Héros Négatif Rejet Lecteur

sauf celle du verlan. On ne peut même pas dire que ce concept vienne de « arabe » inversé. Il s’agirait, en fait, d’un mot qui vient du langage populaire rebeu qui signifierait arabe en verlan. Bien que l’usage de ce terme se soit généralisé, il est rejeté par des écrivains comme Azouz Begag car il sert à présenter tous les jeunes d’origine maghrébine comme un groupe homogène ayant tous les mêmes caractéristiques sociales. En outre ce terme occulte le fait que ces jeunes sont des citoyens français.

heureux, de bon augure (Cf. les auspices dans l’Antiquité romaine). Donatello, David (vers 1440) Pour montrer que cette statue est inspirée de l’Antiquité, on attirera l’attention des élèves sur les points suivants : – la nudité ; – le thème antique du héros ayant combattu un être extraordinaire (ici un géant) ; – le corps androgyne (noter la chevelure féminine) ; – le déhanchement exagéré qui apparaît tardivement dans la statuaire héllénistique (Cf. la Vénus de Milo) et est repris à la Renaissance. Vittore

statut de héros ou d’antihéros, son évolution à l’intérieur de l’œuvre, la projection qu’il reflète du projet artistique de l’auteur, de la réalité et de la vision de l’époque de production. À travers le champ littéraire du romantisme et du réalisme, il s’agit d’étudier les caractéristiques du personnage romanesque et théâtral, ses constances et ses avatars. Les trois interrogations qui guident cet objet d’étude orientent le parcours du questionnement sur la notion de personnage et de héros, sa

menace pour gagner leur gagne – pain. William Talbot mène lui aussi des recherches parallèles à celle de Niepce et de Daguerre. Il invente la calotypie, procédé négatif – positif qui permet la diffusion multiple d’images. Talbot installait une feuille de papier enduite de chlorure d’argent dans sa chambre noire. Il obtenait un négatif, qu’il cirait pour le rendre transparent. Il le plaçait ensuite sur une autre feuille imprégnée puis l’exposait à la lumière du jour. Il créait ainsi une image positive

elle se met à écrire. Son premier roman, Un grand-père tombé du ciel, obtient successivement le prix du Roman Jeunesse du ministère de la Jeunesse et des Sports en 1996, le prix Sorcière en 1998 et, la même année, le Grand Prix des jeunes lecteurs de la PEEP. Ainsi débute sa carrière d’écrivain. Ainsi sont posées les bases d’une œuvre riche, avec les thématiques privilégiées de la Shoah, de la transmission, et les figures récurrentes des grands-parents gardiens de la mémoire et des adolescents

faiblesse de son cœur, et parlait de «certaines images» troublantes dont il redoutait la séduction : les a-t-il fixées sur le papier pour se débarrasser d’elles, et a-t-il fait de son récit une confession avec, ainsi qu’il le prétendra dans son “Avis au lecteur”, une intention moralisatrice? Mais celui qui fut le traducteur allemand de “Manon Lescaut” en 1957, M. Lernet-Holenia, pense que l’histoire serait celle d’une certaine Manon Aydou, fille d’une certaine Antoinette, dite Toinon, qui l’eut d’un nommé

question de « La représentation du héros déchu dans Le Rouge et le Noir et la Chartreuse de Parme de Stendhal ». Ainsi libellé, le sujet pose précisément le problème de la représentation de la déchéance de deux différents héros dans la société française et milanaise en proie à des changements. Comment la représentation est-elle pertinente dans la peinture de cette déchéance ? Comment la base matérielle qui charpente la trame de ces romans est-elle vécue par les lecteurs à travers la représentation ?

Pichois, A. M. Rousseau, Qu’est-ce que la littérature comparée?, Armand Colin, 1983, p. 150 10 des revendications communes comme le changement nécessaire des formes en littérature; ils manifestaient de plus, une même volonté d’intéresser le lecteur à autre chose que l’intrigue et les personnages. A ce sujet la romancière française se prononce dans son essai intitulé L’ère du soupçon : « On commence maintenant à comprendre qu’il ne faut pas confondre sous la même étiquette la vieille analyse

désirera une bibliographie plus complète, à la base de données bibliographique tenue depuis vingt ans elle aussi, mais disponible depuis cette année seulement sur Internet, à l’adresse www.limag.com. n Le contexte La relation au réel Le lecteur étranger à la réalité maghrébine qui ouvre pour la première fois un roman algérien y cherche le plus souvent un document sur une société qu'il ne connaît pas. Et quand ce roman a été comme Nedjma publié pendant la guerre d'Algérie, en 1956, il y cherche

qui désirera une bibliographie plus complète, à la base de données bibliographique tenue depuis vingt ans elle aussi, mais disponible depuis cette année seulement sur Internet, à l’adresse www.limag.com. n Le contexte La relation au réel Le lecteur étranger à la réalité maghrébine qui ouvre pour la première fois un roman algérien y cherche le plus souvent un document sur une société qu'il ne connaît pas. Et quand ce roman a été comme Nedjma publié pendant la guerre d'Algérie, en 1956, il y cherche