Île du Diable

de la convaincre de la supériorité de la "vie tempérante", qui "vaut mieux que la vie déréglée"… Et c’est bien cela qui, le jour du Jugement Dernier, départagera les âmes, lorsqu’elles comparaîtront nues devant leurs juges et seront dirigées vers l’"Ile des Bienheureux" ou vers le "Tartare". La tempérance ici, loin d’être médiocre, est justesse : elle est conformité à l’ordre du Kosmos. Le discours de Sganarelle, même s’il a parfois des allures de bon sens limité d’un valet poltron, se rattache à un

il se dédouble, en quelque sorte. LXXXIV. L’IRREMEDIABLE L’auteu d it plusieu s personnages qui se trouvent dans des situations sans réelles solutions et qui sont pris au piège. Il parait associer ces situations (et la sienne) aux actes du Diable (Mal). LXXXV. L’HORLOGE Il fait une métonymie : en parlant de l’ho loge, il d sig e le te ps ui passe et qui le presse. Le temps transforme les actes en souvenirs. Tableaux parisiens LXXXVI. Paysage L’auteu se le e pli ue u’il veut être

intelligent. Il donne une version différente de son passé à chaque personne rencontrée, tout comme il s’invente de nouveaux noms de famille au gré de ses aventures (dans ce roman, il se présente successivement comme Garin Troussebrigands, puis Garin Trousse-diable). - Louys : adolescent d’une douzaine d’année qui s’est enfuit de chez sa nourrice. Il est vendeur de reliques : cheveux de la vierge, poils de barbe de Saint Pierre, phalange de Sainte Agathe, nombril de Saint Sébastien, tibia de Saint Jean Baptiste

THEME GENERAL DE L' ANNEE INTRODUCTION LITTERAIRE A QUELQUES NOTIONS PHILOSOPHIQUES SEQUENCE ILE BONHEUR, LES PLAISIRS, LE DESIR Quelle vision du bonheur les écrivains ont-ils proposé à travers leurs réflexions de la vie ? du 16ème siècle à nos jours. A travers 4 textes, extraits de différents types de littérature : 1 – Une Fable : Le Savelier et Le financier de La Fontaine de 1668 – 17ème siècle 2 – Un conte philosophique : Extrait de Candide de Voltaire de 1759 – 18 ème siècle 3

qu'il s'y passait. Aveuglé par une lumière très brillante, il ne vit rien, mais son maître sortit peu après de la pièce, furieux de cette interruption. Quand Beardie retourna jouer, l'étranger était parti. Certains disent que cet étranger était le Diable, car après son départ, Beardie avait comme perdu son âme. Il semblait condamné à jouer pour toujours, car même après sa mort, cinq ans après la visite de l'étranger, la pièce était toujours rempli des bruits et des insultes des joueurs. Après quelques

symbolique: la fiole (invention de Gide), les armes d’Ulysse, l’arc et les flèches de Philoctète ; ** de même, on exposera les élèves à la tentation de ne lire qu’une « œuvre engagée » : à cette date, en effet, 1898, l’île évoquait directement l’île du Diable, où fut relégué le capitaine Dreyfus. On fera ainsi d’autant mieux voir combien la réécriture, même provoquée par un contexte précis, daté, personnel ou autre, le dépasse toujours (même remarque pour Les Mouches), en raison de la nature même du mythe

Texte intégral / Collège - Lycée professionnel 9782081249738 3,80 € • 128 pages. CHESTERTON (G.K.) L’ORACLE DU CHIEN Voir LE CRIME N’EST JAMAIS PARFAIT, p. 47 Étrange histoire assurément que celle de Peter Schlemihl, qui cède son ombre au diable contre la bourse sans fond de Fortunatus et s’en repent bientôt… Ce conte fantastique du début du XIXe siècle LES CLASSIQUES ET LES CONTEMPORAINS CLAUDEL (PHILIPPE) LES CONFIDENTS ET AUTRES NOUVELLES Récits tirés des Petites Mécaniques -------------------------------

l'orifice de l'ecoutille, pale comme un spectre, et soutenu sous chaque bras par ceux que nous avions envoyes a sa recherche, et qui l'avaient trouve etendu sans mouvement entre ses canards et ses poules. Il etait evidemment impossible au pauvre diable de se rendre a nos ordres. A peine s'il pouvait se soutenir sur ses jambes, et il tournait les yeux d'une facon lamentable. Pensant que le grand air lui ferait du bien, nous fimes aussitot apporter un matelas sur le pont, et on le coucha au pied

certaines bonnes femmes croient au Léviathan, – par foi, non par raison. Le monstre existait, il en délivrerait les mers, il l’avait juré. C’était une sorte de chevalier de Rhodes, un Dieudonné de Gozon, marchant à la rencontre du serpent qui désolait son île. Ou le commandant Farragut tuerait le narwal, ou le narwal tuerait le commandant Farragut. Pas de milieu. Les officiers du bord partageaient l’opinion de leur chef. Il fallait les entendre causer, discuter, disputer, calculer les diverses chances d’une

Fantine 3. Lequel de ces écrivains brigua 19 fois un fauteuil sans jamais être élu à l’Académie française ? £ Voltaire £ Victor Hugo £ Émile Zola 4. Le comte de Monte-Cristo tient son nom de: £ Son goût pour les cigares £ Une propriété en Toscane £ Une île de la Méditerranée 5. Balzac était connu pour être dépendantde... £ L’absinthe £ La morphine £ Le café 6. Chateaubriand a vécu à : £ Cabourg £ Combourg £ Strasbourg 7. « Madame Bovary, c’est moi » a été prononcé par : £ La femme de Flaubert £ La mère