Il Pleure Dans Mon Cœur Verlaine

Sonnets pour Hélène, 1578 B- Alfred de MUSSET, « A George Sand », Poésies posthumes, 1866 C- Paul VERLAINE, « Ô triste était mon âme », Romances sans paroles, 1874 D- Robert DESNOS, « Non, l’amour n’est pas mort », Corps et Biens, 1930 I. QUESTION (4 points) :

135 Il pleure dans mon cœur Paul Verlaine Symbolisme • Texte original Il pleure dans mon cœur Comme il pleut sur la ville; Quelle est cette langueur Qui pénètre mon cœur ? Ô bruit doux de la pluie Par terre et sur les toits ! Pour un cœur qui s'ennui, Ô le chant de la pluie ! Il pleure sans raison Dans ce cœur qui s'écœure. Quoi ! Nulle trahison ?... Ce deuil est sans raison. C'est bien la pire peine De ne savoir pourquoi Sans amour et sans haine Mon cœur a tant de peine

! ! ! ! ! ! ! Sommaire: ! ! 1. Paul Verlaine - « Initium » 2. Victor Hugo - « Aimons toujours ! Aimons encore » 3. Arthur Rimbaud - « Sensations » 4. Théophile Gautier - « Cher ange, vous êtes belle » Élégie VII. 5. Victor Hugo - « Demain dès l’aube » 6. Alfred De Musset - « À mon ami Alfred T. » ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! Page 1 Préface: ! Ce florilège s’adresse aux personnes sensibles au beau langage qu’exprime la poésie. La poésie est, selon moi

4h Décembre 2011 Test commun de français 1 Corpus Texte A : Charles Baudelaire, « Les Bienfaits de la lune », Petits poèmes en prose, 1869. Texte B : Alfred de Musset, « Ballade à la lune », Premières Poésies, 1829. Texte C : Paul Verlaine, « La Lune blanche », La Bonne chanson, 1870. Texte D : Luc Plamondon, « Lune », Notre-Dame de Paris, 1998. Texte A Les bienfaits de la lune La Lune, qui est le caprice même, regarda par la fenêtre pendant que tu dormais dans ton berceau

montré que la ville est bien une source d’inspiration issue de la beauté et de la modernité de la ville, avec enj complément l’architecture, les habitants, le goût de la modernité et es défauts de la ville moderne. Dans « Il pleure dans mon cœur » de Paul Verlaine, P. verlaine exprime la mélancolie. Il ne sait pas pourquoi il est mélancolique, la ville ici n’est utilisée que comme image, comparaison.

Poètes de sept ans, Les Pauvres à l'église, Le Coeur du pitre, témoignent d'une insurrection totale. Grâce à Charles-Auguste Bretagne, qu'il rencontre à Charleville dans le courant de 1871, Rimbaud entre en contact avec Verlaine et lui envoie de nouveaux poèmes. Verlaine, de dix ans son aîné, qui avait déjà Publié des recueils importants, s'enthousiasme et l'invite à Paris. À la fin septembre 1871, Rimbaud est logé chez les beaux-parents de Verlaine, puis en divers endroits. Aux dîners des « Vilains

Chanson d'automne Les sanglots longs Des violons De l'automne Blessent mon cœur D'une langueur Monotone. Tout suffocant Et blême, quand Sonne l'heure, Je me souviens Des jours anciens Et je pleure Et je m'en vais Au vent mauvais Qui m'emporte Deçà, delà, Pareil à la Feuille morte. Paul Verlaine (1866) A UNE PASSANTE La rue assourdissante autour de moi hurlait. Longue, mince, en grand deuil, douleur majestueuse, Une

libellules- Et leur membre s’agace à des barbes d’épis. Arthur Rimbaud, Poésies Jeans Nicolas Arthur Rimbaud est un poète Français née le 20 octobre 1854 à Charleville et est mort le 10 novembre 1891 à Marseille. Le poème de Rimbaud "Les Assis" est au cœur de sa révolte. Les assis est ici un regard obsessionnel vers la sénescence des corps, des gestes, de la pensée. Les éditeurs s'accordent sur l'hypothèse d'une rédaction pendant "l'hiver 1870-1871"; "à la fin de l'année 70 et au début de l'année 71"

d'insomnie. Et pour finir, je dirai le baiser De ta lèvre rouge, Et ta douceur à me martyriser, --Mon Ange! --ma Gouge! Ouvre ton âme et ton oreille au son De ma mandoline: Pour toi j'ai fait, pour toi, cette chanson Cruelle et câline. Paul Verlaine La flûte * Voici le soir. Au ciel passe un vol de pigeons. Rien ne vaut pour charmer une amoureuse fièvre, Ô chevrier, le son d'un pipeau sur la lèvre Qu'accompagne un bruit frais de source entre les joncs. A l'ombre du platane où

poétique « Autour du baroque » I. « L´Homme et la Mer » Charles Baudelaire 1857 II. « Le pont Mirabeau » Guillaume Apollinaire 1913 III. « Le Lac » Alphonse de Lamartine 1820 IV. « L'amour par terre » PAUL VERLAINE 1869 V. « Chanson d'automne » Paul VERLAINE 1866 VI. « Chapitre 86 » Anna de Noailles 1924 VII. « Leurs yeux toujours purs » PAUL ELUARD 1926 VIII. « Elsa » (1959) Louis ARAGON 1959 IX. « J'ai tant rêvé de toi » Robert Desnos 1930 X. « Mignonne