Impitoyable

reprise à l’identique = ce n’est pas problématiser, mais recopier * De garder le « suspense » = ne pas répondre dès l’introduction aux questions posées * Des questions en rafale… qui fusent dans tous les sens * D’être un censure impitoyable = « nous nous reposons de démontrer l’absurdité de la question » * De jouer au fla……. « nous allons monter combien à … et combien l’auteur à raison » Truc en Vrac Intro : A éviter : * Le mythe des cavernes : « de tout temps

-Les émotions tragiques sont la pitié, l'effroi, devant la cruauté du sort, ainsi que l'admiration devant la grandeur des héros qui lutte contre le malheur. -Le rôle du destin est déterminant: les héros tragiques sont condamnés par une fatalité impitoyable. Qu'ils soient coupables ou non, ils sont frappés par la justice ou la vengeance des dieux. Parfois, c'est le silence de Dieu qui suscite leur désespoir. -Les thèmes tragiques sont la souffrance, la mort, la solitude, la faute. Mais l'intensité

d'apporter des connaissances se fait aussi via les biographies ou autobiographies. Hervé Bazin, raconte dans Vipère au poing, son roman très largement autobiographique les moments forts de son enfance et adolescence : son combat livré contre son impitoyable mère, sa première histoire amoureuse... Ces élémctions comme se divertir, s'évader, échapper à son quotidien. Le lecteur peut alors tourner son choix vers la poésie qui par la forme et les images et la beauté qu'elle dégage lui permet de s'évader

remarque clairement à l’aide des termes qu’elle utilise comme « cruel » (l.18), « odieuse » (l.19), « inhumaine » (l.19), « monstre affreux » (l.37) qui forme le champ lexical de la méchanceté. L’héroïne se décrit comme un être insupportable et impitoyable et la gradation suivante l’illustre clairement « c’est peu de t’avoir fui, cruel, je t’ai chassé ; j’ai voulu te paraître odieuse, inhumaine » (l.18-19). La succession des termes crée un effet d’amplification ce qui donne l’impression que Phèdre

apposition du groupe Rime « étincelants »/ « brillants » (v7-8) L’incendie est la conséquence directe de la haine de Pyrrhus. (brûlé de plus de faut que je n’en allumai » vers 320). « de sang tout couvert » Pyrrhus est d’une cruauté impitoyable. « Voilà comme Pyrrhus vint s’offrir à ma vue ;/ Voilà par quels exploits il sut se couronner » (v.14-15) Anaphore du présentatif « voilà » Surenchère, amplification du portrait cruel de Pyrrhus esquissé par Andromaque. « exploits » :

Dans quelle mesure le plan Barbarossa illustre-t-il la guerre d’anéantissement ? Alors que le 23 août 1939, l’Allemagne Nazie signe un pacte de non-agression avec l’URSS, cela ne durera pas longtemps, ce pacte avait pour but pour Hitler de pouvoir d’un côté avoir à l’Est un front calme, sans agression, et ainsi attaquer sans difficulté le front de l’Ouest, cela permettait à Hitler de ne pas faire l’erreur de la 1ère Guerre mondiale, où l’Allemagne fut encerclée. Ici, grâce à ce pacte, l’Allemagne

ses interprétations sont détruites par Paul. La page 290 détient un extrait appuyant parfaitement son travail dénigré : «Elle [Anne] savait faire passer son entourage pour de sympathiques petits êtres trahis par leur impitoyable inconscient.» Seulement les mots sympathique et impitoyable en disent long, grâce à une antithèse qui discrédite ses propos par une opposition de termes, faisant ressortir les contradictions chez cette femme. Dans ce même ordre d’idées, Paul trouve absurde les propos d’Anne

|« de sang tout couvert » | |Pyrrhus est d’une cruauté | | | | |impitoyable. | | |« Voilà comme Pyrrhus vint s’offrir |Anaphore du présentatif |Surenchère, amplification du | | |à ma vue ;/ Voilà par quels exploits|« voilà »

symptômes — toux, fièvre qui lui donne « les yeux brillants », douleur dans le dos — sans savoir les interpréter... Le lecteur, lui, comprend, connaît le pronostic et se désole d'être impuissant devant la mort annoncée de cette victime d'une société impitoyable. [2. La responsabilité de la société dans cette inéluctable descente aux enfers] Figure exemplaire de l'amour et du dévouement maternels, Fantine, par son abnégation, son héroïsme, sa dignité dans la misère — « elle ne se plaignait pas » — suscite

"l'avenir d'autrui". Il répond à la curiosité des jeunes gens du vers 12 par une phrase poétique : "la beauté de l'aurore s'oppose à la solennité des tombeaux". C'est une leçon de sagesse mais d'une cruauté impitoyable et pathétique. III - Epilogue : rigueur brutale et impitoyable La diversité des cas a valeur d'enseignement. Le premier rêvait d'aventure (accent mis sur la rapidité de sa mort montrant l'ironie du sort). L'autre était un ambitieux aux buts précis et aux moyens nettement