Ignorance

Le 20/09/2012 Français : Les couples littéraires [pic] Depuis la nuit des temps, les couples font partie du quotidien. Qu’ils soient amoureux, bons copains ou encore ennemis, ils sont partout ! Quand il s’agit d’amour c’est souvent, "Ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants", ça c'est bon pour les Disney. Dans les romans, il est rare qu'un couple reste uni très longtemps. Parfois même, les protagonistes se cherchent durant tout le livre pour finalement, ne pas se trouver

société, celles que l'on vente le plus et que l'on admire par leur habileté à parler en public et à être convaincantes, sont malheureusement dans un contexte de double ignorance. C'est-à-dire, qu'elles ne savent pas qu'elles ne savent pas. Aujourd'hui, un grand nombre de personnes font partie de ce mouvement intellectuel, la double ignorance. Par exemple, depuis la nouvelle réforme de 2000-2001, le renouveau pédagogique, qui tente l'éducation par l'approche par compétences, à suscitée tout un débat au

Des sources de la connaissance et de l’ignorance, Karl POPPER 1) Identification de l’œuvre * Auteur : Karl Raimund Popper, né le 28 juillet 1902 à Vienne et mort le 17 septembre 1994 à Londres * Titre de l’édition originale de l’essai : Des sources de la connaissance et de l’ignorance * Date de la première publication : 1960 * Référence complète de l’édition utilisée : POPPER, Karl, Des sources de la connaissance et de l’ignorance, Rivages, 1998, (Poche, 241) 2) Mise en situation

suit aucune règle. Dans le cas des sophistes l‘objet même de la discussion est indéterminé, mouvant. C‘est le discours qui domine la réalité. Et c’est précisément le flottement du sophiste quand il est interrogé sur un sujet qui peut traduire son ignorance. La faute au sens technique et moral n‘est pas de ne pas savoir mais de ne pas vouloir admettre qu’il ne sait pas et de s‘obstiner dans la croyance du savoir. Les sophistes ne peuvent donc pas être vertueux puisqu’ils avancent à l’aveugle sur des

de l’ignorance au savoir ? Ignorance : État de celui qui n'a pas de connaissances sur quelque chose (dont il connaît l'existence, mais qui excède la faculté humaine de connaître ou qui excède une science, un savoir à un moment donné).  Ignorance des causes, de la nature de quelque chose. État de celui qui ne connaît pas (ou très peu) quelque chose, parce qu'il ne l'a pas étudié, pratiqué, expérimenté.  Ignorance d'une langue étrangère, de l'histoire; ignorance (des choses, des réalités) de

savent, cherchent a acquérir ce qui leur manque et s'abstiennent complètement de ce qui est audessus de leurs capacités ; ils évitent ainsi les erreurs et les fautes. Ceux qui ne se connaissent pas et se trompent sur eux-mêmes sont dans la même ignorance par rapport aux autres hommes et aux choses humaines en général. La connaissance de soi est la science première. "Connais-toi toimême" veut dire : renonce à chercher hors de toi, à apprendre par des moyens extérieurs ce que tu es réellement et

1670 LE TEXTE À ÉTUDIER « Les sciences ont deux extrémités qui se touchent, la première est la pure ignorance naturelle où se trouvent tous les hommes en naissant, l'autre extrémité est celle où arrivent les grandes âmes qui, ayant parcouru tout ce que les hommes peuvent savoir, trouvent qu'ils ne savent rien et se rencontrent en cette même ignorance d'où ils étaient partis, mais c'est une ignorance savante qui se connaît. Ceux d'entre eux qui sont sortis de l'ignorance naturelle et n'ont pu arriver

Le mal comme élément du manque pose donc le problème de l'origine du mal. La mal prend-t-il son origine dans la volonté de l'homme ou nait-il d'une ignorance des valeurs? Nous verrons dans une première partie que le mal est une volonté, un choix qui se détourne du bien, puis nous verrons que le mal peut être involontaire et provenir d'une ignorance, enfin nous constaterons que la dualité de la nature de l'homme peut être à l'origine d'une méconnaissance de l'existence du bien. Le mal, c'est d'abord

•L’erreur a-t-elle une valeur ? •L’erreur peut-elle avoir plus de valeur que la vérité ? •erreur : Affirmation fausse. A la différence du mensonge, l'erreur implique la bonne foi; l'erreur, dit Platon, est une ignorance double, c'est-à-dire une ignorance qui ne se sait pas ignorante, une ignorance doublée d'une illusion. •vérité : La vérité concerne l'ordre du discours, et il faut en cela la distinguer de la réalité. Elle se définit traditionnellement comme l'adéquation entre le réel et le discours

néanmoins étroite. Même si l’ignorance, un manque de connaissance, de culture, de savoir est volontiers critiquée, il serait bon de s’interroger si elle est contraire ou même néfaste au bien, à la vertu. Il est nécessaire de rappeler que l’idée d’une ignorance absolue est difficilement tenable : il est impossible de ne rien savoir, de ne rien connaître dans aucun domaine. La culture, son contraire, peut concerner plusieurs domaines : l’appartenance à une culture qui n’est dans ce sens pas opposée à l’ignorance