IIIe millénaire av. J.-C.

réclameraient de l’absence de Dieu pour commettre leurs forfaits. Cette thèse fautive mérite un démontage en bonne et due forme. Car l’inverse me semble bien plutôt vrai : « Parce que Dieu existe, alors tout est permis... » Je m’explique. Trois millénaires témoignent, des premiers textes de l’Ancien Testament à aujourd’hui : l’affirmation d’un Dieu unique, violent, jaloux, querelleur, intolérant, belliqueux a généré plus de haine, de sang, de morts, de brutalité que de paix... Le fantasme juif

charia et les hadiths. 3. Le jainisme Le jaïnisme, ou jinisme est une religion qui met l'accent sur l'ascétisme. C'est une religion traditionnelle qui vient de la plus haute antiquité. Elle devient une religion d'importance au cours du VIe siècle av. J.-C.. Avec seulement 4 millions de croyants, le jaïnisme est la plus petite des 10 religions principales du monde, mais en Inde, les jaïns sont surreprésentés dans les secteurs économiques et politiques. C'est la rigueur avec laquelle les adeptes

------------------------------------------------- Antiquité[modifier | modifier le wikicode] Article détaillé : Maurétanie Tingitane. Les Phéniciens, commerçants entreprenants originaires du pays de Canaan, installent leur premiers établissements sur les côtes marocaines dès le xie siècle av. J.-C. et fondent des comptoirscomme Tingi (Tanger) ou Lixus (près de Larache). C'est à partir de la fondation de Carthage (en Tunisie, Maghreb de l'Est) que la région commence à être réellement mise en valeur. L'influence de la civilisation carthaginoise se

donné beaucoup de peine pour attribuer une date aux œuvres et pour fixer leur aspect original, on aboutit d’ordinaire à des conclusions aussi vagues et décevantes que celles-ci : « Dans l’ensemble, l’ouvrage paraît dater de la seconde moitié du IIIe siècle (av. J.-C.) mais il n’est pas entièrement de la main de Han Fei ; comme pour Tchouang tseu, Mö tseu et la plupart des philosophes de cette époque, une partie importante est due aux disciples du Maître... Il n’est que rarement possible de distinguer

(Restaurant du Marché-Gare, route de Velleron, 12h). Grand déjeuner populaire avec Jean-Marie Le Pen. Part. 10 €. Rés. FN84, 112 rue Moricelli, 84200 Carpentras. Tél. 06-2150-41-60. ☞ 28 novembre à Neuilly-Plaisance (librairie Neuilly-Plaisance, 15 av. Foch, de 15 à 19h). J.-P. Chayriques de Olmetta signe « L’Almanach du Marquis 2009 » (260 p., 28 €). ☞ 28 novembre à Paris 6e (4 place St-Germain-desPrés, Salle Lumière, de 14h30 à 18h). Conférence de l’abbé Francesco Ricossa sur « la nouvelle messe

persistante sur l’ensemble de la culture occidentale. Le langage courant est un formidable conservatoire des mythes : ne parlet-on pas du talon d’Achille, du fil d’Ariane, d’un combat de Titan, d’une force herculéenne, en oubliant presque l’origine millénaire de ces expressions ? Au-delà de la seule littérature, musées, parcs et jardins publics « sont peuplés de Dianes, d’Hercules ou d’Apollons ; il arrive même qu’on y rencontre, au détour d’une allée, un Laocoon et ses fils saisis par des serpents…

du surplus : mais à celui qui n'a pas, on enlèvera même ce qu’il a ». 15. Damien de Blic et Jeanne Lazarus - L'argent et les religions du Livre L’antiquité stigmatisait déjà les avares, comme le révèle par exemple « La marmite » de Plaute (IIIe siècle av. J.-C.). En Occident, l’interdit du profit engendré par l’usure a considérablement pesé sur notre représentation de l’argent. Toutefois ni la Bible hébraïque, ni le Coran ne manifestent une hostilité radicale envers l’argent : « Parmi les religions

l'intermédiaire de la paiderastía, partie liée avec l'éducation. L'idée est exprimée, dès le début du Banquet, qui porte sur Éros et donc sur l'amour et sur son objet, le beau. Socrate répond à Agathon qui, un soir du début du mois de février 416 av. J.-C. probablement, l'invite à s'étendre près de lui au cours du banquet qu'il donne pour fêter sa victoire au concours de tragédies : « Ce serait une aubaine, Agathon, si le savoir était de nature à couler du plus plein vers le plus vide pour

romaine apparait au 8e siècle av JC et le 5e ap JC le droit romain a évolué ; les historiens distinguent trois phases principales dans le développement du droit romain : L’ancien droit romain Le droit classique romain Le droit postclassique ou encore le droit du Bas Empire. Nous allons utiliser ces divisions et nous verrons comment s’est développé le droit romain dans ces phases. Section 1 : L’ancien droit romain La cité romaine aurait été fondé en 753 av JC par un certain Romulus, mais

gréco-romaine. Dans ce contexte, la notion de souveraineté n'a pas de statut ou de signification proprement politique. a.- Chez les anciens Grecs, le concept est d'abord philosophique ou métaphysique. Il apparaît notamment chez Platon (428-348 ou 347 av. J.-C.) avec l'idée du Souverain Bien. Le Souverain Bien est l'Idée de l'unité de toutes les idées, en particulier de celles du bien, du beau et du vrai. Le bien est l'affaire de l'éthique, et il a déjà un rapport intime avec la politique, car pour