Incitations Fiscales Sur L Investissement

conception même du produit la possibilité de son recyclage à la fin de sa durée de vie représente également une contrainte lourde pour l'entreprise. L'installation d'équipements antipollution est souvent coûteuse par les coûts de recherche et les investissements qu'elle suppose. • Enfin le non-respect de ces nouvelles réglementations peut conduire l'entreprise à se voir lourdement pénalisée sur le plan financier voire même à ne plus pouvoir exercer son activité dans tel ou tel pays. II. LES AVANTAGES

la dette extérieure. Le poids de la dette extérieure a été ramené de 69% en 1995 à 43% du PIB en 2001. Ce repli est imputable au respect du calendrier des remboursements de la dette extérieure du Trésor, aux opérations de reconversion, en investissements, d’une partie des dettes contractées avec la France, l’Espagne, l’Italie et le Koweï t ainsi qu’au remboursement par anticipation de certaines dettes onéreuses. Les finances publiques ont été relativement assainies. Le déficit budgétaire a

d’ouverture au marché mondial, consiste à attirer les investissements directs étrangers (IDE). La dynamique de création d’activités nouvelles suppose l’afflux de capitaux étrangers. Cette situation amène le Maroc, à l’instar de nombreux pays, à vouloir séduire les détenteurs de ces capitaux, ouvrant un nouveau chapitre du marketing territorial. Ces données ont profondément remodelé l’attitude des autorités gouvernementales à l’égard des investissements étrangers. Les politiques restrictives face à l’entrée

croissance via la demande. -Politique fiscale: baisse de l'impôt sur le revenu chez pauvre et hausse chez riche=>euthanasier les rentiers car propension marginal à consommer plus élevé chez plus pauvre= hausse de la demande or contrainte budgétaire ne permet pas de faire cela en cas de crise, sur le court terme. Pas de marge de manœuvre -politique de l'emploi, investissement de l'Etat pèse sur la production et la demande en tant de crise=> Keynes ou incitation à travailler RSA Fourni travail donc

L’INTERNATIONAL Chapitre 1 : les défis de la globalisation « levelling the playing field » pour les firmes et les Etats Section 1 : Globalisation et mondialisation : une économie de marché Globalisation (financière) et mondialisation (commerce et investissement) : - Réflexion stratégique des unités actives : on vit avec la globalisation. Certain nombre de pressions faites sur la firme par la globalisation, qui va la pousser à remettre sans arrêt en cause son business plan. Les firmes devront créer

pourquoi le promoteur de ce projet doit prendre en considération plusieurs paramètres de calcul pour réussir le bon choix de l'implantation de son unité de production (réseaux de transport; disponibilité et fidélité des employés, avantages financiers et fiscaux accordés à certaines régions…). Page - 6 - sur 49 2-3 Production nationale La production de la branche chaussures et accessoires de chaussures a connu les dernières années une croissance soutenue en quantité et en valeur. Les tableaux suivants

Comptabilité des politiques budgétaires : déficits structurels et primaires ……………………………………………………….… Gestion des partenariats entre les secteurs public et privé………. Stabilisateurs automatiques : fonds de stabilisation budgétaire… Politiques fiscales anticycliques et autres politiques budgétaires alternatives……………………………………………………….. 18 19 19 19 21 26 29 30 Politique monétaire………………………………………………………. Efficacité de la politique monétaire…………………….…………… Instrumen ts de la politique monétaire………………………………

exportations d’huile d’olive Année 2000 2001 2002 2003 2004 (tonnes) 114 94.500 22.500 39.900 210.000 Valeur 200 56 114 600 Quantité 264 (MTND) Source : O.N.H 2.5 Evolution de l’activité, conjoncture, tendance, prévisions Malgré les investissements réalisés , l’augmentation du nombre d’unités et de la capacité de mise en bouteille , l’activité de conditionnement d’huile d’olive n’a pas pu se développer pour plusieurs raisons dont notamment : l’absence en Tunisie de marque phare, de produits

: Difficultés de financement de la PME :…………………………………………………….9 1. Les crédits bancaires …………………………………………………………………………………………………..10 2. Le crédit-bail ……………………………………………………………………………………………………………….10 3. Les prises de participation : le capital investissement ………………………………………………….10 4. Le marché boursier………………………………………………………………………………………………………11 Partie II : La bourse en tant que moyen de financement potentiel pour la PME:……………………………………………………………………………………………………………………………………………13 Chapitre 1 : L'ouverture

(GIE) qui constitue un cadre juridique pouvant favoriser la coopération entre entreprises indépendantes. Ce texte de loi a été précisé par une clarification du statut fiscal du GIE dans la loi des Finances de l´année 2000 (cf. circulaire d´application de la Direction des Impôts) : Le tableau suivant compare les situations fiscales du GIE et de la l´association en participation : 3- Les secteurs offrant des opportunités de création de consortiums d´exportation au Maroc : Le consortium d´exportation