Incitations Fiscales Sur L Investissement

→ pour le candidat : plusieurs employeurs potentiels ensuite : investissements spécifiques irrécouvrables. → pour la firme : formation de l’employé, réseau de clients de l’employé → pour l’employé : connaissance des produits de la firme, liste de clients après : relation de monopole bilatéral : plus de concurence parfaite ex post, aucune partie n’a intérêt à une rupture totale, préfèrent renégocier. Les bénéfices des investissements spécifiques disparaissent en cas de rupture définitive de la relation

par cette thésaurisation de l’état. Recommandations de politiques publiques : -Eviter les budgets excédentaires … en diminuant les impôts et en augmentant les dépenses. -Le déficit budgétaire sera provisoire compensé par les hausses de recettes fiscales engendrée par le multiplicateur. « New economics », les résultats Aux Etats-Unis : -1962 : dénonciation du « mythe » de l’équilibre budgétaire. -1964 : des abaissements massifs d’impôts sont votés. -La croissance économique est forte (5% par

Entre 1919 et 1921, les prix sont de nouveau multipliés par 5. Toutefois, cette hausse est normale, car elle n’est que le fruit des mécanismes d’offre et de demande l’épargne forcée et le contexte du temps de guerre ont réduit à néant tout investissement, empêchant l’appareil productif de satisfaire toute la demande qui s’exprime à sa fin. Donc, si l’offre est limitée et la demande forte, les prix . L’hyperinflation commence en Août 1921, les prix doublent durant quelques mois puis triplent

insistera sur les notions de production non marchande et de PO. On introduira, à l’aide d’un exemple simple, la notion d’incidence fiscale. On montrera, à l’aide d’exemples (fiscalité écologique, crédit d’impôt pour les aides à domicile ou pour les dons aux associations, etc.) qu’en changeant les prix relatifs ou rémunérations nettes, les impôts et taxes modifient les incitations des agents. III - Indications complémentaires : En s’appuyant sur les points du cours sur le budget, on montrera comment les

stratégie d’industrialisation( les 2 plans quadriennaux ) Décennie 1980 : mise en œuvre des 2 plans quinquennaux, et des Les réformes (restructuration organique ( 1982) et financière de l’entreprise (1983), et lois sur l’autonomie (1988). Cde des investissements de 1982, loi du partage de la production des hydrocarbures 1986, réforme du commerce extérieur 1989 ) 1er plan quinquennal 1980-1984 : un vaste programme économique réorganisation qui touche au mode d’organisation et mode régulation. Restructuration

catalyseur des firmes multinationales; et d’autre part, l'attractivité des territoires reposant sur une série d'avantages de localisation revêt une importance d'autant plus fondamentale que les firmes retiennent, comme territoires d'accueil de leurs investissements, uniquement ceux qui renforcent leur compétitivité. Dans l’économie globale, la flexibilité accrue des processus potentiels de délocalisation/relocalisation des activités remodèle ainsi sensiblement l'analyse des interactions entre les éléments

 Sommaire INTRODUCTION PREMIERE PARTIE: LE MAROC ET LE DROIT DES INVESTISSEMENTS Chapitre 1 : Le régime de l’investissement au Maroc Section 1 : Les incitations à l’investissement Section 2 : Les secteurs, les institutions et les nouvelles législations en matière d’investissement Section 3 : Le classement du Maroc dans l’économie mondiale Chapitre 2 : Les aspects de la protection des investissements étrangers au Maroc. Section 1 : La protection de l’investissement étranger au

également présenter des disponibilités énergétiques ou naturelles, donc un approvisionnement, à un meilleur coût, ce qui permettra de restaurer la compétitivité du produit ou de certains segments de production, ceci sans compter les incitations financières et fiscales pouvant être accordées par le pays d’accueil, ou l’accès à un savoir faire et à la technologie favorisé par le pays cible. Ce qui ouvre de nouvelles perspectives à l'entreprise, notamment l'exploitation des relations entre les segments

d’investissements publics utiles a des effets durables sur la croissance dans un contexte de taux d’intérêts bas car ils permettent de soutenir l’offre et la demande. Ce n’est pas une relance keynésienne avec une forte redistribution mais des investissements publics qui génèrent de la croissance sur le long terme, il améliore le quotidien des français tout en stimulant l’activité : énergie, numérique, transport, recherche. Par exemple, un plan massif dans le secteur du logement qui connait une forte

: concentrées sur quelques secteurs, pas assez orientées vers les PME ................................... 31 2.3. Les marchés financiers : pas encore la taille critique ...................... 40 2.4. L’allocation de l’épargne vers les PME : des incitations qui pourraient être plus efficaces .................................................. 46 3. Lever les obstacles au financement par l’endettement .......................... 50 3.1. Les banques, partenaires privilégiés des PME ...................