Hypocrisie Bourgeoise

danger pour les auteurs → Tartuffe : Molière dénonce l'hypocrisie sociale règne de Louis XIV ( Roi soleil) → monarchie absolue → cour : Versailles → regard du roi essentiel : justice ; influence -Molière ( Jean-Baptiste Poquelin) → droit → famille bourgeoise proche de la cour → auteur/ comédien/ metteur en scène/ directeur de troupe → troupe d'illustre théâtre itinérante palais royal (protégé par le Roi) b) - Le baroque → exagération, démesure → traduire le mouvement, l'instabilité du monde, de la

La politesse est-elle la plus acceptable des hypocrisies ? La première chose qui frappe quand on parle de politesse aujourd’hui est l’idée d’éducation, on taxera ainsi de mal élevé l’enfant qui ne sera pas sage, ne dira pas bonjour madame ou tirera la langue à la vieille dame qui habite en dessous. Mais alors le problème de la politesse ne s’étendrait qu’au domaine de l’enfance et de l’adolescence et l’âge adulte serait lui exempte de ce problème. L’enfance étant l’âge de l’insouciance, de la

satirique. Tous dénoncent le comportement d’une catégorie précise de la société. Le sonnet de Du Bellay, publié dans Les Regrets en 1558, et la fable de La Fontaine intitulée « La Génisse, la Chèvre et la Brebis, en société avec le Lion » fustigent les hypocrisies de la vies, telle qu’elle était vécue au XVIe et au XVIIe siècle entre les courtisans et le roi. Quant au sonnet de Verlaine et au long poème de Rimbaud, respectivement intitulés « L’enterrement » et « A la musique », ils se moquent tous deux des

la première partie , le héros, Bernard Profitendieu, qui a dix sept ans, découvre, à trois semaines du baccalauréat, une liasse de treize lettres d'amour jadis adressées à sa mère et signées d'une simple initiale (un V). Il décide de quitter la bourgeoise maison familiale et de laisser une lettre à son “ père ”, lequel est un notable (un juge). On lit le portrait d'Albéric Profitendieu fait par Gide avant la découverte de cette lettre: “ [il] n'avait eu jusqu'à présent qu'à se louer de ses fils [

plus importantes de la société. Grâce à sa sympathie, il réussit à toucher à son but en vivant quelques semaines avec un statut important. Mais au bout d’un certain temps, nous dit Starobinski, cette réussite va créer sa chute. C’est en fait son hypocrisie, sa fausseté qui va lui devenir insoutenable. Il se sent mal et incompris et, à cause de ce mal-être, il va pendant un petit moment devenir fou. Ce moment lui suffit pour commettre un crime, une tentative de meurtre sur Mme de Renâl. Il se fait

auteurs, et elle réprouvait l’identification et l’empathie : un même discrédit frappait biographie et psychologie, histoire littéraire et morale littéraire, comme les deux faces, le recto et le verso, de l’ancienne critique. La critique éthique était bourgeoise, idéologique, moins morale que moraliste ou moralisatrice, aliénante et aliénée : pensez-vous, la littérature nous rend meilleurs ! Quelle « moraline », suivant le mot de Nietzsche. On ne fait pas de littérature avec des bons sentiments, aurait

fortement critiqué. · Représentation réaliste de la société du Second Empire· Boule de Suif :· Nouvelle· Représentation des caractères et des mœurs· Représentation de la bassesse humaine (hypocrisie, orgueil, mépris)· Critique de l’Allemagne et de la guerre de Prusse + représentation cynique de la société bourgeoise et bien-pensante.· Empathie pour le personnage sympathique de l’héroïne, qui subit une déchéance· Le Horla :· Nouvelle fantastique (un récit qui propose une « hésitation entre du surnaturel

fausse monnaie -La « déviance des enfants » Ils permettent à Gide plusieurs critiques de la société : -la fausse monnaie bourgeoise, monde d’apparence et d’hypocrisie -la fausse monnaie de justice, le mensonge, la dissimulation et la corruption. La fausse monnaie bourgeoise Comme dit précédemment, Ces deux personnages illustrent la fausse monnaie bourgeoise : Elle se croit supérieure et n’est faite que de faux-semblants : -La lecture de la lettre de bernard au chapitre 2 (page 25)

les faveurs des journalistes : énumération = « un sénateur, un député, un magistrat, un général ». - Hypocrisie : « des démonstrations de joie excessives ». II. Le Réalisme Le réalisme est un mouvement littéraire, qui s’oppose au romantisme et qui veut faire de la littérature le reflet de la réalité en dépeignant la société d’époque : l’importance des classes moyennes, ouvrières et bourgeoises, le déclin de la noblesse, avec l’importance de histoire et du contexte parfois avec des connaissances

formulation cinglante « ces vieux singes de cour », tandis que La Fontaine évoque plus sèchement au début de sa fable la « société » établie entre le lion et la génisse la chèvre et la brebis) ; les textes C et D visent l’i nanité des mœurs bourgeoises, dans des circonstances sociales plus ou moins rituelles (che z Verlaine, le titre – « L’Enterrement » - 12FRESEAME-LRM1-C Page 2 sur 8 du sonnet annonce une galerie de brefs portraits t out à fait homogène ; dès le début du poème de Rimbaud