Il était Un Fois

sors enfin du cauchemar. Un peu perdu, je suis sonné dans le salon. Je sens que ma respiration devient de plus en plus forte. Je parviens jusqu’à la salle de bain en titubant et je me regarde dans le miroir… Puis, comme malgré moi, je répète trois fois le nom de ma femme : – Kandy Man, Kandy Man, Kandy Man… Et comme si ces mots avaient eu un pouvoir maléfique, je vois ma vie défiler dans ma tête en une fraction de seconde, juste avant que mon cœur ne s'arrête. Net. Premier jour au paradis : moi

Une histoire incroyable Le chemin du trésor Nate Drake et Sam Drake vivaient dans une maison des réligieuses. Sam partait souvent là-bas sans qu’elles le sachent, la seule personne qui savait était Nate, son frère. Il était aussi le seul à la savoir pourquoi. Sam cherchait un trésor lié à l’or d’un descendant nommé Francis Drake. Nate a toujours dit à Sam de faire attention. Sam revenait toujours, mais d’un court voyage. C’est devenu un long voyage. Sam s’en est rendu compte et a offert

en fleur. C'est le livre des amours. Presque tous les poèmes sont inspirés par Juliette Drouet, une de ces amantes, car Visctor Hugo était un homme plein de conquêtes amoureuses Livre troisième : Les luttes et les rêves. C'est le livre de la pitié. Hugo donne quelques exemples de la misère dans la société moderne, et fait dans ce libre une recerche qui des fois s’approche à la politique. Livre quatrième : Pauca meae (sens éthymologique : «quelques mots pour ma fille»). C'est le livre du deuil

C'est avec plaisir que j'ai effectué mon stage au sein du conseil départemental de Mayotte durant une période d'un mois. Le but du stage était d'associer ce que j'ai appris à l'université avec ce que les professionnels font dans le marché de l'emploi. J'ai fait le choix d'effectuer mon stage dans la direction des ressources humaines. Mon objectif était à la fois d'acquérir de nouvelles compétences et d'apprendre le métier. D'ailleurs j'ai toujours voulu travailler dans les ressources humaines et grâce

: prototype philosophique, Taillade- Espinasse : caricature du philosophe ; 1.2.6. Cadre historique : Lumières. 2. Cadre historique : Les Lumières 2.1. 1738-1767 : vie et mort de Grenouille. 2.2. Portrait du père Terrier : Le père Terrier était un homme instruit. Non seulement il avait étudié la théologie, mais il avait lu les philosophes, et il s’occupait accessoirement de botanique et d’alchimie. Il avait quelque confiance dans son esprit critique. Certes, il ne serait pas allé, comme

premièrement, beaucoup de personnes m’ont parlé de ce livre et me l’ont conseillé tant de fois que j’ai sauté cette occasion pour le lire. J’aurai pu le lire de moi-même mais le sujet ne m’a pas attiré, car, certes c’est un sujet historique important, mais il a tant de fois été exploité, qu’une histoire de plus ne me semblait pas utile. Je suis très sensible à ce sujet car souvent quand j’y pense je me pose à chaque fois la même question : Comment des hommes ont pu commettre des choses aussi atroces à des

Il ne pouvait pas préciser si elle prendrait le train de14h20 ou celui de 17h55. Il était là depuis une éternité, planté devant le panneau des horaires, à tenter de deviner ses intentions. Il attendait sur le quai C. Il était assis sur l’un des divers bancs installés tout au long du quai et à coté de lui se trouvait une horloge. Quand on la regardait, on pouvait croire que le temps s’arrêtait. Le train de 14h20 était sur le point d’arriver. Johns s’était posté sur le ponton dés 14h20, en étant presque

l'extérieur. Ça, c'est parce qu'on est le soir, grande tarte. J'étais dans la troisième plus grande des cinq chambres constituant mon domicile. Cette pièce était le seul endroit de la maison que je pouvais vraiment considérer comme mien. Mes parents n'y venaient jamais, ils se contentaient de cogner à ma porte en m'informant qu'ils quittaient ou que le repas était servi. J'avais repeint ma chambre moi-même d'un bleu-gris assez clair. Trois meubles de bois anciens appartenant à ma grand-mère étaient disposés

Le bruit des bottes de l'homme sur le sol de terre battue était le seul son résonnant dans les tunnels. Des corps jonchaient le sol, des cadavres d'humains tous étranges ; ici un corps à trois bras, là un aux yeux sur les joues, plus loin une femme serrant dans ses bras un corps de nouveau né dont on ne pouvait distinguer les membres tant ils sont entremêlés... Ca puait la mort et le sang couvrait les murs, la campagne d'extermination était passée par là... "La campagne d'extermination", des mots

l'hôpital de Seattle les docteurs m'avaient affirmé que j'avais un cancer.« Monsieur White, nous n'avons pas de bonnes nouvelles à vous annoncer ... ».Les séances douloureuses bien qu'inutiles de chimiothérapie ou de rayons, jusqu'à ma compréhension qu'il était trop tard pour moi.Un instant j'avais espérer, comme les autres, je m'étais dit que cela ne pouvais m'arriver.J'avais eu tort.J'avais senti progressivement mes forces me quitter. Certainement le ralentissement de mes organes, ceux qui avaient été touché