Image Therese Raquin

Mettre au point », les champs lexicaux ou les éléments grammaticaux à relever, dans l’optique d’apprivoiser la notion étudiée ; l’exercice ne se confond pas avec une lecture analytique de la partie I. Le but est de faire de chaque texte ou de chaque image un prétexte à l’assimilation progressive d’une notion lexicale, grammaticale ou stylistique. À la fin de chaque fiche, après les exercices de la rubrique « Appliquer », un exercice « Écrire » comporte une activité de type bac. Elle bénéficie d’une

las de sa grande série. L'étude de l'”Ébauche” manuscrite et des brouillons du roman éclaire l'œuvre : désir de rompre avec les thèmes un peu idéalistes du roman précédent (“Le rêve”), de reprendre le thème de la psychologie du criminel de “Thérèse Raquin”, de s'inspirer de quelques affaires criminelles célèbres, de s'opposer aux théories criminalistes en vogue à l'époque (celle de Tarde ou de Lombroso), de faire un roman du crime et de l'enquête policière différent de ceux des contemporains, notamment

« Bon Marché » puis au « Bonheur », amant puis mari de Pauline -Gaujean : fabricant de soie à Paris, ami de Robineau -Mme Gras : nourrice de Pépé -Baron Hartmann: riche, président du Crédit Immobilier -Mouret Octave : patron du « Bonheur » -Thérèse : nièce du pâtissier, maîtresse puis femme de Jean Remarque: Le Bonheur est un magasin extrêmement bien organisé hiérarchiquement parlant:dans chaque rayon le grade le plus bas est "1er vendeur", ensuite oon passe "second" et enfin "premier", c'est-à-dire

peu las de sa grande série. L'étude de l'”Ébauche” manuscrite et des brouillons du roman éclaire l'œuvre : désir de rompre avec les thèmes un peu idéalistes du roman précédent (“Le rêve”), de reprendre le thème de la psychologie du criminel de “Thérèse Raquin”, de s'inspirer de quelques affaires criminelles célèbres, de s'opposer aux théories criminalistes en vogue à l'époque (celle de Tarde ou de Lombroso), de faire un roman du crime et de l'enquête policière différent de ceux des contemporains, notamment

possible que Mme Woodward ait craint la réouverture d’une enquête et ceci malgré les assurances de ses avocats. Elle a pu être poursuivie par le remords. Et voir dans la publication du roman la confirmation d’un juste châtiment. Emile Zola dans “Thérèse Raquin” raconte ainsi les obsessions d’un couple assassin poursuivi par le souvenir de son crime. Dans cette hypothèse le romancier a été l’auxiliaire de la justice. 2.2 Mais cette explication n’est pas évidente. Et si Mme Woodward était vraiment innocente

en 1887 Adopte le point de vue de Zola : achève de couper de la scène les spectateurs en plongeant les spectateurs dans le noir : coupure public-monde de l’illusion (où est reproduit un fragment du monde réel). Mise en scène du roman de Zola Thérèse Raquin. 30 mars 1887 : mise en scène de la pièce Jacques Damour au théâtre libre  Zola, Jacques Damour : Le roman : Histoire linéaire. Montrés comme un couple honnête, sérieux, ont une fille. Scène au début de la Commune => plus de travail, d’emploi…

qui laisse mal augurer de leur ardeur à se battre, l’adverbe « déjà » est lourd de menace- et « ivres et qui chantaient ». « La fête Impériale »  tourne à la beuverie et à la destruction.   Enfin le train qui était symbole de progrès altère son image positive : dans les dossiers, Zola parlait de « progrès qui passe devant la bête humaine déchainée » cf Phasie : « ça c’était le progrès, tous frères, roulant tous ensemble, là-bas, vers un pays de cocagne ». Au long du roman le train était opposé

[pic] Emile Zola : il naît à Paris le 2 avril 1840. Il trouva un emploi dans une librairie après des années études moyennes. Il rencontra un grand nombre d'écrivains et se lancera dans le journalisme par après. En 1867, sort son premier roman, 'Thérèse Raquin'. C'est grâce au cycle romanesque des 'Rougon-Macquart', grande fresque sociale et familiale, qu'il obtient le succès et le confort matériel. La fin de sa vie est marquée par son engagement républicain et par sa lutte pour la justice. Il a en

par son érotisme : « En elle s’éveilla une beauté provocante, inquiétante. [...] Son aspect était troublant. Lorsqu’elle passait devant les hommes elle attirait leurs regards. » 14 Quant à «l’amant » - non érotique, voire anti-érotique, est son image, au point où, plus que par les situations dépeintes, c’est précisément son portrait qui ébranle sérieusement la possibilité de l’adultère : « Des yeux humides, taillés en amande, des lèvres rouges et souriantes, une petite moustache pommadée, une coiffure

personne était habillée, ce qui se passait ce jour là parce que le système noradrénergique a éveillé leur vigilance et quelles ont retenus toutes les caractéristiques de l'environnement. » Cette concentration extrême va provoquer une sorte d’arrêt sur image, c'est pourquoi les souvenirs de cette rencontre vont longtemps restés gravés dans la mémoire des amoureux. Manon « Ah ! Je me souviens exactement comment il était et comment il était habillé aussi . » Illiès « Elle était habillée avec une longue