Incipit Le Lys Dans La Vallée

analytiques : 1. Denis DIDEROT, Jacques le Fataliste et son maître (1796), incipit jusqu’à « et vous pour ce délai. » Terres littéraires p.306 2. Guy de MAUPASSANT, Bel-Ami (1885), incipit jusqu’ à « au mauvais sujet des romans populaires. » Littérature tome 2 p.207 3. Guy de MAUPASSANT, Bel-Ami (1885), épilogue de « Lorsque l’office fut terminé » jusqu’à la fin - photocopie 4. Boris VIAN, L’Ecume des jours (1947), incipit jusqu’à « des grappes de petites bulles savonneuses. » photocopie

des textes ; les registres   Lectures analytiques : ▪ Œuvre intégrale : Mauriac Thérèse Desqueyroux Textes expliqués en classe L’incipit jusqu’à …trouve autre chose… (La peur ; les relations entre les personnages ; un incipit original ) Chap. III Deux de ces vieilles demeures…qu’il forçait dans la lande ( Une conception du mariage ; le portrait de Bernard) Chap. IV Ma première rencontre avec Jean…Une joie différente de toutes celles qui l’ont précédée

temporalité dans le Ravissement de Lol V. Stein. ⋄ Etudier la place et la fonction du narrateur dans le Ravissement de Lol V. Stein. ⋄ S'interroger sur ce qui fait la modernité du Ravissement de Lol V. Stein. LECTURES ANALYTIQUES : 1. Incipit : “ Lol V. Stein est née ici ” p. 11 à “ la porte de la salle de bal du Casino municipal de T. Beach ” p. 14. 2. La scène originelle du bal : de “ L’orchestre cessa de jouer. ” p. 15 à “ elle tomba à terre évanouie ” p. 22. 3. Les promenades

pages. L’incipit d’un roman est donc un lieu stratégique primordial. C’est le lieu d’une prise de position à l’égard des modèles possibles, d’un dialogue intertextuel avec d’autres débuts de romans avec lesquels et contre lesquels s’écrit le nouvel incipit.  Le roman est un genre littéraire aux contours flous caractérisé pour l'essentiel par une narration fictionnelle plus ou moins longue. La place importante faite à l'imaginaire transparaît dans certaines expressions comme « C'est du roman

Les Essais, III, II, « Du repentir », du début du chapitre jusqu’à « en espreuve ». Hugo, Les Contemplations, III, XVIII, « Intérieur ». Des Barreaux, « C’est un songe… » (Anthologie de la poésie baroque, éd. J. Rousset, p. 94). * Balzac, Le Lys dans la vallée, de « Il est trop tard maintenant pour commencer vos études… » à la fin du roman. * Laclos, Liaisons dangereuses, lettre LXXXI, « Vous jugez bien…. j’arrivai vierge entre les bras de M. de Merteuil » (G.F., p. 173). A. Bertrand, Gaspard de la

littérature du XIX siècle. Il se place entre le roman psychologique de Stendhal et le mouvement naturaliste de Zola et Maupassant, mais fortement influencé par Balzac, dont il reprend les thèmes sous une forme plus personnelle ( exemple : Le Lys dans la vallée > l’Éducation Sentimentale ; la Femme de trente ans > Madame Bovary) Flaubert s’inscrit dans la lignée du roman réaliste mais avec une plus grande préoccupation pour l’esthétisme, qui le porte à un long travail d’élaboration de ses œuvres. Flaubert

soubresauts de la politique. Quantité d’autres pistes définies par Flaubert ds ses scénarios, complémentarité obscure de la Lorette (Rosanette) et la femme vertueuse (Marie Arnoux). La manière dt le roman est éclairée par celle d’un roman cme le Lys ds la vallée. La manière très cohérente dt quelqu’un comme Malraux rend compte de l’incohérence du monde. Les creux ménagés par Malraux entre les différents mouvements de La Condition humaine. Forme de non continuité & de juxtaposition folle et incohérente

héros est d'abord caractérisé par sa désignation : un prénom et un nom, le plus souvent signifiants. Certains patronymes donnent ainsi un « indice » sur le caractère ou la condition sociale du personnage (par exemple Félix de Vandenesse, dans Le Lys dans la vallée, de Balzac). Son identité est complétée par un physique, des vêtements, l'appartenance à un certain milieu, l'environnement familial, etc. Zola ajoutera à ces éléments la notion d'hérédité. Une caractérisation psychologique est également

qu'il voudrait rugir, sous l'ouragan qui vole, Si son rugissement n'était une parole ? Crois-tu que le tombeau, d'herbe et de nuit vêtu, Ne soit rien qu'un silence ? et te figures-tu Que la création profonde, qui compose Sa rumeur des frissons du lys et de la rose, De la foudre, des flots, des souffles du ciel bleu, Ne sait ce qu'elle dit quand elle parle à Dieu ? Crois-tu qu'elle ne soit qu'une langue épaissie ? Crois-tu que la nature énorme balbutie, Et que Dieu se serait, dans son immensité

ça prépare les enjeux de l’œuvre. Dissimulation qui prépare le récit par le vidame de chartres de sa relation avec la reine, qui répète ces propos. Choses bizarres : de la douceur à régner (doute sur la capacité à régner). Ccl. On a dans cet incipit un lieu doublement mis à distance : le temps, et le soupçon. Monde faux, vicié, entrée dans le roman et non l’épopée. Apparences et sens sont dissociés. Coloration tragique préparée dans ce passage, l’histoire est vécue comme une perte. Monde où