Héro Méchant

belle Esmeralda et à battre Frollo le “méchant “qui tente de l’assassiner. Le spectateur reste admiratif devant quelqu’un qui malgré sa répugnance physique, son handicap parvient à combattre, plaire, séduire… Ainsi le personnage divertit, épate et génère de l’intérêt de par ce qu’il fait ; mais tout ceci à ses limites. Plus que les actes, pour que le spectateur/lecteur trouve de l’intérêt, il faut qu’il ait un sentiment d’attachement propre au héro, à sa personnalité, à ce qu’il est.

pages et des pages, avec qui l’on va partager des sentiments, des émotions, avec qui l’on va s’investir durant la lecture est il obligatoirement vertueux ?Comment un roman mettant en scène un héros méchant ou monstrueux puisse intéresser et séduire ?Dans un premier temps, nous verrons que le anti héro, c’est a dire le héros qui ne répond pas aux qualités habituelles, est une figure nécessaire du roman, ensuite, nous étudierons la fascination du lecteur pour le mal, et enfin, nous nous intéresserons

limite de cette identification et enfin le pouvoir de l'auteur dans cette possible identification. En premier lieu, l'attitude la plus directe à avoir par rapport à la lecture d'un roman est sans doute l'identification au personnage principal. Le héro est souvent positif, on lui voit de nombreuses qualités et de nombreux savoir faire. Ici on se permet donc d'aimer le personnage. Arsène Lupin par exemple, Gentleman-cambrioleur inventé par Maurice Leblanc, avec son ingéniosité et sa morale de Robin

plan antithétique.] Introduction : Nous lisons tous des romans. Si l’on varie le genre de roman on peut parfois observer que le héro ne réussit pas tout le temps. En revanche, le personnage possède toujours : des caractéristiques, un portrait, une fonction et un certain degré de psychologie. C’est pourquoi nous pouvons nous demander si un héro de roman doit-il forcément réussir pour exister et avoir sa place dans son roman. Soit, y-a-t-il d’autres moyens pour lui d’exister ?

personnage Joseph Garcin est un journaliste politique, plus ou moins engagé car il écrit dans un journal pacifiste. Il vit à Rio avec sa femme et a été fusillé pour désertion. Il se présente comme un héro car, de son vivant, il vivait selon ses principes et était fier de sa situation. Cependant cette image de héro ne lui correspond pas tout à fait, dans le sens où ses actions montrent le contraire de ce qu’il voudrait qu’on pense de lui : (Page 14-21) Il veut paraître calme et serein alors qu’en réalité

héros me rendait quelque peu réticent. En effet, le scénario me semblait prévisible : une ville paisible jusqu’à l’arrivée d’un super méchant, finalement éliminé par un super héros, à la grande joie des honnêtes citoyens. Or, dès la lecture du synopsis, mon opinion à totalement changée. Et pour cause, à ma grande surprise, le personnage principal est … le méchant. On retrouve dans ce film de nombreuses références aux personnages de bandes dessinés (superman …) et une trame paraissant, à première

respectueux envers le héro en dépit de sa gêne : il n’ose pas demander directement ce qu’il souhaite et utilise des formes de politesse comme « Monsieur » et le vouvoie constamment : « Si vous vouliez, Monsieur, me secourir de quelque aumône ? » (Réplique 4), « Ah ! Monsieur, voudriez-vous que je commisse un tel péché ? » (Réplique 16). On ajoute aussi qu’il utilise le conditionnel pour s’exprimer poliment, exprimer un souhait et même suggérer de lui donner l’aumône. Le héro apparait dans cette

vêtu de son costume au couleur de l’Amérique. Sur ce costume nous pouvons en effet voir les 13 bandes et les étoiles. Les 13 bandes rouges et blanches représentent les 13 colonies et les étoiles les états. Il est donc l’emblème des états unis. Ce héro ne porte aucune arme, qu’un bouclier. Ceci montre donc sa force contre toutes épreuves. Il est en train de soulever un soldat communiste, reconnaissable à la faucille et au marteau (l’emblème de l’USSR) sur son épaule, c’est une démonstration de sa

face de lui. Il est comme un requin avec son cure-dent toujours en bouche comme si il allait retirer la chair des gueules de ses victimes (voir scène où il est sur le canapé avec le fils d'Irene, il lui demande si c'est un gentil ou un méchant et il répond méchant puis Ryan demande si il n'y a pas de gentils requins?) et en dessous de cet aspect docile qu'on pourrait lui penser, il est d'une violence… il parle peu et se demande souvent si les choses qu'il vit et qu'il voit devraient vraiment le toucher

musique , il y a toujours la jeune fille innocente qui est en proie a la vengence ou au désir d’un homme qui représente le mal et face a cet homme méchant vous avez le jeune homme ou l’homme qui au contraire va essayer de sauver la jeune fille, il y a beaucoup de péripéties. Le mélodrame se termine souvent mal. Les caractéristiques du drame romantique : un héro solitaire, qui se sens rejetté , déclassé . Le drame romantique est souvent très historique : dans Hernani DON CARLOS = Charles 1er roi d’Espagne