Il Pleut Doucement Sur La Ville Rimbaud

poème est celui de Pierre Ronsard ( 1524 – 1585 ) , Amour me tue, et si je ne veux dire du XVI ème siècle. Amour me tue, et si je ne veux direLe plaisant mal que ce m'est de mourir :Tant j'ai grand peur, qu'on veuille secourirLe mal, par qui doucement je soupire.Il est bien vrai, que ma langueur désireQu'avec le temps je me puisse guérir :Mais je ne veux ma dame requérirPour ma santé : tant me plaît mon martyre.Tais-toi langueur je sens venir le jour,Que ma maîtresse, après si long séjour, Voyant

une lettre demain Le jour s'est assombri qu'il devienne doré Et tristement ma Lou je te baise la main Il pleut Il pleut des voix de femmes comme si elles étaient mortes même dans le souvenir. c’est vous aussi qu’il pleut, merveilleuses rencontres de ma vie. ô gouttelettes ! et ces nuages cabrés se prennent à hennir tout un univers de villes auriculaires écoute s’il pleut tandis que le regret et le dédain pleurent une ancienne musique écoute tomber les liens qui te retiennent en

rassemblant toute son énergie, il se jette à l’eau. « Il est minuit, je n’ai pas sommeil, dit-il. — Bravo, bon début ! » applaudit Doudou. D’un froncement de sourcils, le prof lui impose silence. « Par la fenêtre de ma chambre, je regarde la rue. Il pleut. La lune est cachée par de gros nuages. Heureusement qu’il y a des réverbères, sinon ce serait l’obscurité totale. — Quelle ambiance ! murmure Cédric, séduit. 7/186 — Moi, ma grand-mère... », commence Naïma. Des « chut ! » impérieux la font

comme des termes, avortements en cours, glorieux de la guerre, tout ça dégouline par l'escalier au coaltar (2)et phéniqué (3) et jusqu'au bout noir, avec le billet de retour qui coûte autant à lui tout seul que deux petits pains. (1) Rancy : une ville de la banlieue de Paris (2) Coaltar : goudron (3) Phéniqué : qui contient du phénol , corps soluble dans l’eau , corrosif et toxique, il a une odeur particulière. L.F Céline :Voyage au bout de la nuit ( 1932) Texte 4 Par-dessus

déplacement, μετά « méta », du sens d’un nom). Elle consiste à remplacer une information par une autre qui est habituellement ou logiquement perçue comme très proche : - Le contenu pour le contenant ou l’inverse : Rome accourut à cette nouvelle. (La ville pour sa population.) Le cœur et la tête dans les étoiles. (Le cœur pour les sentiments, la tête pour les pensées.) Il finit son verre. (Le verre pour le liquide qui s’y trouve.) - Le concret pour l’abstrait ou l’inverse : Il est dans les fers sous

Document fourni par la société Bibliopolis http://www.bibliopolis.fr Oeuvres [Document électronique] / Rimbaud ; [éd. par Suzanne Bernard et André Guyaux] Premières proses (Récit) I Prologue Le soleil était encore chaud; cependant il n'éclairait presque plus la terre; comme un flambeau placé devant les voûtes gigantesques ne les éclaire plus que par une faible lueur, ainsi le soleil, flambeau terrestre, s'éteignait en laissant échapper de son corps de feu une dernière et faible lueur,

Quatre textes, un thème : la ville Voici quatre textes relatifs à un même thème. Dans chacun d'entre eux repérez les caractéristiques qui permettent de dire à quel type de texte ils appartiennent. TEXTE 1 Si Paris à la fin du XVIIIe siècle est déjà une très grande agglomération, s'il y a du bruit, de l’agitation, des embarras dans les rues envahies par les carrosses, les cavaliers, les passants, les marchands qui crient leur marchandise, c'est encore une ville paisible et heureuse où il fait

Descriptif pour les épreuves orales des EAF : session 2011 Etablissement et ville : Lycée français LYAUTEY, CASABLANCA Série et Classe : S 1S6 Nom de l’élève : Séquences | Lectures analytiques : Œuvre intégrale ou Groupement de textes (préciser le début et la fin de l’extrait) | Lectures cursivesDocuments complémentaires et/ou activités communes | Titre de la séquence inaugurale : La poésie, formes fixes et formes libresObjets d’étude : -La poésie-Convaincre, persuader et délibérer :

maistrie, Garde qu'Enfer n'ait de nous seigneurie : A lui n'ayons que faire ne que soudre. Hommes, ici n'a point de moquerie ; Mais priez Dieu que tous nous veuille absoudre ! LECTURES ANALYTIQUES : « Vénus Anadyomène » Poésies, Arthur Rimbaud   Comme d'un cercueil vert en fer blanc, une tête De femme à cheveux bruns fortement pommadés D'une vieille baignoire émerge, lente et bête, Avec des déficits assez mal ravaudés ; Puis le col gras et gris, les larges omoplates Qui saillent

Vers 1906-1909, le rapprochement avec les néo-symbolistes de ‘’La phalange’’ et de ‘’Vers et prose’’ (Jean Royère, Tristan Klingsor, les Belges), l’ascendant d’Alfred Jarry, la popularité croissante des visionnaires comme Nerval, Lautréamont et Rimbaud donnèrent une nouvelle inflexion à son inspiration : l’abandon à l’imagination et à la vision irrationnelle fit à la fois le brillant et l’obscurité de poèmes comme ‘’Onirocritique’’, ‘’Lul de Faltenin’’, ‘’Le brasier’’, ‘’Les fiançailles’’, dont