Incipit Tartuffe

de n'entrer point chez nous.Sans cesse vous prêchez des maximes de vivre,Qui par d'honnêtes gens ne se doivent point suivre :Je vous parle un peu franc, mais c'est là mon humeur,40 Et je ne mâche point ce que j'ai sur le cœur.DAMISVotre Monsieur Tartuffe est bien heureux sans doute...

Gustave Flaubert, célèbre romancier également l’auteur de …, publie le roman Madame Bovary dans la seconde moitié du XIXème siècle (1857). Le titre a un rapport avec le personnage principal mais n’a pas de lien direct avec l’œuvre, c’est donc un incipit original et romanesque qui a pour but de séduire et informé le lecteur mais aussi « in medias res », en plein cœur du récit. Cela à un intérêt narratif ; l’entrée dans le roman est dynamique. Madame Bovary est la femme de Charles Bovary dit « le nouveau

comme au sermon n'osant même pas croiser les cuisses, ni s'appuyer sur le coude ». On voit qu'il est mal à l'aise et qu'il ne se sent pas à sa place même ses camarades rient de lui « Toute la classe se mit à rire ». On peut donc conclure que cet incipit est moqueur, mais il va même plus loin, il explique les échecs de toute la vie de Charles Bovary.

puisque Voltaire y dénonce en particulier la philosophie Leibnizienne, mais également diverses formes d’injustices, comme les abus de la religion, du pouvoir, ainsi que l’esclavage… Le chapitre I de Candide joue un rôle d’exposition : comme tous les incipits, il a pour fonction de présenter le contexte, les personnages et le sujet de l’intrigue. Voltaire y présente des personnages par une succession de paragraphes, pourtant le lecteur, attentif, verra facilement les distorsions dans cette présentation

SOMMAIRE INTRODUCTION I-LE REALISME 1- DEFINITION ET CARACTERISTIQUES DU REALISME a-DEFINITION DU REALISME b-CARACTERISTIQUES DU REALISME II-LE REALISME DANS LES INCIPITS 1-LES PERSONNAGES 2-LE CADRE DE L ACTION CONCLUSION INTRODUCTION Le XIXe siècle a été un grand siècle poétique et littéraire. C’est une époque de renouvellement complet qui va connaître la naissance et la succession de plusieurs courants littéraires dont le réalisme. Ce climat

Aujourd'hui, le mot incipit (du latin incipio, is, ere : « commencer ») désigne les premiers mots d'un texte. Selon une tradition hébraïque reprise dans le christianisme, l'incipit donne son titre au document. Un incipit permet d'introduire une histoire dans un contexte (contextualiser). Il donne le cadre spatio-temporel et des informations de base comme: -caractéristiques physiques et mentales -lieu, -comportements (des animaux ou des personnages) -le temps, l'année -etc. Ainsi le lecteur dispose

connaissent-ils eux-mêmes ? Sait-on où l’on va ? Le narrateur ne manque pas d’interrompre le récit par des commentaires philosophiques et arrogants tels que ceux-ci, qui ne manqueront pas d’agacer le lecteur, tant ils ne sont jamais à-propos. Le célèbre incipit résume à lui seul l’esprit du roman : «Comment s’étaient-ils rencontrés ? Par hasard, comme tout le monde. Comment s’appelaient-ils ? Que vous importe ? D’où venaient-ils ? Du lieu le plus prochain. Où allaient-ils ? Est-ce que l’on sait où l’on va 

Pierre et Jean, (1888) de Guy de Maupassant, Incipit Le texte que je vais vous présenter est un extrait du roman naturaliste Pierre et Jean. Cette œuvre est connue pour sa célèbre préface intitulée « Le roman », où Maupassant expose sa vision du roman naturaliste. Il a été publié en 1888. Son auteur, Guy de Maupassant, est un grand écrivain naturaliste français du 19ème siècle né en 1850. Il a commencé par écrire des contes et nouvelles pour des journaux tels que « Le Gaulois ». On compte par moins

Lafayette, La Princesse de Clèves : incipit + portrait de Mademoiselle de Chartres | | |LESAGE, Gil Blas de Santillane, incipit | | |FLAUBERT, Madame Bovary , extrait de l’incipit | | |ZOLA, L’Assomoir , incipit

Question : Ces incipit romanesques respectent-ils les contraintes du genre ? Le corpus proposé regroupe cinq incipit romanesques d’auteurs et d’époques différentes. Nous découvrons « La Princesse de Clèves », que publie Madame de La Fayette en 1678, « Jacques le fataliste et son maître » datant de 1796 et écrit par Denis Diderot, « Les Misérables » écrit par Victor Hugo en 1862, la « Condition humaine » d’André Malraux publié en 1933, et enfin l’incipit de « La Modification » de Michel Butor