Hypocondrie

Ce qui renforce le fait que la pièce doit être représentée pour mieux la comprendre. Par exemple, Toinette est toujours en mouvement, ce qui suggère qu’elle est en bonne santé alors que Argan est immobile, ce qui traduit sa nonchalance et son hypocondrie. Donc, Molière amuse le spectateur avec plusieurs comiques notamment le comique de gestes et joue avec les mouvements de ses personnages, visibles lorsque la pièce est jouée. La mise en scène est importante et favorise la

Malade Imaginaire » de Molière. Molière, de son vrai nom Jean-Baptiste Poquelin est né le 15 janvier 1006 cents 22 à été l’un des plus grands dramaturge français. Le malade imaginaire est une pièce de théâtre qui met en scène la satire des médecins hypocondrie ainsi que l’amour filial. Dans l’extrait que nous allons étudier est issu de la scène 1 de l’acte I nous découvrons le caractère d’Argan. [LECTURE]. Pour cet extrait nous nous demanderons quel est l’intérêt de cette scène d’exposition. Notre étude

Tableau de distributionType de phobie Effectifs Pourcentages Agoraphobie 18 20.7 Claustrophobie 37 42.6 Ereutophobie 4 4.6 Hypocondrie 16 18.4 Nosophobie 12 13.8 Tableau 2. Distribution des effectifs et des pourcentages de patients en fonction du type de phobie Note : xi, ni et %i sont ici en colonnes.0 5 10 15 20 25 30 35 40 45 Agoraphobie Claustrophobie Ereutophobie Hypocondrie Nosophobie P o u rc e n ta ge d e p at ie n ts Type de Phobie Figure 1. Distribution des pourcentages de patients en fonction

Par quelle providence ? Y a-t-il une providence Démon comme il y a une providence Dieu ? Nous posons la question sans la résoudre. Gwynplaine était un saltimbanque. Il se faisait voir en public. Pas d’effet comparable au sien. Il guérissait les hypocondries(1) rien qu’en se montrant. […] C’est en riant que Gwynplaine faisait rire. Et pourtant il ne riait pas. Sa face riait, sa pensée non. L’espèce de visage inouï que le hasard ou une industrie bizarrement spéciale lui avait façonné, riait tout seul

être d’origine organique (tumeurs cérébrales, blessures au cerveau touchant l’hypothalamus (qui contrôle la sensation de satiété ou de faim)) Psychique (névrose (troubles du comportement dont le malade est conscient, mais qu'il ne peut dominer), hypocondrie, état démentielle) Médicamenteuse (un abus de médicaments peut couper la faim). Diapo 8: l’anorexie mentale: trouble psychique qui se traduit par une peur de grossir, qui oblige à lutter contre la faim ce n’est pas une perte d’appétit mais

réceptif. Il est tellement « accroché » à son hypocondrie qu’on ne peut l’en sortir par aucun moyen . Dans le dénouement, faute de parvenir à le guérir, Béralde propose de « s’accommoder à ses fantaisies » au moyen d’un divertissement théâtral. La comédie de Toinette pour lui faire prendre conscience des abus des médecins n’aura donc pas été efficace, pas plus que la discussion sérieuse avec Béralde : Argan n’est pas guéri de son hypocondrie, mais il est trompé et moqué, croyant

de la scène, Argan manifeste un autre trait de caractère comique que son hypocondrie en se comportant comme un vieillard acariâtre. Lecture expressive de la scène Développement, analyse linéaire du passage Cette scène d’exposition prend la forme d’un monologue, comme le stipule la didascalie initiale : « ARGAN, seul dans sa chambre, assis… ». Ce type de réplique est déjà révélateur du personnage d’Argan : son hypocondrie est telle qu’elle contribue à l’isoler de sa famille. D’un côté il est replié

très brèves, ces réponses ont une connotation de reproche. Portrait stéréotypé / coquette hypocondriaque Irène pose énormément de questions à propos de son état de santé qui lui semble préoccupant et digne d’un remède magique ce qui prouve son hypocondrie. Elle est coquette parce qu’elle est très préoccupé par son apparence, s’inquiète beaucoup mais fini par enfin refuser les conseils de l’oracle qui étaient digne suivi. Quelle morale La Bruyère veut-il délivrer à travers ce portrait satyrique

la cloche) et angoissé à l’idée de mourir dans la solitude, « pauvre malade », « ils me laissent mourir ». Cette panique peut paraître hyperbolique et comique mais est en réalité tragique car c’est là que réside la maladie réelle d’argan son hypocondrie, sa peur de la mort et surtout sa peur de la solitude prouvé par la répétition de « seul » à deux reprises et l’utilisation du mot pitoyable. Ce second mouvement reprend bien la personnalité d’Argan vue au début mais on assiste à un retournement

Par quelle providence ? Y a-t-il une providence Démon comme il y a une providence Dieu ? Nous posons la question sans la résoudre. Gwynplaine était saltimbanque. Il se faisait voir en public. Pas d’effet comparable au sien. Il guérissait les hypocondries rien qu’en se montrant. Il était à éviter pour des gens en deuil, confus et forcés, s’ils l’apercevaient, de rire indécemment. Un jour le bourreau vint, et Gwynplaine le fit rire. On voyait Gwynplaine, on se tenait les côtes ; il parlait, on se