Il était Un Fois

Winchester à répétition * Dort avec un pistolet sous son oreiller et quand il partait il le laissait jamais chargé a cause de la mauvaise expérience de son père. (la femme de ménage l’avait fait tomber et une balle était partie) * Il avait eu 21 ans la dernière semaine de janvier ; il était svelte et pâle avec les paupières arabes et les cheveux frisé de son père. * Fils unique issue d’un mariage de raison qui n’eu aucune moment de bonheur mais il semblait heureux avec son père jusqu'au jour ou

caractéristiques sont-elles semblables à celles que l’on retrouve en Grande-Bretagne ? La révolution industrielle en Belgique. Dans le recueil documentaire que nous avons reçu, nous pouvons voir qu’en 1846, la valeur d’exportation de la Belgique était beaucoup plus élevée avec la France, l’Allemagne et les Pays-Bas car ce sont des pays frontaliers. En 1875, l’Angleterre a pris une place importante par rapport à la Belgique grâce à la révolution industrielle. 35 ans plus tard, la Belgique commence

 Santiago était un jeune berger andalou. Venu dans une ville pour vendre sa laine, il découvrit une belle fille dont il tomba amoureux. Devant attendre quelques temps en ville, Santiago lisait sur un banc près d’une place. Un vieillard, aux manières bizarres, entama la conversation avec lui. Santiago, poussé par l’enthousiasme du vieil homme lui dit qu’après avoir eu deux fois le même rêve, il pensait qu’un trésor se trouvait au pied des Pyramides. Cette idée avait été confirmée par une voyante

mariage du plus grand coureur de jupon de tout Paris, et cet homme-là n'est personne d'autre que George Duroy. Ce mariage était, comment dire, à son image. Il n'y avait que six hommes dont moi-même en faisait partie. Il y avait le père de Suzanne et quatre journalistes que Duroy a sûrement du payer pour dire que son mariage était magnifique, qu'il reflété le pouvoir de Duroy, qu'il était le plus bel homme de la cérémonie dans son costume a six-cent franc etc. Mais moi j'étais plus tôt l'invité surprise

il fallait un gros effectif, le temps pour le démontage du stand était limité. On avait donc une journée et demie pour tout démonter. Au départ de Castelnau: le camion plateau/grue, le fourgon tôlé et le fourgon plateau. º 1ère difficulté de la journée : problème pour se garer. La foire toute entière était en chantier de démantèlement. Tous les exposants avaient le même lapse de temps pour démonter leur stand. Donc tout le monde était pressé et énervé. 1) Démontage du lambris dans la pièce principale

possible pour le concierge de la vie d'une autre femme: son nom était Eugenia Domingo del Arco, a donné des leçons de piano, vit avec sa tante et son oncle, parce qu'il était un orphelin et a vécu dans l'avenue Alameda, n ° 58. Dans le deuxième chapitre, Augusto retourne à la maison où il est accueilli par son serviteur Domingo, l'appelant Maître. Tout au long du séjour du matin à son bureau où il fantasmé sur la femme qu'il se était fixé: comment leurs enfants surnommé être appelés, comment le

Le testament Le benjamin de M. de Courcil raconte sa vie. Son père était un gros homme, bourru et violent qui épousa une femme délicate, timide et riche. Il l'épousa pour sa fortune. M. de Courcil eut deux fils avec cette femme. Il avait beaucoup de maîtresses avec lesquelles il eut sûrement d'autres enfants. Les deux aînés de Mme de Courcil traitaient leur mère comme une bonne, ne la respectaient pas et ne sûrement pas. Mme de Courcil rencontra un homme, intelligent, fin et gentil qui la comprenait

Trois ! Deux ! Un ! Non non ! Ce n’est pas un compte à rebours mais mes dernières notes sur 20, tel était mon quotidien scolaire au collège Marc Monfort. Je m'appelle Bilhal Hashbiloul, je venais d'avoir 17 ans et je m'apprêtais à passer le brevet des collèges. C’est déjà le premier jour de l'examen, nous entrons dans la salle, toujours la même, aussi silencieuse que l'année précédente, celle qui fut le théâtre de mes déboires. Spacieuse, avec ses toutes petites fenêtres rectangulaires ne laissant

I. Elle n’était pas à la maison. La porte d’entrée était entrouverte, je montais l’escalier, je sonnais et j’attendais. Je sonnais encore une fois. Dans l’appartement les portes étaient toutes ouvertes, je le vis par le verre de la porte d’entrée et je reconnus le miroir dans le couloir, le vestiaire et l’horloge. Je pouvais l’écouter faire tic-tac. Je m’assis sur la marche et j’attendis. Je n’étais pas soulagé, comme dans une situation où une décision cause un sentiment d’angoisse, craignant les

ses parents terrifier a l'idée de ne peut-être plus jamais retrouver leurs petite fille chérie paniquaient car ils savaient très bien que son pourcentage de survie était plutôt minime. Puis 6hrs plus tard l'opération fût terminer, la petite encore endormi, une plais au torse, mais dès son réveille la seule chose qu'elle voulait était de retrouver c'est amie de la maternel et sortir d'ici le plus vite possible. Cette petite enfin sorti de l'hôpital vivat sa vie comme si elle n'avait jamais été opéré