Hypo Et Hyperglycémie

Supplémentaire Eviscération Ectopique Endocrine (glande) Endogène Epiderme Epiphyse Eutocie Euphorie Exocrine (glande) Exogène Extra-utérine (grossesse) Extrasystole H Hyper Au-dessus Hyperkaliémie Hypo Augmentation Exagération Trop Au-dessous Diminutio En moins Insuffisance Hypertension Hyperglycémie Hypotension Hypoglycémie Hypocalcémie I Im / in Inféro Infra Inter Intra / intro À l'intérieur Dans Négation En dessous Plus bas En dessous Inférieur Sous Dans l'intervalle Entre Pendant À l'intérieur

Engagement Association de lésions secondaires d’origine cérébrale (convulsions, vasospasmes…) et générale (anémie, hypoxémie, hyperglycémie, hypo/hypercapnie, hypotension voire choc,…) Bilan lésionnel radiologique Radio simple =sans intérêt dans les TC graves Scanner cérébral : sans injection de produit de contraste, recherche de fracture du crâne, d’hématomes, contusions, œdèmes

que le patient fait ? Qu’est ce que le patient sait ? Qui est le patient ? Quel est le projet du patient - Âge ? - ATCD familiaux/médicaux (autres pathologies) ? chirurgicaux ? - Ttts actuels/en cours ? - Fait-il souvent des épisodes d’hypo ou hyperglycémie ? - Est-il souvent fatigué ? - Poids/taille ? - De base, sa glycémie s’élève à combien ?les note-t-il toutes correctement dans son carnet ? - Présente-t-il une paresthésie/anesth ésie? (insensibilité au niveau de son corps )? quelle partie particulièrement

goitre cliniquement DIFFUS, l’échographie est à pratiquer en premier. Elle confirme et quantifie l’augmentation de volume de la glande et l’absence de nodule. Dans le goitre MULTINODULAIRE, une scintigraphie peut être utile pour recenser les nodules hypo-, iso- et hyperfixants. L’échographie assure la surveillance quantitative de la taille des nodules, hypofixants en particulier. La scintigraphie est parfaitement capable de faire le diagnostic de goitre PLONGEANT à deux réserves près. L’une, commune

maltodextrines dérivant de l'amidon lipides : − AGLC soja, coprah, tournesol, colza − ac gras particuliers : TCM, poisson − véhiculent vitamines liposolubles protéines : caséine, soja 104 Les mélanges nutritifs (2) Contenu énergétique et protéique : hypo-énergétiques : < 1 kcal/mL iso-énergétiques = 1 kcal/mL hyper-énergétiques : > 1 kcal/mL (~ 1.5 kcal/mL) hyperprotéiques : > 20 % AET en protéines 105 Les mélanges nutritifs (3) Les produits disponibles courants : mélanges polymériques et industriels

fixation de l’oxygène (méthémoglobinémie ou carboxyhémoglobinémie). Ce choc peut aussi être observé lors de désordres intracellulaires pouvant perturber la production énergétique. Cela peut être le cas lors de désordres endocriniens tels que hypo ou hyperglycémie, ou hypo hyper adréno-corticisme, urémie. Il en est de même en cas d’intoxications avec le cyanure qui interfère avec les phosphorylations oxydatives mitochondriales de la cellule, altérant la production énergétique. e) Les chocs complexes En pratique

l'anse: • Urine hypo-osmotique car NaCl plus réabsorbé que H2O  Tube contourné distal • pas de réabsorption de H2O • segment de dilution  Tube collecteur • régulation de réabsorption de H2O par ADH • réabsorption non obligatoire  De grandes quantités d'H2O peuvent être éliminées, sans participation du NaCl dû à une ADH basse : diurèse aqueuse  Excrétion de large quantité de NaCl s'accompagne toujours d'une élimination d'H 2O • Effets des médicaments antidiurétiques • Hyperglycémie du diabète Rôle

Gradient osmotique corticopapillaire (GOCP): a/ Création du GOCP: L'anse de Henle ≈ syst. de multipl. de concentr. à contre-courant. Au niveau de l'interstitium: création de GOCP = 900 mOsm/l. (1200 - 300 = 900 mosm/1). 81. Mécanisme: 82. Iso Hypo Fig 33 : Création du gradient osmotique corticopapilaire 83. Système d’échange de chaleur par contre-courant 84. 4ème temps: Echanges passifs d’eau et de solutés à contre-courant 85. b/ Maintien du GOCP interstitiel: Vasa recta

odèmes, Surdosage en diurétiques, Diurèse osmotique, Alcalose métabolique, Insuffisance surrénale , Insuffisance rénale importante, Apport hydrique excessif, Sécrétion inappropriée d'hormone anti-diurétique, Hyperprotidémie, hyperlipidémie, ou hyperglycémie Hypernatrémies : Na > 145 mEq/L Souvent liée à une diminution de la quantité d'eau dans l'organisme entraînant la sensation de soif, Déficit hydrique par diarrhées, vomissements, sudation, pertes respiratoires (hyperventilation), Diurèse osmotique

Biliaire Aérophagie Athérosclérose Cholestérol Blocage énergétique Céphalées Congestion cérébrale Dents Dentition Eczéma Urticaire Fièvre Grossesse Laryngite Muscles Névralgie Nerfs Os et squelette Plaies, coups piqûres Rhume Rhinite Spasmophilie Tension (Hypo-Hyper) Utérus, col et Vagin Vieillissement Allergies Artérite Phlébite Bouche Cinquantaine Ménopause Constipation Dépression Emotivité Flatulences Dyspepsie Hémorragie Leucorrhée Mycose Névrose Hystérie Ovaire et Sein Prostate, Pénis Testicules Sang