Incipit Germinal Lecture Linéaire

l’autre n’était pas content ». On ne fait pas de commentaire psychologique). Il s’agit de commenter l’écrit de l’auteur, et les effets produits par les techniques qu’il a utilisées. Le commentaire composé ne doit pas être confondu avec l’étude linéaire : celle-ci suit le fil du texte, alors que le commentaire s’articule autour d’un plan. Le commentaire est un exercice de réflexion et d’argumentation, mais également de rédaction : attention donc à l’orthographe. 1. Principes de l’exercice :

FICHE LECTURE N°2 Thérèse Raquin, Emile Zola. Titre, nom, auteur : Thérèse Raquin, d’Emile Zola. Date de Parution : Publié en 1867. (Il s’agit du troisième roman de cet auteur) Courant littéraire : Le naturalisme (mouvement qui s'inspire des postulats, des théories ou des méthodes des sciences expérimentales, XIXe siecle.) Biographie et bibliographie rapide de l’auteur : Né à Paris le 2 avril 1840, Émile Zola passe son enfance à Aix-en-Provence. Il entre en 1858 au lycée Saint-Louis

la fiction, quil remet en cause. «~Comment sétaient-ils rencontrés~? Par hasard, comme tout le monde. Comment sappelaient-ils~? Que vous importe~? Doù venaient-ils~? Du lieu le plus prochain. Où allaient-ils~? Est-ce que lon sait où lon va~?~» (Incipit de Jacques le Fataliste) ⎝4. Le personnage sensible du courant pré-romantique Une nouvelle sensibilité apparaît dans la seconde moitié du siècle avec linfluence des romans réalistes anglais et La Nouvelle Héloïse de Jean-Jacques Rousseau (1761)

fiction, qu’il remet en cause. « Comment s’étaient-ils rencontrés ? Par hasard, comme tout le monde. Comment s’appelaient-ils ? Que vous importe ? D’où venaient-ils ? Du lieu le plus prochain. Où allaient-ils ? Est-ce que l’on sait où l’on va ? » (Incipit de Jacques le Fataliste) 4. Le personnage sensible du courant pré-romantique Une nouvelle sensibilité apparaît dans la seconde moitié du siècle avec l’influence des romans réalistes anglais et La Nouvelle Héloïse de Jean-Jacques Rousseau (1761)

notes initiales : Relève un travail très minutieux de ses notes. Souvent le texte définitif correspond à la note initiale. Coté journaliste (// Zola : Naturaliste) B) 2 façons de prendre note : Somme de toutes les informations récoltées dans ces lectures. Note qu’il prend au fur et à mesure dans des situations précisent, aux détails près que l’on retrouve quasi tel quel dans ses romans. C) Photographique ou Cinématographique : Il n’aime pas la photo car elle fixe les choses. L’écriture peut rendre

fiction, qu’il remet en cause. « Comment s’étaient-ils rencontrés ? Par hasard, comme tout le monde. Comment s’appelaient-ils ? Que vous importe ? D’où venaient-ils ? Du lieu le plus prochain. Où allaient-ils ? Est-ce que l’on sait où l’on va ? » (Incipit de Jacques le Fataliste) 4. Le personnage sensible du courant pré-romantique Une nouvelle sensibilité apparaît dans la seconde moitié du siècle avec l’influence des romans réalistes anglais et La Nouvelle Héloïse de Jean-Jacques Rousseau (1761)

enchâssées). C’est le ROMANESQUE. A partir de 1650, on se met à préférer la nouvelle. - La « nouvelle » ou « histoire » (Princesse de Clèves, Les Lettres Portugaises de Guilleragues) : la brièveté, une certaine sobriété, une structure linéaire (pas de prolepse, analepse…), un goût pour la vraisemblance, un intérêt pour l’histoire contemporaine. Cette opposition recoupe (plus ou moins) baroque/classique. (Classicisme : les règles, « l’honnête homme est un être raisonnable », la mesure

(analyse, réception par le public) (Thomas/François 03/04) Corpus : 1) Lectures analytiques : Incipit, pages 59-61 (« … Tout disparut. ») Ch. V, pages 206-208 (« Mais Claude demeurait immobile… imbécillité bourgeoise ») Ch. VII, pages 284-285 (« Mais Sandoz… culbute au bout ! ») Ch. IX, pages 333-334 (« A toutes les heures… vol de petits nuages ») Ch. XII, pages 479-481 (« Ils se turent… mettre dans la terre ! ») 2) Lectures cursives et complémentaires : Zola, Le roman expérimental (extrait) Zola

dans les différents milieux sociaux de la société du Second Empire. Ces forces animent la vie psychique groupale. La première puissance est la pulsion germinale. Elle soude le groupe, affaiblit le moi et maintient la survie de l’espèce. Cette énergie ne disparaît jamais. Rien ne meurt vraiment. Tout revient à la vie. Face à cette puissance germinale, le personnage s’appuie sur les forces létales pour nier sa nature pulsionnelle. Ce sont des forces de repli qui coupent le personnage du groupe et le

Les yeux du theatreLES YEUX DU THÉÂTRE Pour une théorie de la lecture du texte dramatique Jean de Guardia, Marie Parmentier Le Seuil | « Poétique » 2009/2 n° 158 | pages 131 à 147 ISSN 1245-1274 ISBN 9782020987264 DOI 10.3917/poeti.158.0131 Article disponible en ligne à l'adresse : -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- https://www.cairn.info/revue-poetique-2009-2-page-131.htm -----------------------------------