Illusion Du Masque Au Théâtre

1 Le théâtre Étymologie : du grec « theatron », ce que l’on voit, les sens de théâtre : 1°) Spectacle 2°) Édifice dans lequel on montre ce spectacle. 3°) Genre littéraire destiné à être mis en scène. 4°) C’est un art : l’art dramatique (du grec ‘drama’ : l’action) qui remonte à l’Antiquité. Origines Selon la tradition, c’est le poète de l’antiquité grecque Thespis qui aurait inventé la tragédie en mettant en scène, en faisant jouer ses poèmes par des acteurs masqués (cf. : chariot de Thespis)

vices de son temps. Cette œuvre, qui a eu un succès immédiat dès 1688 va procéder comme un divertissement ou un jeu mondain (Shakespeare dit : « Le monde entier est une scène de théâtre »), un jeu à clef où il s’agit de se reconnaître, de se retrouver. Mais, évidemment, le projet des Caractères est de prendre de la distance par rapport à ces défauts humains, en faire la satire et

la même apparence. En fait, toutes les autres formes de couleurs ou de dessins qui construisent les personnes et les objets ensemble, ont l’air d’être des morceaux de papier collés en une composition. On peut dire que Picasso a essayé de créer une illusion opposée de l’illusion de la nature, ou quelque chose d’artificiel. L’œuvre a un peu d’humour. Les personnages appartiennent à un groupe d’artistes amusants pour les spectateurs. La façon dans laquelle ils ces personnages sont représentés est

critique du moi. Dans un troisième temps, il tire la conséquence de cette non existence du moi : toutes nos perceptions sont atomiques et intermittentes. Enfin, Hume, après avoir repris l’énonciation de sa thèse, en offre une illustration au travers du théâtre. I- Les adversaires D’emblée, Hume pose la thèse qu’il va critiquer : « Il y a certains philosophes qui imaginent que nous avons à tout moment la conscience intime de ce que nous appelons notre « moi » ; que nous sentons son existence et sa continuité

ce sera le même théâtre et les mêmes décorations , ce ne seront plus les mêmes acteurs .” En quoi cette métaphore filée illustre-t-elle le projet de La Bruyère dans les chapitres V à X des Caractères? « Le monde entier est un theatre, et tous, hommes et femmes, n’en sont que les acteurs » annonce Shakespeare.1) L’oeuvre de LB est un théâtre, la société en est ses acteurs: theatrum

socialeSalons mondains, nouvelle scène LA ROCHEFOUCAULD - MOLIÈRE Les arcanes du pouvoir, de la « singerie » ordinaire LA FONTAINE Théâtrum mundi, le masque seul visage MONTESQUIEU - LACLOS Le bon prince CORNEILLE - PASCAL CORRECTION Restitution ordonnée de connaissances

Racine est d’abord le rival de Corneille, celui qui va en quelque sorte prendre sa place sur la scène du théâtre français. Beaucoup de choses vont ê soulignées dans leur rapport pour les opposer : * Corneille = vertu romaine (Ms Nicomède c’est en Bithynie, Rodogune c’est en Syrie, Le Cid en Espagne médiévale, Médée en Grèce) * Racine = lyrisme de la poésie grecque (= Phèdre, Bajazet -> on est dans le mythe, ça n’a rien de grec) Méfions-nous des stéréotypes ! Britannicus = pièce qui

Ariste* Ergaste Isabelle * Rôles joués en alternance par Jérôme Quintard et Damien Gouy Production Théâtre National Populaire – Villeurbanne avec le soutien du Département du Rhône Avec la participation artistique de l’ENSATT et l’aide de la Région Rhône-Alpes pour l’insertion des jeunes professionnels Sganarelle, ou le Cocu imaginaire ; L’École des maris ; Les Précieuses ridicules a été présenté au Théâtre National Populaire à Villeurbanne, du 8 au 30 mars 2007. Régisseur général Julien Imbs chef machiniste

serait donc "l'acteur principal de toutes les utopies". Il s'agirait donc plus de le sublimer qu'autre chose (ce corps) et ce toujours dans le but de s'en échapper. Pour se faire, on le maquille, le déguise, le transforme, le modèle, l'exhibe: " le masque, le tatouage, le fard, placent le corps dans un autre espace, il le fond entrer dans un lieu qui n'a pas de lieu directement dans le monde, il font de ce corps un fragment d'espace imaginaire qui va communiquer avec l'univers des divinités ou l'univers

Bonjour bonjour bonjour au revoir L’Illusion comique est une pièce de théâtre en cinq actes écrite par Pierre Corneille en 1635, représentée pour la première fois au théâtre du Marais en 1636 et publiée en 1639 chez François Targa. Lorsque Corneille écrit cette pièce, il a 29 ans et a déjà écrit sept autres pièces de théâtre dont des tragédies et des comédies. L’Illusion comique marque un tournant dans la carrière littéraire de son auteur puisqu’après l’avoir écrite, Corneille n’écrira plus que