Ignorance

royale des sciences Eléments de géométrie L’Histoire des oracles Thème principal : La connaissance de l’homme des autres peuples par le voyage maritime, voyage dans l’espace Autres thèmes : communication Terre-Lune, nature, connaissance/ignorance, découverte Amérique (Américains-européens) + Il y a de progrès. + On pourra découvrir de nouveaux horizons. Passages explicatif- descriptif- narratif. Texte argumentatif (essai philosophique) Registres : - didactique (qui fait réfléchir

qu'elle englobe plusieurs problèmes distincts. Aussi, le cours permet de développer une capacité à raisonner de manière cohérente par la remise en question de nos propositions. Le cours de philosophie nous éloigne de la double ignorance pour nous rapprocher de la simple ignorance. Nous sommes donc en mesure de se questionner sur ce que l’on avance puisque nous savons que nous ne connaissons pas la vérité. Ainsi, il est clair que le cours de philosophie est essentiel puisqu’il nous permet de valider nos

PIB par habitant 1 : Un indicateur qui mesure mal la richesse créée Ignorance de l'économie souterraine ( travail au noir + activités illégales ) → En France en 2010, si on tenait compte de l'économie souterraine, il faudrait réévaluer le PIB officiel de 12%. Ignorance de véritables richesses : les services non marchands non rémunérés mais comptabilisation de fausses richesses ( ex : acharnement thérapeutique ) Ignorance des externalités négatives ( nuisances ) → pour mesurer la véritable richesse

mais réfléchissait peu : il ne parvenait pas, par exemple, à penser le strabisme comme un défaut. Cette faible activité de la raison est accentuée par la présence d’un champ lexical relatif à la perception et notamment à la vue. Il y a donc une ignorance et une passivité fondamentales de l’enfant selon Descartes. La raison est là, mais sous la domination des sentiments et de la perception. Descartes est donc amoureux d’une petite fille qui louche : une connexion va alors s’établir dans son cerveau ;

conscient comme l’être mais aussi que nous pourrions nous contenter de l’inconscience. Nous nous demanderons si nous n’avons pas une conscience immédiate de nos actes, si on comprend pour autant nos actes et si enfin on pourrait se contenter de cette ignorance, en ayant an quelque sorte le droit de ne pas savoir ce que l’on fait? Si savoir signifie "être conscient de…" ainsi, ne pas savoir ce que l'on fait revient à ne pas être conscient de ses propres actes à l'instant même où l'on agit. L'homme

que malgré le fait que celle-ci soit totalement infondée, elle représente un besoin indispensable pour l’esprit humain. Et enfin pour terminer, Freud constate que l’illusion religieuse permet ainsi de faire avancer l’homme, de l’éclairer face aux ignorances qu’il peut porter à l’égard du monde dans lequel il vit. Premièrement selon Freud, « Les idées religieuses qui professent d’être des dogmes, ne sont pas le résidu de l’expérience ou le résultat final de la réflexion » (l1 à 2), mais ce n’est pas

refouler, ce qui implique chez elle à tout le moins une représentation de sa propre activité. En un mot, comment la censure discernerait-elle les impulsions refoulables sans avoir conscience de les discerner ? Peut-on concevoir un savoir qui serait ignorance de so i ? Savoir, c’est savoir qu’on sait, disait Alain. Disons plutôt: tout savoir est conscience de savoir. Ainsi les résistances du malade impliquent au niveau de la censure une représentation du refoulé en tant que tel, une compréhension du but

pourra accorder les hommes, instaurer l’ordre qui est le but du droit pour Hobbes, et fonder le droit. Plan : I. Le texte commence (lignes 1 à 5) par une réduction du juste et de l’injuste, selon Hobbes, à la coutume chez les pères : •par ignorance des causes et de la nature du juste •par réduction du juste à la coutume : 1.ce qui est (le fait) et est approuvé (l’idée du nombre, de l’accord commun) 2.ce qui fait autorité (d’où comparaison avec l’enfant soumis à l’éducation des parents et

capable de comprendre qu’un seul des choix, on ne peut pas dire qu’il a été libre de choisir. Car il prendra le seul et unique choix qu’il connaît et par conséquent il aura été prisonnier de son ignorance. Ainsi choisir par dépit ne découle pas d’un acte libre. C’est donc de cette ignorance que nous libère la culture car elle nous offre la possibilité de connaître et de devenir savants et par extension de nous affirmer comme libres. J.-P. Sartre, Critique de la raison dialectique

de dialogues. « Je ne sais qu’une seule chose, c’est que je ne sais rien » Socrate (Citation rapportée par Platon) & Voir Bio de Socrate. La philosophie se présente donc comme un savoir paradoxal, c’est le savoir d’une ignorance. Pour Socrate, reconnaître son ignorance est la condition pour en sortir. Il faut mettre en doute ses préjugés. « Les seuls êtres qui adhèrent sont les huîtres et les sots » Paul Valéry La sagesse de Socrate est aussi visible lors de son procès : il n’a pas peur de