Héro Méchant

Jean par exemple, B – Evasion et distraction Quand on lit un roman, cela détend, cela fait réver, on a tendance à partir ailleurs par le biais de l'imagination, on s'évade vers d'autres contrée en quelque sorte. On a tendance à rêver avec le héro, comme par exemple Madame Bovary qui lit elle-même beaucoup, on se met dans la peau du personnage, on essaie de ressentir ce qu'il ressent. Ou alors par exemple avec Les Nouveaux Robinsons suisses et toute la vogue des histoires qui se déroulent sur

De même, ces présentations des personnages sont nuancées. Bien loin du schématisme que Flaubert reproche à Hugo, ce dernier met en scène des personnages complexes, qui possèdent une part de bien et de mal en chacun d’eux. Jean Valjean n’est pas un héro sans défauts et indéniablement bon. Il possède aussi une part d’ombre. Ainsi, au début de l’œuvre, il est le bagnard sombre, haineux envers la société et qui vole Monsieur Myriel et Petit Gervais. Il se convertit ensuite grâce à l’évêque et devient

dans le même chapitre : livreur de fuel + cuisinier + met le câble non officiellement Assume son image de petit « filou » avec autodérision (l.87) → il est décomplexé par rapport à la légalité. Se présente comme un redresseur de tort → c’est un héro qui vole aux riches et redistribue aux pauvres → justicier du quotidien : l.42-44 « robin des bois » Son mode de vie : C’est un « viveur », un hédoniste, aucun plan de carrière + pas de spécialisation + non matériel + non ambitieux (c’est le bouche

------------------------------------------------- Don Quichotte : le héro victime de son imagination Don Quichotte est le nom que s’est choisi un pauvre hidalgo (gentilhomme) de la Manche, si imprégné de ses lectures qu’il en vient à vouloir vivre à la manière des chevaliers errants du temps jadis, qui parcouraient le monde pour défendre la veuve et l’orphelin ou pour purger la terre de tous les monstres qui l’infestent, au milieu des sortilèges de magiciens et fées plus ou moins bien intentionnés

mauvais fond. Prenons le cas de Dexter. Certes, personne ne pourrait contester la cruauté de ce serial killer ; mais attention, c’est un « tueur apprivoisé » puisqu’il ne frappe pas gratuitement, mais qu’il élimine uniquement des criminels, des « méchants », comme lui a enseigné son père adoptif. Percé au grand jour, Dexter est un justicier qui n’a rien à envier aux héros fédérateurs des générations antérieures puisqu’il débarrasse la société de ses mauvais éléments, aussi bien le jour avec son

une femme damnée sur terre ; elle avait une affaire avec Florence, la femme de son cousin. Elle et Florence l'ont tué et après elle se sont suicidées au gaz. Inès dit d'elle-même qu'elle a besoin de la souffrance des autres pour exister (je suis méchante). Estelle: son amant s'est tué à cause d'elle, parce qu'il l'a voulait pour lui tout seul mais elle avait sa réputation à garder. Elle a eu une fille avec lui (Roger) mais l'a jeté à l'eau. Garcin conclue: aucun de nous ne peut se sauver tout

place, immédiatement « lassé choir »:tomber sa beauté, perdre la beauté « ô »:une manière de s'adresser à une personne importante, souligner l'importance d'une personne « marâtre »:une vielle femme méchante et jalouse « nature »:une personne « puisque »:explique pourquoi la nature est méchante « si vous me croyez »:cherche à convaincre « âge fleuronne »:dans la fleur de l'âge « cueillez votre jeunesse »:profiter de l'instant présent Louise Labé honnête:noble science:connaissance théorique

touché de votre extrême générosité que de la dureté de ce monsieur à manteau noir, et de madame son épouse ». On voit aussi que le « bon » est quelqu'un qui n’est pas baptisé ce qui montre la critique de la religion que fais Voltaire alors que le méchant est celui qui est religieux. On le voit à la page 184 aux lignes 31 à 34, « La femme de l’orateur ayant mis la tête à la fenetre, et avisant un homme qui doutait que le pape fût antéchrist, lui répendit sur le chef un plein… » et aux lignes 36 à

aussi des personnages secondaires tels que : Adila, l’ainé des tantes de Siana qui privilégie ses études et se préoccupe de l’éducation de Siana ; Noème, tante de Siana douce et attentionnée ; Mbondo, l’ainé des oncles de Siana, un homme méchant ; Nguia, oncle de Siana, un homme sarcastique ; Kiéssé, grand-mère de Siana très protectrice, gardienne de la tradition et de la moralité qu’elle transmet à son petit-fils ; Umangui, grand-père de Siana qui déteste ce dernier ; Jarria

terreur mêlée de pitié, et enfin la catharsis. La référence littéraire du découpage a d’autant plus de sens qu’il s’agit d’éclaircir le propos d’un romancier. Le présage" j’écoutais venir [...] à moi ", " j’imaginais ", " demain ", " les attendait un méchant traquenard ", " évoquer […] les espaces célestes ", "les horizons déchirés d’éclairs ", " la paume de la main "  et l’emploi du futur " reverraient, jouerait, passeraient, puiserait " Le mauvais présage est le point de départ de la tragédie. L’auteur