Immunoglobuline G

de plsrs sous-unités en oligomères-> asso maintenue :Par liaison faibles entre sous-unitésPonts disulfuresSous unité peuvent être identiques :Ex : hémagglutinine du virus de la grippe = trimère homogènesSous unité peuvent être diff :Ex : immunoglobuline G = 2 chaines lourdes + 2 chaines légèresPrimaire : enchaînement des AA = séquence des AASecondaire : organisat° de courts fragments ds l’espaceStructure régulière :Ellice a droitFeuillet BStructure non répétitiveBoucleCoudeTertiaire : forme spatialeQuaternaire :

affections constituent un risque professionnel pour les professions de santé. Les virus des hépatites n’ont été isolés que tardivement à la fin du XXe siècle. On décrit les cinq hépatites virales suivantes :A, B, C, D, E. L’existence des virus F et G est encore largement hypothétique et la liste n’est peut être pas close. La journée mondiale des hépatites1, historiquement fixée le 1er octobre ("hepatitis Awareness Day"), déplacée au 19 mai; a lieu depuis 2011 le 28 juillet (source OMS)2. Histoire

–  Les immunoglobulines polyvalentes intra-veineuses (majoration de la zone gamma) –  Et toute autre substance inconnue www.admed-ne.ch Corrélation Albumine www.admed-ne.ch Corrélation avec la néphélémétrie •  Il existe une très bonne corrélation entre les valeurs en g/l de certaines fractions de l’électrophorèse (en particulier l’albumine et les gamma-globulines) et leur dosage par néphélémétrie. Cependant, dans certains cas, l’albumine peut être sous-estimée jusqu’à 15 g/l, en cas

post prandial (120 minutes) 0,77 à 1 g/l < 1,6 g/l < 1,6 g/l < 1,6 g/l 4,2 à 6 mmol/l < 9 mmol/l < 8 mmol/l < 7 mmol/l HbA1c SAVOIR PLUS 4 à 6 % triglycérides SAVOIR PLUS homme femme 0,40 à 1,50 g/l 0,30 à 1,40 g/l 0,45 à 1,70 mmol/l 0,35 à 1,60 mmol/l cholestérol total SAVOIR PLUS < 20 ans adulte cholestérol-HDL SAVOIR PLUS cholestérol-LDL SAVOIR PLUS cholestérol-VLDL < 2 g/l 1,5 à 2,5 g/l 0,35 à 0,60 g/l 1,2 à 1,7 g/l 0,05 à 0,12 g/l < 5 mmol/l 3,87 à 6,45 mmol/l 0

Définition Le lait est le produit intégral de la traite totale et ininterrompue d’une femelle laitière bien portante et non surmenée. Le lait doit être recueilli proprement, et ne doit pas contenir du colostrum. Le colostrum est un lait riche en immunoglobulines. Il est destiné au nouveau-né et non pas à la consommation humaine. Laits considérés comme impropres à la consommation humaine       Lait provenant d’animaux malades. Lait provenant d’une traite opérée moins de 7 jours après

ils sont capables de circuler d’un tissu à l’autre. Ils possèdent à leur surface des marqueurs spécifiques permettant de les classé en 2 familles: les lymphocytes T qui présente un TCR (= T Cell Receptor) et les lymphocytes B qui présentent des immunoglobuline de surface (Ig) Remarque: il existe une 3éme catégories de lymphocytes ne procédant ni TCR ni Ig de surface se sont des cellules « tueuse » ou cytotoxique appelé NK (= natural killers) qui pré existe à l’arrivé de l’Ag. a- Les lymphocytes T

d’histocompatibilité et présentation des antigènes cellulaires Récepteur des cellules T et reconnaissance des complexes antigène-CMH Marqueurs CD et profil spécifique des lymphocytes Destruction des cellules cible par les lymphocytes T cytotoxiques Immunoglobulines et fixation des antigènes 414 Index 439 420 424 426 426 428 Introduction L ors du processus de création et d’expansion de l’Univers qui évolue depuis environ quinze milliards d’années, deux événements nous concernant plus directement

Etude des composantes du sang et la recherche d’une maladie éventuelle : numération de la formule sanguine NFS. NFS: GR, GB, hématocrite, VGM, TCMH, CCMH et réticulocytes.  Hématocrite: H: 40-52% / F: 37-47%  Hémoglobine: H:13-18 g/dl / F:11,5-16,5  Nbre GR: H: 4,5-6 1012 / F: 3,8-5,6 1012  Réticulocytes: nb de GR en circulation depuis –24h (contient des restes ribosomaux) 0,5-2% des GR  VGM (volume globulaire moyen): hématocrite/nb de GR 80-100μm3 

quatre bases de l’ADN : Deux bases puriques : Adénine (A) Guanine (G) Deux bases pyrimidiques : Thymine (T) Cytosine (C) L’A s’associe toujours à la T et la G toujours à la C Nucléotide = base sucre (ribose) + phosphate + base Le phosphore joue un rôle d’activateur ou d’inhibition. Il permet de coller deux désoxyriboses. Ex : 5’3’ Ribose ----- A T ----- Ribose 3’5’ P P 5’3’ Ribose ----- G C ----- Ribose 3’5’ Les bases sont reliées entre elles grâce à des liaisons

symptômes le plus fréquemment rencontré par le pédiatre Les causes de la toux sont multiples chez l'enfant Elle traduit le plus souvent une infection banale majoritairement virale mais p peut être le symptôme révélateur d'une pathologie spécifique. y p p g p q Les difficultés diagnostiques sont conséquentes des situations radio cliniques. Une anamnèse détaillée reste l’élément clef de la démarche diagnostique qui à la lumière de clichés radiologiques simples permettra d’approcher au mieux un diagnostic