Impitoyable

Kaliayev n’est pas un fruit de son imagination, mais qu’il est un manifestation de son respect pour des hommes et des femmes qui « dans la plus impitoyables des tâches, n’ont pas pu guérir de leur coeur » (p.198). Kaliayev, qui ne veut pas tuer les enfants du Grand duc, représente l’éthique et l’angoisse lorsque l’individu est confronté à des situations impitoyables. En outre, Camus critique ceux qui n’ont pas de cœur avec le personnage Stépan, qui est brutal et dépourvu des sentiments. Stépan soutient

Poquelin, dit Molière, né à Paris, et mort à Paris le 17 février 1673, est un dramaturge et acteur de théâtre français. Considéré comme l'âme de la Comédie-Française, il en est aujourd’hui encore le dramaturge dont les pièces sont les plus joué. Impitoyable pour le pédantisme des faux savants, le mensonge des médecins ignorants, la prétention des bourgeois enrichis, Molière aime la jeunesse qu'il veut libérer des contraintes absurdes. Très loin des rigueurs de la dévotion ou de l'ascétisme, son rôle

l’écho de l’esprit de « Spleen et Idéal » et le reflet de l’œuvre toute entière. Dans le sonnet « L’ennemi », Baudelaire présente son angoisse constante du temps qui passe, composante majeure du spleen baudelairien. L’Ennemi y désigne le temps impitoyable qui « mange la vie » et « ronge le cœur » du poète. Le poète y décrit les saisons de sa vie : qui fut tantôt un été bouleversé par les intempéries, tantôt un automne morne et morbide, puis un printemps élans d’espoir et de rêve dévasté par un hiver

français. A travers le personnage du Huron, Voltaire reprends de mythe du bon sauvage, que l'on retrouve aussi chez Montaigne et Diderot, et présente un modèle utopique. II- L'humour : Personnages caricaturaux : impitoyable bailli → impitoyable et fureur de questionner hyperbolique et représentant l'obsession du bailli Mlle de Saint-Yves & de Kerkabon → intégristes, ne comprennent pas qu'on pratique une religion différente de la leur hystérie collective produite

Un jeune parisien entre au Palais-Royal, une maison de jeu et y risque sa dernière pièce d’or. « Faites le jeu ! Le jeu est fait ! Rien ne va plus ! » Ainsi débute ce roman de Balzac, un roman dont les thèmes pourfendent la société et ses règles impitoyables. Mais qui est donc ce jeune homme désespéré qui joue sa dernière cartouche ? Raphaël de Valentin est un jeune homme de vingt-sept ans dont le père a été ruiné sous la Restauration. Ayant suivi des études pour devenir avoué, le jeune lettré rêve

L’auteur cherche à montrer la cruauté impitoyable de Pyrrhus « de sang tout couvert ». Il insiste sur le portait physique du fameux roi : « les yeux étincelants » et sur les reproches d’Andromaque envers celui ci : «Voila comment Pyrrhus vint s’offrir à ma vue, Voila par quels exploits il sut se couronner ». Il utilise l’ironie pour dénoncer l’injustice de Pyrrhus avec le mot « exploits ». Ce portrait de Pyrrhus fait de lui l’incarnation de la cruauté impitoyable, c’est lui qui à mis en péril la

cette philosophie, ne prête attention qu'à lui même et ne s'intéresse pas aux autres êtres conscients, comment peut-il se différencier d'autrui et, par conséquent, être conscient de ce qu'il est et de ses limites? Le regard d'autrui peut être impitoyable. En me scrutant avec détachement,il peut me faire perdre toute conscience de moi et me rabaisser au rang de "chose". Lorsqu'il me nie en tant qu'homme, le regard des autres peut-être insupportable. Dans la pièce Huis Clos de Sartre, le regard d'autrui

cour comme une carrière : ils se comportent comme des animaux → nature impitoyable de l’environnement dans lequel évoluent les courtisans qui incite les courtisant à être prudent. On peut tout faire pour notre carrière.Comment cette fable illustre-t-elle sa morale ?En somme, cette fable de la Fontaine illustre sa morale en soulignant l’importance de la coopération, de la prudence et de la réflexion dans un environnement impitoyable comme la cour. Elle nous rappelle que le mal engendre le mal et les

répression impitoyable. Si la répression était efficace, il y a longtemps qu'elle aurait réussi. Si elle est inutile, comme je crois, n'entreprenez pas de faire carrière en vous payant la tête des autres. Ne comptez pas la prison par années ni par mois, mais par minutes et par secondes, tout comme si vous deviez la subir vous-mêmes. Il est vrai que vous entrez dans une profession où l'on vous demandera souvent d'avoir du caractère mais où l'on entend seulement par là que vous soyez impitoyables aux misérables

anti-juives de 1940, ne fait plus de doute, sera, pour beaucoup de nos compatriotes, celui du sursaut, le point de départ d'un vaste mouvement de résistance. Je veux me souvenir de toutes les familles juives traquées, soustraites aux recherches impitoyables de l'occupant et de la milice, par l'action héroïque et fraternelle de nombreuses familles françaises. J'aime à penser qu'un mois plus tôt, à Bir Hakeim, les Français libres de Koenig avaient héroïquement tenu, deux semaines durant, face aux divisions