IG Farben

« ennemis d’Etat » sont exploités. En 1942, l’utilisation du travail forcé est systématique à l’intérieur et à l’extérieur des camps. A Auschwitz-Monowitz, des dizaines de milliers de Juifs sont employés dans l’usine de caoutchouc synthétique de Buna (IG Farben). De même dans le ghetto de Lodz, les nazis installèrent 96 usines et ateliers[3]. Parfois, le travail forcé est devenu une chance de survie. Ceux qui avait la « chance » d’être déclaré apte au travail pouvait espérer survivre encore un peu. En d’autres

internationale l'économie des pays vainqueurs. Ainsi, en Allemagne, les konzerns, grands groupes de l'industrie qui ont financé le parti nazi et utilisé la main-d'œuvre des camps de concentration, ces grands groupes sont démantelés à l'image de IG Farben. Le même phénomène se produit au Japon avec la suppression des zaïbatsus et avec la mise en place d'une réforme agraire imposée par les Américains. La suite du cours : I-C - Le bilan

familiale », un camp ne s’occupant que de la garde et du triage des biens confisqués aux détenus et un camp de femmes. Auschwitz III fournissait de la main-d’œuvre gratuite à un complexe industriel qui produisait du caoutchouc synthétique appartenant à IG Farben. Le nombre maximum de détenus, camp annexés inclus est de 145 000 personnes. L’estimation du nombre de mort est entre 2,1 et 2,5 Millions dans les chambres à gaz, dont près de 2 Millions de juifs, ainsi que des polonais, des tziganes et des prisonniers

camp de concentration et centre de mise à mort immédiate où périrent plus d'un million de personnes, juives dans leur immense majorité ainsi que des Tziganes. Auschwitz III (Monowitz), ouvert le 31 mai 1942 — Un camp de travail pour les usines IG Farben. Ces trois camps étaient complétés par une cinquantaine de petits camps dispersés dans la région et placés sous la même administration. Auschwitz I[modifier] Articles connexes : Arbeit macht frei, Expérimentation médicale nazie, Chambre à gaz

réquisitionnent les matières premières et les produits alimentaires. Ce qui entraîne des pénuries, la misère et l’apparition du marché noir. La main d’œuvre étrangère est également exportée en Allemagne ou travaille pour les gandes entreprises comme IG Farben. En parallèle, le Service du Travail Obligatoire ( STO) est mis en place en France en 1943. Les allemands terrorisent les populations des pays vaincus. Les libertés sont supprimées et la police politique allemande, la Gestapo, multiplie les arrestations

Juifs et des résistants de toutes nationalités. Auschwitz II-Birkenau : ouvert le 8 octobre 1941, est un camp à la fois de concentration et d’extermination. Auschwitz III (Monowitz) : ouvert le 31 mai 1942, est un camp de travail pour la société IG Farben. Il y a eu plus de 1.1 million de victimes et la majorité de la population était juive (90%). Pour les exterminés, le camp était aménagé de chambre à gaz. Les victimes mouraient très souvent dans ces chambres, par arme à feu, de maladie, de mauvais

monstres industriels mondiaux, les cartels de la chimie, de la pharmacie, du pétrole, de l'agro-industrie, de l'armement, etc. Comprendre l'impasse du XXIe siècle c'est comprendre l'impasse des cartels industriels au XXe siècle. Comprendre comment IG Farben et Rockefeller (Standard Oil), notamment, s'associent à Hitler, un artiste-peintre raté, pour pouvoir conquérir le monde. 1945 signifie la disparition d'Adolf Hitler, mais pas la disparition des cartels, bien au contraire. Ces cartels industriels

Birkenau : Auschwitz était un ensemble de trois camps, construits près des villages polonais d’Oswiecim (Auschwitz en allemand), Brzezinka (Birkenau en allemand) et Monowitz, où les détenus produisaient du caoutchouc (Buna en allemand) pour l’usine IG-Farben.

|armements et soutien aux grands groupes industriels. ( ex |à atteindre : stakhanovisme. | | |patrons et salariés ). + politique de grands travaux |: Krupp, IG farben ) |La société stalinienne se prétend communiste : les classes| | |soutenus par l’Etat. |Nationalisme belliqueux : extension

magnétophone Un magnétophone est un appareil permettant d'enregistrer des sons sur une bande magnétique. Les bandes peuvent être en bobine ou en cassette. Le nom Magnetophon était au départ une marque déposée par AEG(Telefunken) et IG Farben et désignait les seuls enregistreurs à ruban. Ce terme est passé dans le langage courant, devenant une sorte de nom commun. Le principe est de polariser grâce à un électroaimant (tête magnétique), les particules métalliques magnétiques d'un support