Inconscient Maitrise De Soi

responsabilité de nos actes. Or on ne peut faire un procès de responsabilité à un animal lorsqu’il tue car il agit seulement par instinct de survie, donc inconsciemment, de même pour l’objet (en dehors de Francis Ponge qui leur prête une âme, ils sont inconscients). La « responsabilité » n’est donc applicable qu’aux hommes. Ainsi, sous cette hypothèse, sans conscience, il n’y a pas de responsabilité et on ne peut juger ce que l’on appelle un fou, ou un malade mental, puisqu’il ne savait pas ce qu’il faisait

comme un soi pure coupé du monde car celui-ci ne peut réellement exister, chacun de nous étant sujets à des relations extérieures qui nous influent et nous forment chacun uniquement. La pensée elle, viens de notre passé, de notre mémoire, de notre inconscient, de notre « soi-même » définissons la donc comme notre manière de raisonner, de juger, nos opinions. Ces notions sont proches, le problème vient alors du mot « contre » qui vient semble t-il les opposer ; mais c’est que ce mot tient plusieurs sens:

t-il? Qui suis-je ? Suis-je responsable de ce que je suis ? Tout d’abord, il paraît logique de partir de l’opinion commune. Ce dont je ne suis pas responsable, c’est ce qui m’échappe, alors que la conscience, c’est ce que je connais, ce que je maîtrise, donc qui me définit par ma capacité à avoir une image de moi permanente et unique au travers des différentes étapes de ma vie. : grâce à la mémoire, j’ai conscience de la permanence de mon être. C’est aussi ce que répondait Descartes dans son célèbre

n'ai pas accès directement. on peut penser à l’inconscient de Freud qu’il distingue du moi, dans les 2 topiques, le ça et le surmoi font aussi partie de moi. Notre inconscient est constitué de désirs fondamentaux et de désirs refoulés, et est responsable d'association ou de « raisonnement » que nous ne pouvons maîtriser. Notre inconscient est censuré, pour s'adapter au principe de réalité. Transition :Mais pour pouvoir évaluer cet écart, il faut présupposer qu’il y aurait un moi prédéfini que je

des scènes dont elle avait parlé si bien que l’on peut pointer du doigt une caractéristique qui concerne l’être humain de manière générale: Il peut ignorer toute une partie de sa personnalité car il y a en lui une partie consciente et une partie inconsciente. En 1885, FREUD est obligé parce qu’il est juif, de renoncer au poste qu’il avait occupé. Diapo 8 De ce fait, il part à Paris, il obtient une bourse de 6 mois pour étudier dans le service de CHARCOT à la Salpêtrière. Charcot et l'hypnose Les travaux

bien et mal ? Quels désires méritent d’être satisfait ? Quels sont ceux auxquels il faut renoncer ? Et comment maîtrises les désirs ? II) Le désir comme passion Nous savons tous par expérience que certains désirs sont difficiles à maîtriser. Si on y réfléchit c’est un paradoxe, c’est moi qui désire, comment est il possible que je ne puisse pas ou que je n’arrive pas à me maîtriser ? Le désir n’est pas quelque chose extérieur à moi. C’est certainement quelque chose qui est en moi et peut être

LA CONSCIENCE NOUS REND-ELLE MAÎTRE DE NOUS MÊME ? La maîtrise de soi est la faculté de contrôler et de maîtriser différents éléments de notre vie La découverte de l'inconscient constitue-t-elle une défaite pour la conscience ? Les actes manqués, les rêves, la conscience les constate mais se montre incapable de les expliquer : comment ai-je pu dire le contraire de ce que je voulais dire ? La conscience découvre en même temps ses limites et le fait qu'elle n'est pas transparente à elle-même

crée la surpression. Si la méthode ne marche pas, on recommence (5 claques dans le dos puis 5 fois la méthode d'Heimlich) jusqu'à la réussite. Si l'on ne peut pas comprimer le ventre (par exemple sur une femme enceinte) ou si la personne tombe inconsciente, alors on place la victime plat-dos, et on comprime la poitrine en appuyant au milieu du sternum (compressions thoraciques similaires à la réanimation cardio-pulmonaire). Sur un enfant, on réalisera la technique avec précaution. Sur un nourrisson

semblait remettre en cause la liberté de l’homme et la maîtrise qu’il était supposé avoir sur lui-même. D’autre part, parce que la région dite « inconsciente » de notre vie psychique semble faire la part belle à la sexualité. Prémisses de la notion d’inconscient Ni le sens commun ni les philosophes n’ont attendu Freud pour découvrir qu’une partie de notre propre psychisme nous échappe parfois. Un homme qui tombe dans le coma est inconscient, un dangereux chauffard l’est aussi, en ce sens qu’il

qu’il signifie plus précisément « avoir conscience de ». A première vue, il semble donc que l’homme sait ce qu’il désire puisqu’il a l’idée de ce manque et le ressent psychiquement comme une souffrance. Cependant, n’y a-t-il pas une part de désirs inconscients que lui-même ignore ? L’homme a-t-il connaissance de ses désirs, ou bien au contraire ne lui sont-ils pas inconnus ? En d’autres termes, est-il possible pour l’homme de determiner quels sont ses désirs ; et, s’il en est capable, ceux-ci reflètent-ils