Hypotypose

demande alors à ce qu’on lui amène son fils et il demande à Neptune de ne pas mettre son vœu en œuvre. Acte V, Scène VIThésée demande à Théramène où est Hippolyte, Théramène est en train de pleurer et lui annonce qu’Hippolyte est mort. Hypotypose : description qui donne à voir une scène animée et frapante Thésée demande comment ça s’est passé. Théramène lui explique qu’il s’est battu avec un monstre sorti des flots, il a perdu et ses dernières paroles avant de mourir étaient qu’il

s'inspire Sextus Empiricus, qui semble le placer au même rang qu'Ænésidème47. Ennemi déclaré du dogmatisme et de la dialectique, il a probablement48 inspiré le curieux et piquant chapitre sur la solution des sophismes qui termine le deuxième livre des Hypotyposes de Sextus, et qui oppose, avec une si claire conscience de leur radicale différence, la méthode a priori et la méthode a posteriori. Ménodote fut le père du phénoménisme, nous pourrions dire du positivisme dans l'antiquité. [49] Sur ce personnage

mettre en relief une idée au moyen d’une expression exagérée. L’hyperbole est donc une exagération exprimée par l’accumulation, par l’emploi d’intensifs ou par l’emploi de mots excessifs. Ainsi, la phrase « Je meurs de faim » est une hyperbole. Hypotypose (féminin) : L’hypotypose est une figure qui se fonde sur l’animation d’une description et qui est destinée généralement à faire voir au lecteur quelque chose. L’hypotypose permet de se représenter une scène ou un objet. Ironie (féminin) : L’ironie

la mort et s’en trouve transfiguré : « Je meurs trop glorieux, puisque je meurs pour vous ! ». Pendant un instant, il semble retomber dans la peur de la mort et dans le désespoir ("la peur de la mort me fait déjà mourir"). Au cours d’une longue hypotypose ("Je vois le lieu fatal où ma mort se prépare"), il vit en imagination son supplice. Mais c’est encore l’image d’Isabelle qui vient effacer cette macabre vision. L’amour lui permet donc de dépasser la pensée et la peur de la mort. 6 Mélange des

.................................................................. 40 A. Un moment clef de l’œuvre : Le chapitre 25, « Amitiés » ............................................. 41 1. La manifestation de la violence à travers le récit : pathos et hypotypose........... 42 2. Un débat qui permet d’éprouver diverses options ................................................ 46 3. Ce qui émerge de cette confrontation ...................................................................... 55 B. Un parallèle-différence

la mort et s’en trouve transfiguré : « Je meurs trop glorieux, puisque je meurs pour vous ! ». Pendant un instant, il semble retomber dans la peur de la mort et dans le désespoir ("la peur de la mort me fait déjà mourir"). Au cours d’une longue hypotypose ("Je vois le lieu fatal où ma mort se prépare"), il vit en imagination son supplice. Mais c’est encore l’image d’Isabelle qui vient effacer cette macabre vision. L’amour lui permet donc de dépasser la pensée et la peur de la mort. C. L’IC

d’intertextualité, un texte qui se greffe sur un texte plus ancien (appelé hypotexte) qui fait l’objet d’une réécriture. Hypotaxe (genre féminin) : figure qui consiste en une accumulation inhabituelle des liens de subordination (à opposer à la parataxe). Hypotypose (genre féminin): figure qui consiste à multiplier les notations pittoresques pour donner une description vivante, animée d’un tableau ou d’une scène, au point que le lecteur croit voir se dessiner le tableau ou la scène sous ses yeux.. Hypozeuxe

mettre en relief une idée au moyen d’une expression exagérée. L’hyperbole est donc une exagération exprimée par l’accumulation, par l’emploi d’intensifs ou par l’emploi de mots excessifs. Ainsi, la phrase « Je meurs de faim » est une hyperbole. Hypotypose (féminin) : L’hypotypose est une figure qui se fonde sur l’animation d’une description et qui est destinée généralement à faire voir au lecteur quelque chose. L’hypotypose permet de se représenter une scène ou un objet. Inversion.n.f : Renversement

l'incendie associés à la rime des vers 7-8. Cette scène apparaît, dans les propos d'Andromaque, comme une véritable hallucination. La référence au sens de l'ouïe (« cris » v.11) complète le caractère vivant de cette hypotypose. L'emploi des participes présents (« ensanglantant » v.4 ; « entrant » v.8 ; « se faisant » v.9 ; « échauffant » v.10) met sous les yeux du lecteur-spectateur le personnage en train d'accomplir l'action décrite

s’appelle une abstraction, telle cette transformation d’un adjectif associé à un nom en complément du nom à partir de l’adjectif substantivé ou du nom correspondant. Ex. Il regardait la belle jupe → Il regardait la beauté de la jupe. Dans cette hypotypose, la concrétisation a pour objectif de rendre les souffrances tangibles, visibles. [10] Il y a quatre rythmes de la narration : la scène, l’ellipse, la pause, le sommaire. [11] Image, le plus souvent picturale, évoquant la vanité, l’insignifiance