Immortalité

individu, qui en ennoncant joliement des sottises bien construites, peut vous faire croire ce qu'il veut. L'imbécile n'ayant que pour choix de croire ce que son maître lui injecte dans le cerveau. (“quand le déguisement de l'intelligence offre une immortalité de papier journal et l'admiration de ceux qui croient en ce qu'ils lisent.”). Et cette divinité atteignable par l'homme crée bien évidemment la convoitise, ce qui donnera naissance à de faux instruits qui enviait ce qu'ils de savaient pas (Oscar

Donc tout le monde aura une vie de travail ( comme la notre en sois ) En ce qui concerne la santé, elle est totalement gratuite et de toute façon, il n'y pas vraiment de maladie dans notre monde a part des petit rhume ou grippe, malgré notre immortalité le corps peux tout de même devenir faible mais c'en remettra avec quelque antibiotique. Pourquoi n'y a t'il quasi plus de maladie vous demandez vous ? Tout simplement parce la pollution n'existe plus, les personne peuvent se téléporter et pour

œuvre qui dure » signifie que tout ce qui est naturelle est périssable alors que l'œuvre d'art est intemporelle. Les choses ou les évènements ne sont pas intemporels mais justement leur représentation artistique leur donne cette durée et cette immortalité en les gravant dans la mémoire humaine. L'aspect de la nature est réduite face à la force de l'esprit (donc de l'œuvre d'art). L'oeuvre d'art elle aussi connais une vie (elle se dégrade et doit être préservé) mais son message lui est immortel. Selon

dispose certainement pas des qualités qu'on lui attribue généralement, comme la beauté, puisqu'il les recherche. C'est donc un être intermédiaire. Ainsi l'amour est-il philosophe, ni sage ni ignorant, mais cherchant la connaissance. Procréation, immortalité et gloire [modifier]Enfin Diotime initie Socrate au secret d'Eros : tous les êtres cherchent à se reproduire ; l'instinct sexuel est l'expression la plus immédiate de ce désir d'immortalité. La production d'œuvres et la législation en sont les expressions

(image du lyrisme) en « fleurs ». Le dernier vers, enfin, associe la vie à la mort, les assimile, par l’emploi de la conjonction « et », les fond en cette image reprise de tout le poème : « roses ». La femme va trouver une nouvelle existence, une immortalité, dans la célébration du poète. Mais enfin, par cette reprise en fin de poème du mot rose, nous allons voir que c’est peut-être justement autant la femme que la poésie qui est célébrée. La femme est comparée dans toute la première partie du poème

l'impossible) au sens de mauvais calcul, d’illogique, d’irrationnel, le but apparent du désir étant le plaisir et de parvenir à la satisfaction. A. L’impossible, c’est ce qui n’est pas accessible dans le réel ou ce qui est contradictoire en soi. Ex : immortalité pour des êtres mortels, don d’ubiquité pour des êtres finis. Dès lors désirer l’impossible c’est la garantie de ne pas obtenir l’objet du désir. Donc souffrance garantie auquel on ne peut aspirer en tant qu'être de désir, être sensible. B. On

par la procréation des enfants, l'immortalité, la perpétuité de leur nom et le bonheur, à ce qu'ils s'imaginent, dans la suite des temps. Mais ceux qui sont féconds selon l'esprit…Ceux-là cherchent une belle âme » Banquet 209a (2) Car la seule immortalité accessible au mortel, c'est le renouvellement des générations. On s'immortalise dans sa descendance (voir le passage (207d-e) où Platon explique que, de même que notre corps se renouvelle en permanence par le renouvellement de nos cellules, notre

constitue ici la fuite du temps. Son effroi par rapport à sa situation précaire de non-reconnaissance. Le lexique de ses 2 quatrins est simple et d’ailleurs on peu relever celui du registre épique : cœur vainqueur Immortalité Honnête Glorieux / honorable Ce champ lexical est accentué par l’adjectif démonstratif : « - ce - cœur vainqueur » Cœur et vainqueur : similitude de sonorité : paronomase accentue registre épique, qui renvoie

périr » : « …nous restâmes couchés , rongés d’angoisse… » c’est une lutte contre la mort : « pour éviter la mort » (V)Il ressent au plus profond la fragilité de la condition humaine , celle du mortel , alors même que Calypso lui avait offert l’ immortalité contre l’oubli du « nostos ». La tempête est une épreuve physique ; Ulysse comme ses marins ressent dans son corps , le poids de l’humaine condition : les marins sont « rongés …de fatigue »(IX) ; au chant V Ulysse « sous l’assaut de la puissante

et rassurante de la mort comparée au sommeil. Ronsard s'en va en paix. C- La certitude chrétienne de l'immortalité de l'âme Idée de l'enveloppe humaine renfermant l'âme → "dépouillé" Exploitation de la double consolation avec la mort : immortalité et retrouver ses amis Conclusion : Ce sonnet Je n’ai plus que les os, qui inaugure un ensemble de poèmes tous consacrés à une méditation sur la mort, nous offre une confidence émouvante sur l'amer constat de la déchéance physique qui accompagne