Incantation

invité chez la grand-mère de Verte : vu le comportement des 2 sorcières, Soufi pense que s’en est fini pour lui et qu’il va mourir. Mais en fait, Verte et sa grand-mère se préparent à faire un tour pour retrouver le père de Verte. Après une longue incantation, (sorte de prière dans une langue inconnue) le père de Verte apparaît dans un miroir. C’est Soufi qui reconnaîtra alors Gérard, l’entraîneur de foot. Anastabotte et Verte invitent Soufi à manger des crêpes et le remercient car sans lui elles n’auraient

L’expression lyrique Définitions L’anaphore : répétition, figure de style qui consiste à commencer des vers ou des phrases par les mêmes mots. Effets recherchés: souligne un mot, une obsession, provoque un effet musical, une urgence, une incantation ; effet de symétrie. Exprime la mélancolie, la tristesse La métaphore : # de comparaison Compare deux éléments à l’aide d’un mot de liaison, compare de façon implicite (Ex : « une perle ») Métaphore filée : sur plusieurs lignes ou

passage de la réalité à son reflet : -Disparition du batelier, qui appartenait à l’univers réel ; il n’en reste qu’une « voix » désincarnée ; chant lancinant et obsédant (toujours + force du présent) -femmes sont devenues fées -Chant devenu incantation, chant à force magique dont la puissance s’amplifie ds le temps : passage de la nuit à la saison (l’été) -Rythme lent renforcé par enjambement 11-12 -Sonorités nasales et fricatives : force insinuante du chant ; -Echec de l’appel aux forces

encore traditionnelle mais avec beaucoup de souplesse. Lyrisme qui se révèle surtout par la force et l'originalité des images : évocation très libre de la beauté du monde, basée sur l'association de sensations. Lyrisme de la célébration, comme une incantation avec l'accumulation d'images.

présence surtout affective 1. Un rêve centré sur le "je" : passivité du poète, relation maternelle, compréhension totale 2. Qualités de cette femme : douceur de la voix, de l'être, patiente, séreine, apaisante, distance morbide ? 1. III Intimisme, incantation, musique 2. Douceur dela femme coïncide avec celle du poème : rythme général lent, rythme très régulier de certains vers, répétitions > ralentissent, sonorités récurrentes aux sons assourdis 3. Le poète semble se parler : intimité du sujet ,

n'est belle que si elle provoque un trouble physique. Une œuvre est belle lorsqu'elle a tendance à être sexuelle. Il aime l'excès, l'attente. Il ne faut pas que la beauté se concrétise par le désir. Il aime que la beauté soit une promesse, une incantation. Pour Lula beauté peut

l’imbas forosnai est une prophétie incantatoire qui relève de la magie druidique et ne peut être prononcée que par les filid de haut rang, les ollamh8. le dichetal do chennaib cnâime, qui se traduit par « incantation par le bout des os (doigts) », semble avoir été une incantation simple et improvisée et sur laquelle la documentation est lacunaire8. Les fêtes religieuses[modifier] L’année celtique se décompose en 2 saisons, l'une claire et l'autre sombre. Elle comporte 4 fêtes religieuses,

associés au vin (« trembleur », v.1), au chant (« râle-mourir », v. 11), à la magie (« incantent », v. 12) ; néologisme associant le « râle » du moribond au verbe (« mourir »). Incantent ( « Incanter » est un verbe ancien, que nous retrouvons dans « incantation » (usage de paroles magiques) ; synonyme « enchanter » : jeter des sorts).): on y retrouve la racine latine cantare qui a aussi donné « chanter ». Or ce verbe se trouve au vers précédent : « La voix chante toujours » (v. 11), associé à « râle-mourir

les croyances, les cultes, les cérémonies et les rites tels que le ramadan pour les musulmans ou le mariage à l’église pour les chrétiens. Et enfin, celles à caractère magique, qui sont l’art d’agir par des procédés occultes, des sortilèges, des incantations, des sorts ou des charmes comme les marabouts. ● Qu’est-ce que le « mobile d’une action » (l.8) ? Dans son œuvre, l’auteur affirme que l’homme « puise les mobiles de ses actions dans des systèmes de valeurs spirituelles ». Nous pouvons alors

convainc les filles de celui-ci qu’elle connaît un sortilège leur permettant de rajeunir leur père, et leur en fait la démonstration : ayant découpé un mouton en morceaux, Médée le fait bouillir dans une marmite avec des herbes magiques, prononce une incantation, et c’est un agneau qui sort de la marmite. Selon Ovide, c’est Æson, toujours vivant, que Médée rajeunit dans sa marmite. Les filles de Pélias, devant cette magie, se laissent convaincre de découper leur père en morceaux, mais Pélias ne ressort