Il était Une Fois Un Vieux

La fée et le cheval ailé Il était une fois, une jeune fille intrépide qui s'appelait Lilas. Elle habitait dans une petite maison de campagne avec ses parents, ses frères et ses sœurs. Un jour, son père tomba très malade. Il lui dit d'aller voir la fée dans la forêt. Elle y alla, mais en chemin, elle rencontra un lutin, lui lança trois défis. Le 1er était d'aller chez un ogre et une ogresse et prendre un bout de carotte magique sans sa faire voir par l'ogre. Elle trouva leur maison et elle

Petit, hier, à l’école. Gueule de la maîtresse : « Vous trouvez normal de dessiner un Père Noël pareil, un enfant de cet âge ? » « Et le Père Noël, j’ai répondu, vous le trouvez tout à fait normal, lui ? » J’ai pris le Petit dans mes bras, il était bouillant de fièvre. Il avait si chaud que ses lunettes en étaient embuées. Ça le faisait loucher encore davantage. — Monsieur Malaussène est demandé au bureau des Réclamations. 5 M. Malaussène a entendu, bordel ! Il est même au pied de

dessin du Petit, hier, à l’école. Gueule de la maîtresse : « Vous trouvez normal de dessiner un Père Noël pareil, un enfant de cet âge ? » « Et le Père Noël, j’ai répondu, vous le trouvez tout à fait normal, lui ? » J’ai pris le Petit dans mes bras, il était bouillant de fièvre. Il avait si chaud que ses lunettes en étaient embuées. Ça le faisait loucher encore davantage. — Monsieur Malaussène est demandé au bureau des Réclamations. M. Malaussène a entendu, bordel ! Il est même au pied de l’escalator

Intro : Des anciennes générations aux nouvelles, la transmission des savoirs et des valeurs a longtemps été la norme. Les anciens étaient les détenteurs de connaissances dont leurs descendants tiraient profits. Aujourd’hui, ces anciens sont tout à la fois « vieux jeu » et « hors-jeu ». Pourquoi ? Arguments/corps du sujet : * Constat : Ce n’est pas l’âge qui est le plus déterminant, mais les bouleversements économiques, technologiques, historiques, politiques, éthiques et culturels entre les générations

la maison_. DE BALZAC Il se trouve dans certaines provinces des maisons dont la vue inspire une mélancolie égale à celle que provoquent les cloîtres les plus sombres, les landes les plus ternes ou les ruines les plus tristes. Peut-être y a-t-il à la fois dans ces maisons et le silence du cloître et l'aridité des landes et les ossements des ruines. La vie et le mouvement y sont si tranquilles qu'un étranger les croirait inhabitées, s'il ne rencontrait tout à coup le regard pâle et froid d'une personne

DE BALZAC 3 Il se trouve dans certaines provinces des maisons dont la vue inspire une mélancolie égale à celle que provoquent les cloîtres les plus sombres, les landes les plus ternes ou les ruines les plus tristes. Peut-être y a-t-il à la fois dans ces maisons et le silence du cloître et l’aridité des landes, et les ossements des ruines. La vie et le mouvement y sont si tranquilles qu’un étranger les croirait inhabitées, s’il ne rencontrait tout à coup le regard pâle et froid d’une personne

illégitime).Par ordre d'entrée en scène : La Ménagère : Marie-Hélène Dasté L'Épicière : Nicole Jonesco Jean : William Sabatier Bérenger : Jean-Louis Barrault La Serveuse : Jane Martel L'Épicier : Edmond Beauchamp Le Vieux Monsieur : Robert Lombard Le Logicien : Jean Parédès Le Patron du café : Yves Arcanel Daisy : Simone Valère Monsieur Papillon : Michel Bertay Dudard : Gabriel Cattand Botard : Régis Outin Madame Bœuf : Simone Paris

Plan Titre : Un vieillard solidaire Introduction Situation initiale : Jacques, un vieillard solidaire. L’homme était très triste de passer le jour de l’an seul chez lui malgré sa solidarité. Alors, il décida d’aller se promener sur les rues près de chez lui pour voir s’il allait croiser un de ses vieux amis. Pour lui demander s’il faisait une grosse fête de famille pour le jour de l’an et s’il pouvait être invité lui aussi, car il avait plus de famille qui l’inviter a des soupers de famille durent

Après long travail et usaige, Voicy la mort qui te convie. Ce quatrain en vieux français, placé au-dessous d’une composition d’Holbein, est d’une tristesse profonde dans sa naïveté. La gravure représente un laboureur conduisant sa charrue au milieu d’un champ. Une vaste campagne s’étend au loin, on y voit de pauvres cabanes ; le soleil se couche derrière la colline. C’est la fin d’une rude journée de travail. Le paysan est vieux, trapu, couvert de haillons. L’attelage de quatre chevaux qu’il pousse

du vert du printemps, un vert plus doux que celui de l'été ; c'était une journée magnifique et il était jeune ses recueils de nouvelles Fantômes et farfafouilles et Lune de miel en enfer où figurent respectivement « Cauchemar en jaune », 1963 et « Vaudou », 1954. amoureux. Merveilleusement amoureux, amoureux à en avoir le vertige. Et heureux en amour : la veille, qui était un samedi, il s'était déclaré à Susan dans la soirée et elle avait dit oui. Plus ou moins oui. Pour être