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tradizionali è pressoché fisso, con situazione iniziale di equilibrio (detta esordio) che viene turbata (per esempio, l’intervento dei bravi per mandare a monte il matriìmonio di Renzo e Lucia ne I Promessi Sposi), varie peripezie, in un crescendo di tensione che raggiunge il massimo (detto Spannung, per esempio, sempre ne I Promessi Sposi, il rapimento di Lucia), fino alla conclusione che ristabilisce un equilibrio (detto scioglimento, non necessariamente positivo); • l’articolazione del racconto in sequenze

Chaimae INTRODUCTION AXE 1 Circonstances de constitution de Bâle I I) création du comité de Bâle 1) Présentation du comité de Bâle 2) Les principales missions du comité de Bâle II) L’accord de Bâle I AXE 2 Contenu de Bale I, Ratio de COOKE I)  Les modalités de calcul du ratio de Cooke 1) Analyse des fonds propres 2) Analyse des risques pondérés II) Les apports du ratio de COOKE AXE 3 Passage de Bale I à Bale  II 1/ insuffisances du ratio de  COOKE 2/ apports de BALL

capacité de jouer plusieurs notes à la fois et on parle d'instruments polyphoniques. La polyphonie de nos jours Aujourd'hui, suite au succès sur le continent du groupe I Muvrini (Les petits mouflons), la polyphonie corse est arrivée à trouver un public hors de la Corse et des Corses expatriés. Certains groupes tels que I muvrini ou encore L'argusci di Pasquale n'hésitent pas à mélanger les styles, les instruments et les cultures afin de créer un style qui leur est propre et qui s'éloigne de

Introduction: L’accord Bâle I n'était qu'une première étape pour plusieurs raisons : - non prise en comptes des risques "hors bilan". - insuffisance de finesse d'analyse de la complexité. - insuffisance de la différentiation des risques liés aux crédits. Le Comité de Bâle a proposé un ensemble de recommandations qui permettent de mesurer le risque de crédit d’une façon plus pertinente, en prenant en compte la qualité de l'emprunteur, y compris par l'intermédiaire d'un système de notation

AFFECTE L’ENVIRONNEMENT BANCAIRE ET LA MISE EN PLACE D’UN SYSTEME DE CONTROLE DE GESTION. ............................................................................................................................................................ 8 I. LES MUTATIONS QUI ONT REMIS EN CAUSE L’ENVIRONNEMENT BANCAIRE.................... 9 1. L’ENVIRONNEMENT BANCAIRE AVANT 1980 ................................................................................................ 9 a. La banque après la Deuxième

leur soutien moral et leur continuel encouragement. Sincère gratitude. Sommaire Introduction 4 Partie I : les accords de Bâle et la crise financière 6 Chapitre I : Les Accords de Bâle 6 Chapitre II : La crise financière actuelle 9 Chapitre III : Les points positifs de Bâle II face à la crise 16 Partie II : Bâle II : Des lacunes à surmonter 21 Chapitre I : les limites propres aux accords de Bâle II 21 Chapitre II : les limites exogènes aux accords de Bâle II 24

de Bâle II entre ainsi en vigueur. Tout au long de ce document, nous établirons dans un premier aspect les acquis et limites des accords de Bale 1 pour ensuite mieux nous attarder sur Bale 2. A- De Bâle I vers Bâle II I- Les accords de Bâle I L’accord de 1988, dit Bâle I ou Ratio Cooke, a établi un ratio minimum de fonds propres applicable aux banques actives sur le plan international. Pour le calcul de ce ratio, on retient les fonds propres répartis selon trois grandes masses (le

réglementation bancaire n’a pas suivi l’évolution rapide des marchés ni la progression des établissements financiers dans la gestion des risques. En effet, les exigences de fonds propres, relativement insensibles aux risques, introduites par l’accord de Bâle I en 1998 sont obsolètes. Leur révision (Bâle II) est donc urgente. Le présent numéro d’Economic Briefing, consacré à ce sujet vaste et complexe que sont les nouvelles directives, tente d’en donner différents éclairages. Ce faisant, il met l’accent sur

| | |CHAP 1  : Risques bancaires et l'accord de Bâle I | | |Introduction | | |I. Inventaire des risques bancaires |

l'égide de la Banque des règlements internationaux et ont abouti à la publication de la Directive CRD. Les normes de Bâle II devraient remplacer les normes mises en place par Bâle I en 1988 et visent notamment à la mise en place du ratio McDonough destiné à remplacer le ratio Cooke. En 2010, le minimum de fonds propres Tiers-I requis par les accords de Bâle est de 4 % mais les investisseurs exigent plutôt des banques un ratio supérieur à 10 %[1]. Face aux 500 milliards d'euros de produits dérivés[2]