Hussein

L ‘ Aïd et les barbares L’Aïd est bien plus qu’une fête musulmane ; et la pendaison de Sadam Hussein en ce jour révèle la vraie nature de ses bourreaux. C’est donc ce matin de la « Fête du sacrifice », L’Aïd el-Kebir, la « grande fête » îdal kabîr qui a été choisi pour pendre le vaincu de Bagdad, livré par ses anciens alliés et geôliers US au gouvernement mis en place par l’occupant. Même l’athée le plus farouche peut être révolté par la mort ainsi donnée et le choix de la date qui est une

Vincennes. Elle «casse» le moral des Iraniens et contribue à l’acceptation, quinze jours plus tard, d’un armistice avec l’Iraq. Cet armistice sans vainqueur ni vaincu, mais qui laisse les deux pays épuisés, met fin à une guerre déclenchée par Saddam Hussein huit ans plus tôt, avec le soutien et peut-être même à l’instigation des Américains (3). Cependant, le fait générateur de ce cycle de tensions à l’échelle d’une génération est à rechercher plus loin encore, une génération avant, dans la main prêtée

été reconnue coupable d'un crime tombant sous une qualification pénale passible de cette peine. La peine capitale a été appliquée dans presque toutes les civilisations à travers l'Histoire. Le 5 novembre 2006, l'ancien dictateur irakien, Saddam Hussein, est condamné à mort par pendaison. Un verdict qui remet au centre des débats la question de l'abolition de la peine de mort... Plus de la moitié des pays du monde, soit 128 pays, ont choisi d'abolir la peine de mort. Le total des pays non abolitionnistes

capitale pour réprimer l’opposition. Nombreux sont les cas de personnes exécutées uniquement pour leurs croyances, leurs opinions politiques ou pour avoir simplement exercé leur droit à la liberté d’expression. Les insultes publiques envers Saddam Hussein étaient punies de mort en Irak. En Iran, un universitaire a été condamné à mort en 2002 pour avoir déclaré que les fidèles ne devaient pas “suivre aveuglément” les chefs religieux Pour moi, la peine de mort évoque des mots terribles comme mort

plus haut, ou qu’il faut à tout prix respecter la nouvelle « puissance émergente » qu’est l’Iran révolutionnaire. Un tel choix s’inscrirait après tout dans une grande tradition française – que l’on avait vue à l’œuvre vis-à-vis de l’Irak de Saddam Hussein dans les années 1980. Mais il n’est pas convenable de le faire à coup de procès d’intention. C’est ce qui caractérise en particulier le premier texte diffusé1. La méthode est des plus classiques : il s’agit de caractériser de manière fallacieuse une

le rôle qu’a joué la Guerre du Golfe dans l’évolution du média télévisuel. I. Présentation du contexte de la Guerre du Golfe et de la place de la télévision A. Guerre du Golfe : rappel des faits La Guerre du Golfe débute en août 1990. Saddam Hussein dit le maître du Bagdad menace déjà depuis des mois l’émirat du Koweït en raison de ses richesses pétrolières et de sa façade sur le Golfe persique. Il y envoie alors le 2 août 1990 les premiers blindés irakiens. Le Koweït qui est un protectorat

Corée du Nord, Inde, Iran, Malaisie, au Koweit, au Soudan et à Singapour. Mais c'est en Irak que les bourreaux ont le plus de travail car la trappe sous les pieds des condamnés à mort s'est ouverte un nombre record de fois sous le régime de Saddam Hussein et continue encore de s'ouvrir sous les pieds du dictateur et ses proches. Il y a deux grands modèles de pendaison. La pendaison par précipitation ou la pendaison par étouffement. La pendaison par précipitation, ou long-drop, est la méthode

l’URSS en signant un accord d’amitié. Il se rapproche aussi de l’Iran qui est en pleine guerre contre l’Irak. Les occidentaux voient d’abord que la Syrie se rapproche de l’ennemi soviétique mais dans le même temps elle devient un ennemi de Saddam Hussein alors président de l’Irak ce qui améliore un peu les relations syriennes internationales. Qu’en est-il des relations internes de la Syrie dans le même temps ? Le parti Baas est totalitaire et laïc et fondé sur des principes de culte de la

rejoindre leur famille dans l'Ouest. L'ancien gouvernement de Saddam Hussein persécutait les Kurdes et les chiites, par contre il ne persécutait pas les chrétiens, mais les a soumis à un programme de relogement. Sachant que les chrétiens vivaient dans les zones riches en pétrole. Ce programme a fait en sorte que les communautés sunnites s'installent près des gisements de pétrole. Ce programme était juste une stratégie pour Saddam Hussein.7 Les chrétiens d'Irak vivent principalement dans la capitale Bagdad

live des scènes de la guerre du Golfe, puis rapidement, avec une première crise sur laquelle CNN semble avoir influé, il prend le sens que nous connaissons. La crise en question est la situation des populations kurdes en 1991, bombardées par Sadam Hussein, et qui tentent alors de se cacher dans les montagnes au nord et au nord Est. Alors que Georges Bush veut retirer ses troupes après la guerre du golfe le plus rapidement possible, CNN diffuse de plus en plus de reportages sur les kurdes, population