Image Femme Dans Spleen Et Idéal

» ; « Spleen LXXVII » 1- « Bénédiction » : -v.5 à 16 : Qui parle ? Pourquoi ? -v.21 à 32 : comment est présenté le poète ? Comment est-il perçu par les autres ? -v.53 à 76 : vers qui le poète se tourne-t-il ? 2- « L’Albatros » : -Sur quelle comparaison le poème est-il construit ? -Quelles sont donc les caractéristiques du poète ? 3- « Les phares » : -Quelle mission est dévolue aux artistes selon Baudelaire ? Relève une citation. 4- « Spleen LXXVII

politique) et le symbolique (établir une analogie entre idée abstraite et image chargée de l’exprimer) Courte Bibliographie : « du vin et du haschich », « l'art romantique », « les fleurs du mal », Thèmes de l'œuvre : L'extase au mal L'art au pêché et à la souffrance (lui faisant perdre son idéal pour sombrer dans le spleen. De quoi parle l'œuvre ?  L'œuvre se trouve dans la partie intitulée «Spleen et idéal», nom sans doute précurseur du paradoxe présent dans les poèmes qu'elle contient

age en Egypte ,qui est un peu l’ancetre de la chimie. Elle donne pour mission aux alchimistes de trouver la pierre philosophale afin de transmuter les métaux vils en métaux précieux ( nobles ) [ d’où l’idée de transformer la boue en or ]. ----- image de la création littéraire ----------------------- Dans la littérature , les artistes du 19e siècle considère ( croix ) que la poésie serait la pièrre philosophale qui transforme le laideur et le mal de la réalité par un langage particuler en quelque

dans un domaine tellement sacré et intouchable comme le domaine poétique ? Et le plus important, qu’est-ce qu’on trouve de personnel dans la recherche de cette nouvelle création poétique ? L’intertextualité entre Les Fleurs du Mal (1857) et Le Spleen de Paris (1862) signifie, tout d’abord, un premier signe de la modernité de Baudelaire, car cette intertextualité littéraire représente une réécriture poétique des Fleurs sous la forme de petits poèmes en prose. Il écrit les Fleurs du Mal sans toucher

très travaillée parce qu’elle retrace l’itinéraire spirituel du poète. Spleen et Idéal Dans la 1ère partie, Baudelaire évoque les 2 tendances (postulations) de son être qui s’affrontent en lui et le déchirent. Spleen = le mal sous toutes ses formes : la souffrance physique, la maladie, l’ennui, la routine, la vie quotidienne qui donne l’impression de sombrer, les sentiments mauvais (colère, haine, méchanceté). Idéal = le bien (les bons sentiments) et le bonheur (la joie intérieure) +

Les Fleurs du Mal de Charles Baudelaire Relevé sur la dualité de la femme Beauté, sensualité de la femme Les bijoux La très-chère était nue, et, connaissant mon coeur, Elle n'avait gardé que ses bijoux sonores,
 Dont le riche attirail lui donnait l'air vainqueur
 Qu'ont dans leurs jours heureux les esclaves des Maures.

Quand il jette en dansant son bruit vif et moqueur,
 Ce monde rayonnant de métal et de pierre
 Me ravit en extase, et j'aime à la

Nonobstant, Baudelaire se laisse emporté par l’ivresse du sentiment amoureux :  L’invitation au voyage invite le lecteur dans un voyage onirique, au sein d’un monde sublimé par la poésie. Par ce biais, la poésie rend compte d’une image méliorative de la vie, mêlant la tendresse à l’excitation et fait de l’amour une partie majeur de l’existence. La poésie décrit la beauté de l’amour, sans pour autant la rendre irréelle. Baudelaire prend inspiration dans le monde qui l’entoure, et

au voyage Le poème L’Invitation au voyage fait partie du recueil Les Fleurs du Mal de Charles Baudelaire, parut en 1857. Il appartient à la partie «Spleen et Idéal», la première et la plus longue section du recueil. Dans le poème présent, le moi poétique cherche à persuader la femme qu’il aime de l’accompagner à un voyage imaginaire dans un pays idéal quoiqu’illusoire. Structure Le poème se compose de trois strophes de douze vers, chacune aux rimes embrassées. Les strophes sont séparées l’une

dans «  La Muse malade » avec « t’a-t-il noyée au fond d’un fabuleux Minturnes », représentant le débordement des émotions dû à la tristesse de l’auteur. La boue est également liée à la pluie, ce paysage représente l’enfermement « une vaste prison » (Spleen IV), mais également la mélancolie auquel des auteurs comme Verlaine, Laforgue ou bien Baudelaire le suggèrent et évoquent dans leurs œuvres. Ainsi, Baudelaire dans « Brumes et Pluie » à travers les termes « trempés de boue » mentionne le caractère

peuvent, grâce au langage poétique, surgir des réalités triviales de la nature avec le « mal ». 1) La structure signifiante. La partie « Spleen et Idéal » met en scène le « spleen », c’est-à-dire l’ennui au sens d’angoisse métaphysique dont souffre le poète, et son aspiration vers un « idéal » infini, sublime où règne l’intégrité de l’être. Le mot « spleen » traduit donc chez Baudelaire l’ennui et le dégoût généralisé de la vie. La même thématique alimente la totalité du recueil des Fleurs du mal