Il était Une Fois Un Vieux

comment l’idée entra primitivement dans ma cervelle ; mais, une fois conçue, elle me hanta nuit et jour. D’objet, il n’y en avait pas. La passion n’y était pour rien. J’aimais le vieux bonhomme. Il ne m’avait jamais fait de mal. Il ne m’avait jamais insulté. De son or je n’avais aucune envie. Je crois que c’était son œil ! Oui, c’était cela ! Un de ses yeux ressemblait à celui d’un vautour, — un œil bleu pâle, avec une taie dessus. Chaque fois que cet œil tombait sur moi, mon sang se glaçait ; et ainsi

ses problèmes, sera parfois amené lui aussi a commettre des actes répréhensibles surtout pour les beaux yeux de sa jeune et séduisante 3ième épouse II- Chapitre 8 : Mor Guérisseur (page 122 à 139) 1 - Personnages Principaux : - MOR KASSE : Vieux Paysan se faisant passer sans le vouloir pour un Guérisseur. Il tua involontairement MAGUETTE chef de son village Kër Niokhor Secondaires : - THIAM : Vieillard gneignar travaillant a la gare - BOURI : Fille de MOR

Les trois portes de la sagesse Un Roi avait pour fils unique un jeune Prince courageux, habile et intelligent. Pour parfaire son apprentissage de la Vie, il l'envoya auprès d'un Vieux Sage. - Eclaire-moi sur le Sentier de la Vie, demanda le Prince. - Mes paroles s'évanouiront comme les traces de tes pas dans le sable, répondit le Sage. Cependant je veux bien te donner quelques indications. Sur ta route, tu trouveras 3 portes. Lis les préceptes indiqués sur chacune d'entre elles. Un besoin irrésistible

dans le Gulf Stream sur son canot depuis quatre-vingt-quatre jours sans avoir pris un poisson. Les quarante premiers jours, le garçon était venu avec lui. Mais après ces quarante jours, les parents du garçon lui avaient dit que le vieil homme était finalement et définitivement salao, ce qui est la pire forme pour dire pas de chance, et selon leurs ordres, le garçon était parti sur un autre bateau, lequel avait pris trois gros poissons la première semaine. Cela le rendait triste, le garçon, de voir le

Je suis descendu au café de Monsieur Driss en bas et je m'assis en face de Monsieur Hamil qui était marchand de tapis ambulant en France et qui a tout vu. Monsieur Hamil a de beaux yeux qui font du bien autour de lui. Il était déjà très vieux quand je t'ai connu et depuis il n'a fait que vieillir. — Monsieur Hamil, pourquoi vous avez toujours le sourire ? — Je remercie ainsi Dieu chaque jour pour ma bonne mémoire, mon petit Momo. Je m'appelle Mohammed mais tout le monde m'appelle Momo pour faire

entend « Oh ! » poussé par une femme. Elle apparaît. Elle court jusqu’au milieu du plateau ; c’est le Ménagère avec son panier au bras ; une fois arrivée au milieu du plateau, elle laisse tomber son panier ; ses provisions se répandent sur la scène, une bouteille se brise, mais elle ne lâche pas le chat tenu sous l’autre bras. LA MENAGERE Ah ! Oh ! Le Vieux Monsieur élégant venant de la gauche, à la suite de la Ménagère, se précipite dans la boutique des épiciers, les bouscule, entre, tandis

par : Alexandre Bernard Il était une fois une petite fille de Village, la plus jolie des petites filles encore vierge dans cette macabre ville. Sa mère était folle, et sa mère-grand était une ex-coké. La vieille folle lui fit faire un petit habit agace qui lui faisait si bien qu’on l’appelait le Petit Chaperon rouge. Un jour sa pute de mère ayant cueilli et laver des champignons magiques, lui dit : « Va voir comment se porte la vielle criss, car on m’a dit qu’elle était ben gelée sur du LSD, apporte-lui

comment l’idée entra primitivement dans ma cervelle ; mais, une fois conçue, elle me hanta nuit et jour. D’objet, il n’y en avait pas. La passion n’y était pour rien. J’aimais le vieux bonhomme. Il ne m’avait jamais fait de mal. Il ne m’avait jamais insulté. De son or je n’avais aucune envie. Je crois que c’était son œil ! Oui, c’était cela ! Un de ses yeux ressemblait à celui d’un vautour, — un œil bleu pâle, avec une taie dessus. Chaque fois que cet œil tombait sur moi, mon sang se glaçait ; et ainsi

de vivacité, son penchant sexuel était jusque là récent, lui affirmait qu’il était né avec une préférence à la bite, mais les circonstances démentaient sa logique. Issu d’une famille modeste, Il vivait une vie paisible jusqu'à ce que ses parents divorcèrent, et la vient le déclic, il passa les années qui suivirent avec sa mère et sa sœur ainée, il assistait aux longues discussions de sa mère et ses amies, pour lui voir sa sœur se déshabiller devant ses yeux était devenu chose routinière, il développa

tête. Il voulait bien, ça lui était égal. - Hein ! autant lui qu'un autre, continua-t-elle, baissant la voix. Il ne mange pas souvent à sa faim. Au moins, il se régalera encore une fois... Nous n'aurons pas de remords à nous emplir, maintenant. Goujet avait les yeux humides, tant il était touché. Les autres s'apitoyèrent, trouvèrent ça très bien, en ajoutant que ça leur porterait bonheur à tous. Cependant, madame Lorilleux ne semblait pas contente d'être près du vieux ; elle s'écartait, elle jetait