Illustration anatomique

Étienne Jodelle, Rémi Belleau, Jean-Antoine de Baïf. De ses voyages, en Italie, Ronsard a retenu le goût des académies littéraires. Il fonde la Brigade qui, avec l’apport d’hellénistes et latinistes brillants deviendra, la Pléiade. La Défense et illustration de la langue française (1549) de Joachim du Bellay en est le premier manifeste : il prône une littérature en langue vulgaire, c’est-à-dire en français et non en latin, avec imitation des modèles antiques, imitation non servile, et qu’il nomme innutrition

Mans, il forme un groupe de travail — baptisé « la Brigade » (future Pléiade) — dont les efforts et le projet ambitieux de « rénover la poésie française et de créer une langue nationale » se traduiront par la publication, en 1549, de la Défense et Illustration de la langue française de Du Bellay.

Jacques Peletier du Mans, Joachim du Bellay autour de Jean Dorat, helléniste, se passionne pour les auteurs antiques et la poésie de la Renaissance italienne. Ce groupe s’appelle la Brigade. Du Bellay en est le porte-parole. Dans la Défense et Illustration de la langue française il s’oppose à deux tendances contradictoires : la poésie néo-latine et la virtuosité marotique héritée du Moyen-âge. Quelques objectifs ou règles : • Enrichir le vocabulaire et le style de la langue française • Concilier

Pléiade: est un groupe de sept poètes français du XVIsiècle rassemblés autour de Pierre de Ronsard et Joachim du Bellay. Ce mouvement littéraire est d’abord nommé la «Brigade»Les idées de la Pléiade sont rassemblées dans un manifeste, Défense et illustration de la langue française, publié en avril 1549 sous la signature de Joachim Du Bellay. Son contenu vise à mener une réflexion sur les moyens d’enrichir la langue française par des emprunts, la fabrication de néologismes, le rappel de mots disparus

l'ambition et la finesse abonde : Ici la liberté fait l'humble audacieux, Ici l'oisiveté rend le bon vicieux, Ici le vil faquin discourt des faits du monde. » CONCLUSION Sous l'apparence d'une renonciation aux prescriptions de la Défense et Illustration de la langue française, en choisissant une poésie "naturelle" d'un style bas cherchant surtout à plaire, Du Bellay conserve l'imitation, s'inspirant de la forme satirique en sonnets, tout en détournant sources antiques et images mythiques, considérées

capacités intellectuelles potentiellement illimitées, ils considèrent la quête du savoir et la maîtrise des diverses disciplines comme nécessaires au bon usage de ces facultés. Les idées de la Pléiade sont rassemblées dans un manifeste, Défense et illustration de la langue française, publié en avril 1549 sous la signature de Joachim Du Bellay. Son contenu vise à mener une réflexion sur les moyens d’enrichir la langue française par des emprunts, la fabrication de néologismes, le rappel de mots disparus

Pelletier du Mans, Jean Dorat prendra sa place au sein de la Pléiade. Ce n'est qu'en 1556 que Ronsard prit, pour désigner ce groupe, le mot « Pléiade » entériné par la postérité. Les idées de la Pléiade sont rassemblées dans un manifeste, Défense et illustration de la langue française, publié en avril 1549 sous la signature de Joachim Du Bellay. Son contenu vise à mener une réflexion sur les moyens d’enrichir la langue française par des emprunts, la fabrication de néologismes, le rappel de mots disparus

Jean-Antoine de Baïf, Rémy Belleau, Pontus de Tyard, Étienne Jodelle Jacques Peletier du Mans et à la mort de ce dernier, Jean Dorat. Ronsard y étudia sept ans. En 1549, le premier manifeste de ce mouvement, écrit par Du Bellay parut : Défense et illustration de la langue française, mettant en valeur l’application des principes de la Pléiade. En 1549, Ronsard compose un recueil de sonnets les Amours de Cassandre et l'Hymne de France. En 1554, il est le poète d’Henri II puis conseiller et aumônier

centre d'intérêt commun : la littérature. Très vite Pierre de Ronsard s'imposa chef du groupe. En 1549, Joachim du Bellay écrivit le manifeste de leurs idées communes intitulé <<Défense et Illustration de la langue française>>. Manifeste de la Pléiade, <<Défense et Illustration de la langue française>> Dans la mythologie grecque, Pléiade était le nom donné aux sept filles d'Atlas qui furent échangées en étoiles. Les membres de la Pléiade du XVIe siècle sont

Dorat le remplacera au sein de la Pléiade. Ce n'est qu'en 1556 que Ronsard choisit le mot « Pléiade » pour désigner ce groupe. Cette appellation sera adoptée par la postérité2. Les idées de la Pléiade sont rassemblées dans un manifeste, Défense et illustration de la langue française, publié en avril 1549 sous la signature de Joachim Du Bellay. Son contenu vise à mener une réflexion sur les moyens d’enrichir la langue française par des emprunts, la fabrication de néologismes, le rappel de mots disparus