Héros épiques Ou Ordinaires

Le registre épique - Le registre épique célèbre une collectivité dans son combat contre des forces aussi puissantes que mauvaises et glorifie des héros le plus souvent surhumains et invulnérables qui bénéficient d’appuis surnaturels. Il construit une vision symbolique et éthique (lutte entre le bien et le mal) de l’expérience humaine. - Effet recherché : susciter l'admiration du lecteur face à la relation d'exploits sublimes et surhumains, provoquer l’enthousiasme et sans sentiment d’appartenance

centraux: des héros comme Yvain, Lancelot ou encore Perceval chez Chrétiens de Troyes, ou encore dans Tristan et Iseut, de Bréoul, qui fait parti des premiers romans français , inspirés d'histoires comme L'Illiade ou L'Odyssé de Homère. Ce sont des oeuvres qui présentent une suite d'événements aventureux et racontent les hauts faits d'un personnage mythique en recourant généralement au surnaturel. Le personnage qui vit des aventures « singulières » est donc présenté sous forme d'un véritable héros et se

vocabulaire employé est fréquemment expressif, de même que la ponctuation. La poésie épique La poésie épique évoque des événements historiques (mêlés généralement à des légendes) ou des héros magnifiés. Il s’agit en fait d’accorder à un fait ou à un héros une grandeur et une force extraordinaires. La poésie épique n’est pas forcément liée à l’épopée. Comme les actions représentées sont extraordinaires dans la poésie épique, l’hyperbole est fréquemment employée ainsi que les comparaisons grandioses.

l'expression de la souffrance, mais il s'agit de celle de héros solitaires, confrontés aux drames de la destinée humaine : les passions dévastatrices, la fatalité, le mal, la mort. L 'expression du tragique se distingue de celle du pathétique : - Le langage est plus soutenu - L'accent est moins mis sur la douleur individuelle que sur la situation désespérée du personnage et sur les méditations qu'elle entraine. Le registre épique : Il emprunte ses caractéristiques au genre de l'épopée

thecnique arrive .Et c'est en 1836 qu'est née le roman-feuilleton , cela permet au auteur de beaucoup plus se dévellopé car plus de gens lisent leurs écrie . d) personnages et thèmes du réalisme Les personnages des œuvre réalisme sont ordinaire , avec un destin et une vie commune au autre homme . Les personnages on des rôle assez précis : -le jeune homme : c'est une des figures principale du roman réaliste , le jeune homme aide à montrer comment se constitu la nouvelle société qui est

rêve, l’imaginaire, l’idéalisme. Mouvement précédent est le Classicisme=XVIIe siècle. Le Naturalisme va s’opposer au Classicisme, car les personnages des comédies et des tragédies ne sont que des êtres abstraits, ils ne reflètent pas la vraie vie (héros invraisemblance). Ce mouvement s’oppose au romantisme qui privilégie le « moi », l’introspection, le rêve, la fuite hors du réel, rempli de lyrisme (=expression des sentiments personnels) et d’onirisme (=rêve), le Romantisme s’éloigne trop de la réalité

L’Univers de la fiction, 1988) ] Pb : comment le lecteur reconnaît-il un genre et y inscrit tel texte ? Pas seulement pb d’inclusion, exclusion, traits distinctifs, mais également phénomène d’aperception irréfléchie. Petite typologie naïve : lecteur ordinaire / lecteur professionnel. 4 catégories sont postulées de manière implicite : (acte de jugement pré-réflexif qui rapporte l’œuvre aux idées régulatrices des genres littéraires généraux : la lecture se déroule sur le fond de ces genres qui conditionnent

environnant. Par exemple, René de Châteaubriand, Corinne de Mme de Staël, Oberman de Senancour... L'écart entre l'individu et le monde se traduit alors souvent par une pathologie qui peut être décrite de façon objective ou distanciée (comme l'impuissance du héros dans Armance de Stendhal ou la faiblesse de caractère dans Adolphe de Benjamin Constant). Dans ces romans, l'intérêt du lecteur porte ainsi sur la singularité subjective d'un individu qui, bien loin de se présenter comme un modèle plus ou moins héroïque

cœur de cormier” symbole de vie - l’arbre de cormier donne fruits nourriture des dieux - en fait FJean va tuer avec mais comme si c’était un travail de dieu2 - “bien équilibré en main”attribut du sujet + parodie épique - FJean sait ce qu’il fait, contrôle,ressemble à un guerrier- parodie épique, tonalité héroï-comique 2 - “parsemé de fleurs de lys presque toutes effacées”symbole de la royauté- FJean se bat avec symbole royauté + religion, va essayer de redorer le bâton et de faire prospérer la royauté

Biographie de Racine : Né à la Ferté-Milon, le 21 décembre 1639.  Trésorier de France, secrétaire du roi, gentilhomme ordinaire de sa chambre. Commença ses études au collège de la ville de Beauvais, les poursuivit à Port-Royal (1655-1658) et fit sa philosophie au collège d’Harcourt à Paris. Il fut nommé à l’Académie française, en remplacement de La Mothe le Vayer, le 5 décembre 1672, et reçu le 12 janvier 1673, le même jour que Gallois et Fléchier. C’était la première réception publique ; soit que