La chartreuse de parme
De plus, la guerre peut amener de faux espoirs et donc de grandes désillusions. Fabrice « notre héros » se considère tout à coup comme un « vrai militaire » après avoir passé l'obstacle du « grand galop » et en étant arrivé au « feu ». Or quand il découvrit le maréchal qu'il trouva « très blond, avec une grosse tête rouge », la désillusions arriva ; le maréchal était une personne avec un physique peut ordinaire pour un italien ( « Nous n'avons point de figures comme celle-là en Italie » ) alors qu'au contraire, lui, était tout a fait ordinaire avec son teint « si pâle » et ses « cheveux châtains ». « Pour lui ces paroles voulaient dire : Jamais je ne serais un héros