il Venait de descendre de cheval et il avançait brutalement dans la rue pleine de monde, heurtant les épaules, poussant les gens pour ne point se déranger de sa route. Il inclinait légèrement