Imre Nagy

politique » d’Imre Nagy affichant clairement sa nouvelle politique dont les principaux traits sont de ralentir l’industrialisation, réviser les objectifs de la planification, supprimer les coopératives agricoles et mettre fin à la tyrannie envers l’Eglise. Ayant pour conséquence de diviser le parti communiste en deux (d’un côté les staliniens de Rákosi, de l’autre les partisans favorables aux réformes de Nagy), cette nouvelle ligne politique marque la chute de Rákosi puisque Nagy sera soutenu par les

régler les crises : - En 1956, en Hongrie nait la volonté de démocratiser le pays, à la suite de manifestation en octobre 1956, le chef du gouvernement Imre Nagy annonce les élections libres, et se retire du pacte de Varsovie. Mais le 4 Novembre 1956, l’URSS met fin au régime de Imre Nagy, instaure la répression, causant 2000 morts. Imre Nagy est arrêté et exécuté 2 ans après. L’Occident ne sera pas intervenu. - La crise de Suez : Après la création de l’état d’Israël en 1948, les premières guerres

par Khrouchtchev) - 1956 en Hongrie ( éclatement de révoltes populaires (antistaliniennes) ( même processus qu’en Pologne ( Imre Nagy (exclu à plusieurs reprises du PC) est appelé au pouvoir (il veut aller beaucoup plus loin que Gomulka dans les réformes ( organiser des élections libres et rompre avec le pacte de Varsovie. L’Armée Rouge va intervenir et Imre Nagy va être chassé du pouvoir ( remplacé par Kadar jusqu’en 1988 ( limites de la déstalinisation. • La fermeté étasunienne face

plus de libertés et de désserer le joug soviétique très mal accepté. - L’essentiel se passe en Hongrie : on manifeste contre l’URSS pour réclamer des élections libres. Imre Nagy, communiste libéral hongrois, revient au pouvoir et dénonce le Pacte de Varsovie. Moscou, le 4 novembre 1956 envoie l’armée rouge pour rétablir l’ordre. Nagy est arrêté et exécuté. - la Chine n’accepte pas la déstalinisation et accuse l’URSS de trahison. En 1958, c’est la rupture. Dégradation des relations sino-soviétiques

de l’UE. Personnages – clefs : Jean Monnet, Robert Schuman, Charles De Gaulle, Konrad Adenauer, Valéry Giscard D’Estaing, Helmut Schmidt, François Mitterrand, Helmut Kohl, Margaret Thatcher, Jacques Chirac, Gerhard Schröder. Staline, Tito, Imre Nagy, Dubček, Lech Walesa, Gorbatchev, Vaclav Havel, Slobodan Milosevič. Sujets. Composition : - La construction européenne de 1945 à nos jours. - Les démocraties populaires et le modèle soviétique (1945 – 1989). Ensemble documentaire : - La réunification

d’altitude | Kékes : 1014m d’altitude * Bükk Tar-kő : 950m d’altitude Bálvány : 956m d’altitude | | Istállós-kő : 959 m d’altitude * Börzsöny Nagyhideghegy : 864m d’altitude Csóványos : 938m d’altitude * Zemplén Nagy-Milic : 894m d’altitude * Le point culminant de Alpokalja * Írott-kő : 882m d’altitude Mont Matra * Plaines et collines Le Petit Alföld ou Petite plaine de Hongrie est une plaine (bassin tectonique) extrêmement fertile d'environ 8 000

la déstalinisation tourne à la tragédie en Hongrie. Le 1er novembre 1956, le président du Conseil Imre Nagy annonce le retrait de son pays du Pacte de Varsovie (alliance militaire conclue entre l’URSS et les pays communistes européens). Les blindés soviétiques écrasent la révolte dans le sang. Les pays occidentaux protestent mais n’interviennent pas. Le bilan est très lourd : 2 000 à 3 000 morts, 13 000 blessés. Imre Nagy est exécuté en 1958, après une parodie de procès. 2  Brejnev et le retour du totalitarisme

dirigeant stalinienMaytas Rakosi et le retour d’un dirigeant plus modéré, Imre Nagy. En octobre 1956, la police ouvre le feu sur une manifestation d’étudiants et le pays prend les armes : Nagy reprend le pouvoir. Mais lorsqu’il annonce son intention de quitter le pacte de Varsovie, Moscou décide d’intervenir. Le 4 novembre, les chars soviétiques entrent de force à Budapest. Des milliers d’opposants sont tués ou emprisonnés, Nagy est exécuté. • Affaibli sur le plan international et contesté par

à l'Allemagne en 1944 par la Hongrie, son pays, à l'instar de 500 000 de ses compatriotes juifs, a survécu. Il est rentré à Budapest en 1945, libre, mais sans destin. Depuis son prix Nobel, qui fit de lui en 2002 le premier auteur magyar distingué, Imre Kertész parcourt le monde, donne des conférences. Dans deux heures, il se rendra à Matignon pour un tête-à-tête discret, à l'invitation de Dominique de Villepin, qui affectionne ces déjeuners littéraires. Pourtant, nulle hiérarchie dans sa générosité

Hongrie, le 23 octobre 1956, les protestations étudiantes officiellement entamées pour soutenir les ouvriers de Pologne tournent à l'insurrection populaire. Le comité central du Parti communiste appelle une nouvelle fois Imre Nagy à la tête du gouvernement. Le 28 octobre, Nagy est nommé ministre-président. Il forme un gouvernement pluripartite et exige une démocratie parlementaire, retire ses armées du Pacte de Varsovie le 31 octobre et, le 1er novembre, proclame la neutralité de la Hongrie auprès