Impressionnisme Rupture

C'est au XIX° siècle que les artistes ont ressenti la nécessité de créer un art moderne, voire nouveau. Dès le milieu du siècle, ils se confrontent à une exigence qu'ils nomment « modernité » alors que d'autres la combattent. Elle traduit une rupture au sein de l'art. Cette nouvelle vision, que l'on croyait immuable comme la société, semble s'accélérer avec la révolution industrielle et les transformations, les progrès qu'elle engendre. Le présent jusque-là chargé de tout le passé, se tourne vers

L’IMPRESSIONISME INTRODUCTION : L'impressionnisme est un mouvement artistique français né de l'association de quelques artistes de la seconde moitié du XIXe siècle. Fortement critiqué à ses débuts, il marquera la rupture de l'art moderne avec l'académisme. L'impressionnisme est caractérisé par une tendance à noter les impressions fugitives et la mobilité des paysages. L'impressionnisme eut une grande influence sur l'art de cette époque, la peinture bien sûr, mais aussi la littérature et la musique

1886 à New York et là, ce fût le succès. Le milieu de l’art Français s’en inquiéta alors très sérieusement. Les vrais grands succès ne viendront que plus tard et encore maintenant. Ce sont eux, les impressionnistes, qui ont créé une véritable rupture avec l’art traditionnel en se détachant du sujet représenté. Les origines de l'impressionnisme : L'impressionnisme doit son nom au titre d'un tableau de Claude MONET, «Impression soleil levant». Edmond RENOIR chargé de la réalisation du

le dessin, la perspective linéaire, la profondeur, le clair obscur. MONET va aussi introduire la notion de série. Exemple: la série de la façade de la Cathédrale de Rouen. On décline le sujet du tableau (la lumière et non pas le sujet) NÉO- IMPRESSIONNISME ou POINTILLISME ou DIVISIONNISME 1884 - 1891 Une baignade à Asnières Georges SEURAT 1884 Scène populaire, repos au bord de la scène. SEURAT lui, retourne dans lʼatelier: il veut réintroduire le dessin, parce que cʼest un signe fort de lʼart

rationalisme : a. Le rationalisme « artisanal et éthique » de Pugin. b. Le rationalisme fonctionnaliste de Viollet-le-Duc. c. L’école de Chicago. VI. Peinture et sculpture dans la seconde moitié du siècle (1850-1880) 1. Réalisme et impressionnisme dans la peinture française : a. Courbet, ou la première révolte contre l’art officiel (1855) b. Manet, ou le révolutionnaire « malgré lui » (1863) c. L’impressionnisme (1874) : Monet, Renoir, Degas Whistler d. La sculpture

Leconte de Lisle 5) Le symbolisme (1857-1900) est un mouvement littéraire et artistique qui commence avec la publication de Les Fleurs du mal de Baudelaire (le grand précurseur) en 1857 et s’étend jusqu’à la fin du siècle. Il naît d'une volonté de rupture avec le naturalisme et la poésie parnassienne. Il se construit en réaction à la vision matérialiste de l'époque qu'il rejette pour y opposer une expression du sens caché de l'univers à travers le symbole. Le symbolisme s'inscrit comme un renouveau

cette scène presque irréelle. Manet à travers ces problèmes de perspective, de proportion et de modelage refuse l’affirmation d’Alberti « la peinture est une fenêtre ouverte sur le monde et affirme que son image n’est qu’une image ». Par cette rupture, il invalide totalement la notion de représentation (de trompe l’œil) et interdit à la peinture de copier la réalité définitivement. Soit la peinture parlera d’elle même (ex : Abstrait, Pollock).     3 La peinture va pouvoir parler

La stratégie du groupe = (noyau d’artistes très proches) = exposition ensemble car ils présentent un art qui diffère des autres arts et donc stratégie pour imposer une nouvelle peinture = à plusieurs apparait plus comme une réalité Le mot impressionnisme a donc importance. Nature académique ce qui prime c’est le savoir faire et la nature du sujet, la prégnance de l’iconographie. Face à cela les impressionnistes essaient de s’en dégager pour peindre ce qu’ils voient par opposition à une vision

un réalisme officiel, bourgeois alors que chez Daumier c’est un réalisme humanitaire. Daumier, l’âne et les deux voleurs, 1858 Des figures qui surgissent de l’ombre Courbet, les casseurs de pierres . Il peint sur un fond sombre ce qui est en rupture avec la tradition néoclassique et les enduits blancs, inaugurés par David. Courbet badigeonnait sa toile de noir et après peignait. Millet, l’homme à la houe, 1863 «  la peinture de démocrate qui va s’imposer aux gens du monde ». En contraste

d’artistes nouveaux. Matisse : C’est un élève aux beaux-arts dans l’atelier de Gustave moreau, il fait d’abord des natures mortes dans le style impressionniste et celui de Cézanne. Nature morte à la chocolatière, Pompidou : Puis il suit le néo impressionnisme, c’est Signac qui le convertit { la touche séparée : Luxe calme et volupté, Pompidou : C’est un hommage au poème de Baudelaire qui donne une portée symboliste. On a une touche dominante des couleurs primaires qui reflètent les couleurs de