Inceste La Curée

Édition du groupe « Ebooks libres et gratuits » LA CURÉE (1872) Émile Zola Table des matières I................................................................................................. 3 II ............................................................................................. 53 III...........................................................................................106 IV ........................................................................................... 151

ton livre est fort, et nul dans l'avenir aussi bas dans l'infâme, Ne plongera jamais Nul ne pourra jamais après toi réunir En un pareil bouquet tous les poisons de l'âme... ...Au moins, toi tu fis grand dans ton obscénité, Viol et parricide, inceste et brigandage Ruissellent de ta plume, et notre humanité Sent rugir en ses flancs ta muse anthropophage... En Allemagne, où Nietzsche, dit-on, n'a pas dédaigné de s'assimiler, lui, le philosophe lyrique, les idées énergiques marquis systématique

maître tel-00790321, version 1 - 19 Feb 2013 y démontrait à son élève l’art de dresser les chiens et d’affaiter les faucons, de tendre les pièges, [...]. quels sont les vents les plus propices, avec l’énumération des cris et les règles de la curée» [TC, p.84]. Ces deux premiers folios correspondent donc au commencement de la pratique de la chasse par Julien. Puis, au fo 90 ro du Carnet 17, le troisième folio, Flaubert a noté « Parfait accord entre le cavalier, le cheval, l’oiseau et le chien

personnages ne sont plus si différents. Louis critique certes ses héritiers mais il est lui aussi « obsédé » par cet argent. Le verbe « dépouiller » est par exemple utilisé à deux reprises. L’héritage sonne, pour ce personnage, comme une forme de curée, ce moment de la chasse où les chiens se jettent sur des morceaux de gibier. En somme, le personnage de Louis n’a pas seulement une fortune : il est sa fortune. Mauriac s’attaque donc dans ce roman à l’attitude de cette bourgeoisie obsédée par les

SECONDE – FRANÇAIS 67 SÉQUENCE 3 Chapitre 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 Activité n°1 – Histoire des arts (vidéo) Activité n°2 – Question sur corpus : le rapport des hommes à l’argent Activité n°3 – Lecture cursive : La Curée ᕡ Dans le premier chapitre, quel est le principal sujet de conversation lors du dîner chez les Saccard ? ᕢ Lors de cette réception, pourquoi Renée est-elle jalouse ? ᕣ Lors de l’analepse qui raconte la jeunesse d’Aristide Saccard, à quel moment

vous rendre heureux. Frédéric soupçonna Mme Arnoux d’être venue pour s’offrir ; et il était repris par une convoitise plus forte que jamais, furieuse, enragé. Cependant, il sentait quelque chose d’inexprimable, une répulsion, et comme l’effroi d’un inceste. Une autre crainte l’arrêta, celle d’en avoir dégoût plus tard. D’ailleurs, quel embarras ce serait ! – et tout à la fois par prudence et pour ne pas dégrader son idéal, il tourna sur ses talons et se mit à faire une cigarette. Elle le contemplait

vous rendre heureux. Frédéric soupçonna Mme Arnoux d’être venue pour s’offrir ; et il était repris par une convoitise plus forte que jamais, furieuse, enragé. Cependant, il sentait quelque chose d’inexprimable, une répulsion, et comme l’effroi d’un inceste. Une autre crainte l’arrêta, celle d’en avoir dégoût plus tard. D’ailleurs, quel embarras ce serait ! – et tout à la fois par prudence et pour ne pas dégrader son idéal, il tourna sur ses talons et se mit à faire une cigarette. Elle le contemplait

vous rendre heureux. Frédéric soupçonna Mme Arnoux d’être venue pour s’offrir ; et il était repris par une convoitise plus forte que jamais, furieuse, enragé. Cependant, il sentait quelque chose d’inexprimable, une répulsion, et comme l’effroi d’un inceste. Une autre crainte l’arrêta, celle d’en avoir dégoût plus tard. D’ailleurs, quel embarras ce serait ! – et tout à la fois par prudence et pour ne pas dégrader son idéal, il tourna sur ses talons et se mit à faire une cigarette. Elle le contemplait

ni d'harmonie aucune, si les accords divers, doucement entremêlés, qui rendent l'harmonie plaisante, étaient réduits à même son. Combien que telle République serait directement contraire à la loi de Dieu et de nature, qui déteste non seulement les incestes, adultères, et parricides inévitables, si les femmes étaient communes, [mais] aussi de ravir, ni même de convoiter rien qui soit d'autrui : où il appert évidemment, que les Républiques sont aussi ordonnées de Dieu, pour rendre à la République ce

comporte aujourd'hui un homme "moral", qui pense en avoir bien fini avec Dieu, et qui rejette le Christianisme comme une guenille usée. Demandez-lui s'il lui est déjà arrivé de mettre en doute que les rapports charnels entre frère et sœur soient un inceste, que la monogamie soit la vraie loi du mariage, que la piété soit un devoir sacré, etc. Vous le verrez saisi d'une vertueuse horreur à cette idée qu'on pourrait traiter sa sœur en femme, etc. Et d'où lui vient cette horreur ? De ce qu'il croit à une