Incantation

est pourtant nécessaire : la science n'est pas un arbre autonome, se développant selon ses lois propres, et dont nous récolterions passivement les fruits; elle est une entreprise collective, notre entreprise, et c'est à nous de l'orienter. Les incantations pro-scientifiques de la fin du XIXe siècle, anti-scientifiques de la fin du XXème, sont également inutiles : l'important est de comprendre à quel processus nous avons affaire, et auquel nous participons. Et d'abord, de s'interroger sur la nature

correspondances entre les mots et les sons « Comme l’ambre, le musc, le benjoin et l’encens Qui chantent les transports de l’esprit et des sens » Dans ces deux vers, Baudelaire recréée la musique, en utilisant des sonorités nasales : les mots deviennent incantations et retranscrivent, par les sons, l’unité du monde, rassemblée ici. En effet, l’ambre et le musc charment les ens, alors que le benjoin et l’encens s’adressent à la spiritualité. On aurait presque un chiasme : domaine sensuel, et domaine spirituel

sacrifices, de nouvelles formes de prières, une nouvelle religion traditionnelle. Faiseuse de miracles Une sécheresse s’étant abattue sur son village, la population lui demanda d’agir. Pour certains, c’est après une concentration, suivie de ses incantations que la pluie vint, et que la sécheresse fut balayée. Pour d’autres, c’est après le sacrifice de boeufs noirs que les pluies bienfaisantes arrosèrent les rizières desséchées. Elle fut aussi capable d’accomplir des miracles. Elle commença par guérir

mystérieux et vide ->aspect inquiétant => contre balancé par un regard toujours le même (rassurant) comme les voie rassurante vers 13. II) élégie au charme incantatoire. Élégie: poème lyrique dont le ton est souvent tendre et triste. Incantation: formule magique chanté pour obtenir 1 effet surnaturel 1) l’effet de reprise. *dans le poème il y a plusieurs répétitions de sonorité et de rythmes qui ont provoqué un effet d’anciennement triste Exemple: vers 13 redondances de conjugaison

dire. C'est dans l'éreintement de son silence que doit se lire le destin tragique de Phèdre. Le drame de Phèdre tient moins, en effet, à sa faute qu'à son refus de la nommer. Dans le théâtre de Racine, le langage prend la valeur d'une incantation, le héros tragique ne saurait accéder à la vérité de son être que par la Parole. Action et Parole finissent par coïncider dans la résolution d'un drame dont l'enjeu réside autant dans le dire que dans le faire. Refus qu'Œnone ne peut ni comprendre

Apollinaire. Elles le charment et l’ensorcellent Sorcières et sirènes enchantent Apollinaire : ces deux figures mythiques ont en commun une voix charmeuse, ensorcelante. De plus Apollinaire veux attribuer a la poésie une dimension supérieur qui est l' incantation ( Nuit Rhénane par exemple). Il donne une dimension première a la poésie qui est le charme et le sortilège. II. Inventer un rythme nouveau 1) Apollinaire a supprimé tous les signes de ponctuation dans ses poèmes. Cet effacement nous

mener la réflexion propice à la construction de son temple intérieur : On ne fait pas un gourmet d’un être affamé ! Dès qu’il a occupé les cavernes, peut-être avant, l’Homme a tenté de reproduire les animaux qu’il chassait, c’était une première incantation ; évoluant, il a affiné le trait, de l’incantatoire il en est venu à la célébration du dieu, à l’Hommage qu’il convenait de lui rendre dans des temples pourtant fermés au commun des mortels. Puis il a ouvert ses temples et orné les cathédrales d’anges

le visage évoque toute la sensualité. Tout est vibration vitale chez elle, elle est liée à l'élément du feux présent en elle, feux aussi dans la passion « je brûle de peindre ». Cette femme satisfait autant l'homme que le poète. Qui la chante en incantation. L'incantation. L'intensité du plaisir par la paronomase et notamment les allitérations montre la souffrance aigu du plaisir et l'ambiguïté est signalée par une répétition plus douce. En la femme noire abonde l'écriture poétique comme

but à atteindre. II ) Un pélerinage 1 Relation affective profonde La relation apparait dans l'interpellation affectieuse du vers 2 " vois-tu" et du diallogue "Je"/"Tu" Le rythme très régulier du vers 4 donne à cette fin de strophe une incantation obsessionnelle. 2 Indifférence au paysage L'indifférence au paysage s'exprime par une imprécision concernant le décor, la nature du paysage est simplement indiquée par des lieux géographique sans caractérisation, par la négation des perceptions

haut, puis un autre Whiti te ra! Hi!! Le soleil brille ! Selon la légende, Te Rauparaha venait d'échapper à une tribu ennemie, le Ngati Tuwharetoa. Ses guerriers approchaient. Te Rauparaha entendait déjà leurs incantations, quand il rencontra Te Wharerangi, chef de la région Rotoaira, et lui demanda sa protection. Te Whareangi, d’abord hésitant, permit finalement à Te Rauparaha de se cacher dans son "kumara pit", un genre de fosse où les Maoris stockaient leurs kumaras