Il Pleure Dans Mon Coeur

crapauds. | | [Paulo Coelho] | | | | Le destin des montagnes doit être terrible. Elles sont obligées de contempler toujours le même paysage. | | [Paulo Coelho] | | Extrait de Sur le Bord de la rivière Piedra je me suis assise et j’ai pleuré | | L'homme ne naît pas, et il ne meurt jamais. Il s'efforce d'exister, il ne cessera jamais de le faire, car il est éternel et permanent. | | [Paulo Coelho] | | Extrait de Comme le fleuve qui coule | | Tout ce qui est fait dans le présent

utilisé? - Surement le passé parce c'est sûr que ce n’est pas le présent, répondit un des élèves » La prof : Pourquoi j'entends du bruit ? L'élève : Bah... Peut-être parce que vous avez des oreilles ! C'est long mais lisez ça. [Sa ma fais pleurer :'(] La fille : Salut ! Le garçon : Hé salut ! La fille : Ça va ? Le garçon : Bah ouais et toi ? La fille : Pas pire... Le garçon : Qu'est-ce-qui ce passe ? La fille : Rien de spécial... Silence pendant deux minutes... Le garçon : Tu

de grands mots, je ne suis pas Verlaine pour te dire des poêmes, mais je reste moi même pour te dire " je t aime". -Je suis la fleure de ton coeur, celle qui s'ouvrira quand tu penseras a moi et celle qui se fermera quand tu m'oublieras. -Ton coeur m'a choisi, tes yeux me l'on dit, mes lèvres ont subi. -Comme un flocon de neige tu t'es déposé sur mon coeur. -On passe une moitié de sa vie à attendre ce qu'on aimera et l'autre moitié à quitter ce qu'on aime. -L'amour c'est comme la gripe ça s'attrape

d'en avoir, d'autres aimeraient tellement en avoir... Un "j'aime" = une pensée pour tout ceux qui ont une maladie grave ♥ -J'ai pas un cœur de pierre, Je suis une petite fille en verre, Sous mes aspects difficiles, Se cache un cœur fragile, Ne te fis pas aux apparences, Ne rentres pas dans cette danse, Je ne suis pas celle que tu crois, Mon cœur n'est pas si froid. - J'ai toujours été ce genre de fille, Celle qui ressent tellement de choses mais qui n'en dit pas un mot. Celle qui

Homme libre, toujours tu chériras ! est ton miroir ; tu contemples ton âme Dans le déroulement infini de , Et ton esprit n'est pas un moins amer. Tu te plais à au sein de ton image ; Tu l'embrasses des yeux et des bras, et ton coeur Se distrait quelquefois de sa propre rumeur Au bruit de cette plainte indomptable et sauvage. Vous êtes tous les deux ténébreux et discrets : Homme, nul n'a sondé le fond de tes ; O , nul ne connaît tes richesses intimes, Tant vous êtes

Scène X Cléanthis, Euphrosine, Iphicrate, Arlequin. CLEANTHIS, en entrant avec Euphrosine qui pleure. Laissez-moi, je n'ai que faire de vous entendre gémir. (Et plus près d'Arlequin.) Qu'est-ce que cela signifie, seigneur Iphicrate ? Pourquoi avez-vous repris votre habit ? ARLEQUIN, tendrement : C'est qu'il est trop petit pour mon cher ami, et que le sien est trop grand pour moi. Il embrasse les genoux de son maître. CLEANTHIS : Expliquez-moi donc ce que je vois ; il semble que vous lui demandiez

les croire. Nous sommes bien différentes pourtant... Elle a peur de son ombre, je m'assois dessus. Elle recopie des sonnets, je télécharge des semples. Elle admire les peintres, je préfère les photographes. Elle ne dit jamais ce qu'elle a sur le cœur, je dis tout haut ce que je pense. Elle n'aime pas les conflits, j'aime que les choses soient bien claires. Elle aime être « un peu pompette », je préfère boire. Elle n'aime pas sortir, je n'aime pas rentrer. Elle ne sait pas s'amuser, je ne sais pas

demeurer courageux. Votre amoureux ne sera jamais oublié; N’avez-vous remarqué la présence de la communauté? Aujourd’hui, en cette journée sombre, tous pensent qu’à lui. Il ne faut pas lamenter, (En lui donnant une caresse) Ne pleure pas. Roxane (en pleurant) : Mon Dieu, Comme je l’adorais; il était si charmant. Pourquoi nous a-t-il quitté si tôt? Je m’ennuie. Christian était pareillement pur et innocent, Que les belles plumes de la colombe blanche. Fort

fonction didactique. En effet, on peut apprendre certaines choses, comme des valeurs, ou se faire faire la morale (avec les Fables, par exemple) et surtout faire réfléchir. Depuis longtemps, la poésie n'a pas cessé de nous faire rêver, rire, pleurer. Elle nous a appris des choses, peut-être certains n'ont pas été d'accord avec ce qu'elle affirmait. La poésie nous a tous critiqués, et nous a ouvert les yeux sur des paysages que nous n'aurions jamais vus sans elle. Et cela n'est pas prêt de s'arrêter

pierre, Et mon sein, où chacun s'est meurtri tour à tour, Est fait pour inspirer au poète un amour Eternel et muet ainsi que la matière. Je trône dans l'azur comme un sphinx incompris; J'unis un coeur de neige à la blancheur des cygnes; Je hais le mouvement qui déplace les lignes, Et jamais je ne pleure et jamais je ne ris. Les poètes, devant mes grandes attitudes, Que j'ai l'air d'emprunter aux plus fiers monuments, Consumeront leurs jours en d'austères études; Car j'ai, pour fasciner ces dociles